Le ciel est en vous, pas ailleurs. Le ciel n’est pas un endroit en dehors de vous, et Je ne suis pas à l’extérieur de vous. Je suis à l’intérieur. JE SUIS Vous. Là où Je suis est le ciel. Lorsque vous vous désavouez comme faisant Un avec Moi, alors vous vous déplacez vous-même du ciel. Vous sentant isolés sur la Terre, vous devenez étranger à vous-même.

Je vous demande d'être Vous-même dès maintenant, tout comme vous êtes dans votre corps humain. Que J’existe en vous est fantastique, mais ce n’est pas un fantasme. Votre vie actuelle est une fraude, une fraude fictive, comme si vous montiez une pente, transportant des bagages qu’il ne vous appartient pas de transporter. Vous n'êtes pas ce malheureux personnage que vous déclarez être. C’est un rôle que vous jouez. Ceci est tout de même pour votre mieux-être seulement en ce sens que grâce à ce mirage, vous pourrez décider de découvrir votre véritable Soi et de savoir que vous n'êtes pas relégué au simple rôle que vous jouez en tant qu’être humain ordinaire.

Les êtres humains sont extraordinaires. Vous êtes les extraterrestres dont vous parlez. Vous vous trouvez sur la Terre, et pourtant vous ne provenez pas de la Terre. Vous êtes venus ici. Vous avez atterri ici. Vous êtes venu pour aider la Terre et tous les autres êtres extraterrestres qui vivent ici depuis longtemps, en effet, ils sont venus dans le même bateau que vous. Vous êtes venus de votre propre gré. Vous n’avez pas été parachutés ici.

Certes, vous avez sûrement pensé ou suspecté que vous étiez bien plus qu'un être humain ordinaire. Il n'y a pas d’êtres humains ordinaires. Il n’y a rien d'ordinaire en vous. Bien que, ce qui est ordinaire c’est que vous vous prenez comme un morceau de marchandise. Vous acceptez l'idée qu'il n'y a rien de spécial à propos de vous. Ceux qui sur Terre, deviennent populaires sont comme des stars de cinéma où un idéal quelconque leur est attribué.

Personne n’est ordinaire, quoique le monde puisse en dire. La célébrité ne rend pas quiconque remarquable. Bénissez les êtres humains qui bénissent le monde, célèbres ou pas. Vous êtes de ces êtres humains qui bénissent le monde. Vous êtes venu sur Terre pour bénir. Oui, c’est pourquoi vous êtes venu ici. C’est la raison pour laquelle vous êtes ici en Mon nom, et vous avez accepté de venir. Chantez vos louanges.

Vous n'aimez pas du tout quand vous n'êtes pas remarqués. Vous méritiez d'être remarqués et appréciés, et pourtant c’est vraiment vous qui, en toute modestie, ne vous faites pas remarquer et ne vous valorisez pas vous-même. Vous êtes les seuls à ne pas apprécier votre petit moi, ni n’appréciez votre Soi.

Quand vous a-t-on appréciés suffisamment? Vous vous calqués sur les opinions que les autres ont de vous. On vous qualifie de pleurnichard ou d’autres choses fausses. Quelle personne dont l'âme n’est pas appréciée ne pleurerait pas?

Chacun d'entre vous sur la Terre est né de Moi. Cette prise de conscience a toujours été négligée. Lequel de Mes enfants n’exige pas de recevoir l'appréciation et la reconnaissance plus que la mesure d’un dé à coudre? Et combien reçoivent plus que moins? Qu'un dé à coudre soit votre dose est une grave erreur.

Si c’est votre cas, tant pis, vous vous occupez de ce que le monde pense de vous et c’est là votre erreur.

Le monde ne peut pas vous donner ce que vous méritez et désirez. Le monde ne sait tout simplement pas comment procéder. C’est une honte, mais c’est également correct. Tirez votre appréciation de Moi-même - votre propre Soi intérieur.

Il est inutile de dénoncer les manques des autres et de transposer leurs omissions sur vous-même.

Mon amour pour vous ne semble pas compenser la négligence des autres. C’est ainsi que cela semble être. Qu’une personne sur Terre ne vous dise aucun mot d'amour, et vous êtes brisés. Seul Dieu peut chanter vos louanges, et ainsi vous ne vous sentez plus châtié pour la négligence d'un autre être humain. Ne souhaitez-vous pas penser qu'un mot de Moi saurait vous indemniser pour toutes les insultes du monde, mais cela ne semble pas être la façon de fonctionner. Cela a été difficile pour vous de vous de compenser, même pour la plus petite omission. N’est-ce pas vrai?