Uni-Cité, 19 juin 2013

God said:

Parfois Mes messages te parviennent avec force, et parfois ils semblent comme enveloppés dans un épais brouillard, là, quelque part, à peine entendus, livrés aux suppositions. Mais Qui suppose, Qui parle?

Mes messages naissent en Moi comme ils naissent en toi. Lorsque tu M’entends, tu t’entends. Lorsque Je te montre, tu te montres. S’il y a Unité - et Je t’assure qu’Unité il y a! - alors il y a Une Unité et Une Seule Unité.

Nous sommes, toi et Moi, une sorte de combinaison. L’Un de Nous est un peu ventriloque. Qui tire les ficelles? Qui parle? Qui répond? Un Seul et Même Être! La question ‘‘Qui est Dieu?’’ et la question ‘‘Qui es-tu’’ est une seule et même question. Et la réponse est toujours la même réponse. Il n’y a pas de faux-fuyants.

Selon le point de vue de la Terre, nous sommes un mystère incompréhensible.

Vue du Ciel, notre Unité est tout à fait compréhensible et loin d’être mystérieuse. Il y a Une Main qui écrit, et il y a Un Cœur qui lit. Un Cœur qui est tout et auquel il ne manque rien.

Nous sommes Un, et Nous répondons de Tout. Il n’y a aucune différence entre Nous, excepté dans ta perception, cette perception qui te tient tant à cœur.

Bien-aimé(e) - si Je peux M’appeler Moi-Même ainsi - Je vais te dire: il existe Un Seul Amour, et c’est tout. Tous les petits détails ne sont rien que des petits détails. L’Amour Seul existe, et c’est tout ce qu’il y a à savoir. Un Cœur existe, et Un Cœur - dans la forme de toi - prend la tangente. Tu vires sur un sentier qui n’existe même pas. Toutes tes questions n’existent pas, puisque, au fond de toi-même, tu sais déjà tout. Tu détiens en toi toutes les réponses. Il n’existe pas une chose que tu ne connaisses, que tu ne comprennes et que tu ne chérisses. Pour l’amour de Dieu, tu aimes. Pour l’amour de Dieu, tu aimes, tu t’illusionnes et tu t’illustres par des danses et par des chants qui, lorsque tu entends l’écho de ta voix et regardes les mouvements de ton corps, te plongent dans une insondable perplexité.

Je peux le dire un million de fois. Le sens plein et entier de l’Unité t’échappe. Tu es pourtant pleinement dans la course, mais tu t’obstines à croire que tu te tiens isolé(e) quelque part, immobile.

Tu es une fleur en pleine et merveilleuse éclosion, alors même que tu t’imagines décrépite et fanée. Ah si seulement tu connaissais Qui tu Es, ton Essence, et si tu la revendiquais, l’incarnais, l’aimais comme la seule chose importante au monde! Car en fin de compte, il n’y a rien d’autre au monde qui ait de l’importance. Tu vis au Ciel et tu t’imagines en même temps que le Ciel est très loin, ou alors qu’il est à peine tangible. S’il y a Unité, où donc peut se situer quelque-chose sinon dans la Ville de l’Un ou dans l’Uni-Cité, plus communément appelée Ciel, Paradis, ou Lieu où tu aspires à demeurer?

Tu es Ce Lieu où tu aspires à demeurer. Pas de quoi se faire des nœuds au ventre. Nulle peur n’est tenue d’y loger. L’Un est, et l’Un fait, et pour le reste, pour tout ce que tu considères être ta vie, il y a beaucoup de bruits et de tralala pour rien. Comment as-tu pu te tromper autant?

Tu es Un, et pourtant tu embrasses la multiplicité comme si cette dernière seulement existait au lieu de l’Un. L’Un est Tout, et Tout est Un. L’Un Seul Existe. Le reste est fiction, et pourtant, Je rends hommage à l’imagination déchaînée qui soutient l’édifice entier de cette fiction. Et quelle fiction! Écrite, racontée, vécue par un Cœur battant, Un Cœur, Un Battement, Un Amour, Une Éternité, Une Infinité, et c’est Tout Ce qui Est, et c’est bien assez pour ce temps, ce temps qui d’ailleurs n’existe pas, malgré les apparences.

Translated by: Jean_Chris...

 

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