Les Questions que Vous Posez

God said:

En tant qu’être humain dans le monde, abstenez-vous de vous demander chaque jour: « Suis-je heureux? A quel point suis-je heureux aujourd’hui? A quel point suis-je malheureux aujourd’hui ? » Vous demander à vous-même un bulletin de votre bonheur est une invitation au malheur.

Menez à bien votre travail et votre vie et prenez le bonheur comme un dû. Votre bonheur n’est pas mis en question sauf si vous en débattez.

Vous ne vous réveillez pas chaque matin en vous demandant si vous êtes en vie. Ceci est une bonne supposition que vous êtes en vie.

Avec un peu de chance, vous ne vous réveillez pas chaque matin en demandant: «Suis-je en bonne santé ce matin? Est-ce que j’ai mal au crâne? Est-ce que j’ai de la température? Est-ce que j’ai l’air pâle?

Pas plus qu’il n’est utile de demander: « Quelles appréhensions ai-je aujourd’hui? Quels sont mes manques? Que suis-je en train de rater? De ce que la vie a à m’offrir, que suis-je en train de rater?

La faute réside dans vos questions, bien-aimés, pas dans les étoiles. Vous posez des questions phares. Vous faites une suggestion qui pourrait bien vous interrompre sur le chemin du bonheur, de la bonne santé, du bien-être, et ainsi de suite.

Vous lèveriez-vous chaque matin sur la mélodie de questions telles que: « Serai-je arrêté aujourd’hui? Serai-je renversé par une voiture? Ma voiture sortira-t-elle de la route? » Vos questions pourraient vous mener sur une route tortueuse.

Dans la vie, vous n’êtes pas au tribunal. Aucun avocat ne vous pose des questions dont votre vie dépend . Vous n’êtes pas à la barre. Personne ne vous demande de vous incriminer, pourtant cela semble être une de vos habitudes personnelles, de vous assigner en justice. Mieux vaut prendre la grand-route. bien-aimés. Conduisez juste sur la route qui est appelée Bonheur. Ne conduisez pas sur la route appelée Difficultés ou Mésaventures ou Délabré ou Pauvreté ou Problème ou Cœur Brisé. Quelle rue désirez-vous prendre? C’est la rue sur laquelle il faut conduire. Pas celles derrière vous.

La responsabilité de votre vie vous revient. Si la vie est hors de vos mains, vous faites de vous-même une victime du monde. Une victime n’est pas un bon rôle à jouer. C’est plutôt un rôle pleurnichard. Que fait un enfant de Dieu à pleurnicher de toute façon?

Est-ce que vous vous réveillez le matin en demandant: « De quoi puis-je m’en vouloir aujourd’hui? Quelle raison de self-apitoiement ai-je? Où sont les listes d’insatisfaction du jour? Combien de dangers puis-je trouver? A combien de personnes puis-je penser aujourd’hui qui m’ont fait du mal et s’en sont tirées ainsi? Quelle calamité m’attend aujourd’hui? Laissez-moi compter les chemins.»

Si vous voulez compter, comptez la bonne fortune. Mettez la malchance de côté. Ne lui dressez pas un beau portrait.

Bien qu’il doive y avoir quelques images de malheurs que vous transportez qui vous ont attirés, pourquoi les prendriez-vous avec vous ou les chercheriez-vous tout le long du chemin pour les trouver?

Sortez sous les rayons du soleil avec Moi. Lorsque vous êtes dans un champ de marguerites, vous cueillez les marguerites que vous aimez. Vous mettez les marguerites que vous avez cueillies dans les pièces de votre maison. Vous ne cueillez pas les fleurs fanées pour les mettre dans vos pièces, pourtant il semble que vous cueillez les fautes partout alentour. Vous pouvez même chercher des champs de choux pourris pour vous décourager. Cherchez d’adorables fleurs pour remplir les pièces de vos pensées.

Vous n’avez pas toujours été loyal avec vous-même ni loyal envers votre volonté et Ma Volonté. Indiquez-vous la direction dans laquelle vous irez maintenant. Prenez un virage à 90 degrés avec vos pensées. Prenez le train en marche du bonheur.

Translated by: Anais

 

Your generosity keeps giving by keeping the lights on