Pendant les Épisodes Difficiles sur Terre
Je vous dis de ne pas avoir peur, et vous avez peur. Se peut-il que vous sachiez mieux les choses que Je ne les connais ? Croyez-vous être sans défense et qu’il n’y ait rien d’autre que vous puissiez faire à part vous inquiéter ?
Je comprends que vous ressentiez du danger. Les évènements indésirables sont des choses qui se produisent. Je ne dis pas le contraire, et pourtant, l’inquiétude est-elle quelque chose de si important pour vous ?
Je vais vous parler maintenant d’épisodes de votre vie. Vous attendez une réponse. Vous attendez de recevoir des nouvelles encourageantes d’une personne chère qui vient de subir une intervention chirurgicale, par exemple. Pendant tout le temps où vous attendez de recevoir ces nouvelles, vous croyez-vous obligés de craindre le pire et d’explorer tous les scénarios possibles, les uns après les autres, comme si le fait de vivre une histoire désagréable vous permettait d’être assurés de recevoir la bonne nouvelle ? Vous croyez-vous obligés de vivre un désastre avant l’heure ? Vous croyez-vous obligés de vous mettre dans cette situation ?
Votre enfant est en retard, il devrait être rentré à la maison. Il est très en retard. Et votre coeur bat la chamade, et vous vous rongez les sangs.
Que suis-Je censé faire de vous dans ces conditions ? Voulez-vous bien être gentils et cesser de vous inquiéter avant l’heure ? L’inquiétude est une chose qui se produit toujours avant l’heure. Quand vous vous inquiétez, vous êtes dans un état bien déterminé, et ce n’est pas l’état dans lequel vous voulez vous trouver.
Vous éprouvez du chagrin avant l’heure. Vous éprouvez du chagrin avant que le fait se soit produit, et vous éprouvez du chagrin après qu’il se soit produit.
L’inquiétude est un serpent. Grâce à l’inquiétude, vous vous mettez en condition pour le désastre.
Quand vous allez pique-niquer, il est normal que vous prépariez la nourriture que vous allez emporter. Et si pour une raison quelconque le pique-nique n’a pas lieu, vous pouvez toujours consommer les aliments que vous aviez préparés. Mais, en ce qui concerne l’inquiétude, bien sûr, quand il s’avère que tout s’est finalement bien passé, ce que vous ressentez alors, c’est un sentiment de soulagement. Ainsi quand votre enfant finit par rentrer à la maison, vous serez heureux de le voir, que vous vous soyez inquiétés ou pas.
Il se peut que l’inquiétude soit générée de manière à éviter un choc. L’inquiétude est générée en grande quantité. J’aimerais savoir comment vous empêcher de vous inquiéter quand vous vivez des épisodes difficiles de votre vie sur Terre où vous attendez une réponse. Je voudrais que vous évitiez de vous inquiéter.
Essayez, dans la mesure du possible, de visualiser le bonheur que vous allez ressentir quand votre enfant sera rentré à la maison. Préparez en pensées le retour de votre enfant. Faites en sorte que ce soit un moment de joie. Faites en sorte que la routine, elle aussi, soit joyeuse. Au lieu de penser à ce qui est inacceptable à vos yeux, voulez-vous bien prêter un peu plus attention à ce qui est mis à votre disposition chaque jour. Au lieu de vous faire du souci à l’avance, appréciez les choses par anticipation.
Aujourd’hui vous êtes en bonne santé, et pourtant vous vous inquiétez et vous vous accrochez à l’idée que, peut-être demain, vous ne le serez plus.
Aujourd’hui tout le monde est rentré à la maison à l’heure, et pourtant vous vous inquiétez qu’il se puisse qu’un jour ce ne soit pas le cas.
Des gens ont vécu des tragédies. Quand ce sera votre tour, il sera temps d’en parler.
Entre temps, bien-aimés, voulez-vous bien choisir une autre option que l’inquiétude ? Vous avez le choix d’opter pour le calme et de conserver cet état. Voulez-vous bien privilégier le calme plutôt que l’inquiétude ? Alors faites-le, optez pour le calme. Pourquoi choisir les calamités ? Pourquoi choisir l’angoisse quand il y a des chances que cela ne soit pas nécessaire ?
Quand vous allez manger chez des amis, vous vous attendez à ce que le repas soit bon. Vous n’imaginez pas un menu horrible. Vous imaginez un menu délicieux. Vous l’attendez avec impatience.
Voulez-vous, pouvez-vous, attendre avec impatience que les évènements de votre vie prennent une tournure positive au lieu de vous inquiéter en pensant que tout va aller de travers ?
Pouvez-vous anticiper les conclusions heureuses plutôt que celles qui n’apportent que des soucis ?
Voulez-vous bien opter pour le bonheur plutôt que pour le malheur ?
Qu’est ce donc qui peut vous empêcher de regarder de l’avant ? L’habitude peut-être ? Vous avez été habitués à l’inquiétude. Il se peut que vous en ayez fait une habitude.
Si vous vous êtes toujours rongés les sangs, pouvez-vous arrêter de vous ronger les sangs ?
Lorsque vous vous inquiétez, cela revient à vous couper l’herbe sous vos propres pieds.
Lorsque vous vous inquiétez, cela revient à vous habituer vous-même à vivre des malheurs.
Pendant les épisodes difficiles, accordez-vous la paix et la promesse de la paix à venir.
Translated by: Chantal La...Permanent link to this Heavenletter: https://heavenletters.org/pendant-les-episodes-difficiles-sur-terre.html - Thank you for including this when publishing this Heavenletter elsewhere.
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