La Vie Est Comme Un Mariage
Peu importe ce qui vous cause du souci, peu importe à quel point c’est grave, vous vous souciez pour rien. Les soucis sèment la zizanie. Refermez le couvercle. La soupe cuira sans beaucoup d’attention. Je ne dis pas d’oublier ce qu’il se passe dans votre vie. Je dis de ne pas en faire le but principal de votre vie, même pas pour une journée.
S’il y a quelque chose que vous pouvez faire à l’instant, payer une facture, par exemple, faites-le. Néanmoins, des factures impayées ne doivent pas consumer votre vie.
Quand vous passez votre vie à vous faire du souci, vous jetez votre vie aux loups, en quelque sorte.
Faites ce que vous pouvez faire aujourd’hui, et puis portez votre attention sur quelque chose d’autre. Voudrais-Je jamais être préoccupé avec des soucis ? Où ai-Je déjà dit que les soucis sont bons pour vous ? Je ne vous dirais jamais de vous prendre la tête avec des soucis. Je ne vous dirais jamais de vous mettre dans un état d’esprit consumé de soucis.
Si vous vous trouvez dans un soupçon de soucis de votre propre création, n’en faites plus. Bien-aimés, vous ne pouvez pas envelopper le monde autour de votre petit doigt. Démêlez le monde pour un moment. Où que vous laissiez le monde dans vos pensées, vous pouvez y revenir. Désistez-vous de l’inquiétude. Vous pouvez trop bien connaître l’inquiétude. Ne laissez pas l’inquiétude être le pilier de votre vie.
Si vous étiez une vache qui devait paître et que vous aviez mangé toute l’herbe d’un pré, vous iriez dans un autre pré où il y a de l’herbe fraîche. Alors que les vaches bien-aimées doivent attendre que quelqu’un leur ouvre un portail vers un autre pré, vous n’avez pas à attendre. Vous n’avez à attendre après personne sinon vous pour vous sortir du pré de l’inquiétude.
Ne dites pas que vous ne pouvez vous empêcher de vous faire du souci. Je ne dis pas non plus que vous pouvez balayer l’inquiétude d’un revers de la main juste comme ça, pourtant Je dis que vous pouvez vous orienter dans une autre direction. Vous pouvez du moins penser qu’une nouvelle veine de pensée est une meilleure idée que de vous faire du souci pour vous distraire.
Serions-Nous en train de dire de ne pas prendre la vie si sérieusement ? Est-ce de cela que Nous parlons ? Est-ce ce que Je vous demande ?
Evidemment, vous n’avez pas à vous échapper avec l’inquiétude. Vous n’avez pas à vous enfuir avec elle. Laissez les soucis prendre soin d’eux-mêmes un moment. Les soucis n’ont pas besoin de votre participation. Ne vous faites pas de souci. Les soucis ne vous oublieront pas. Ils sont entraînés pour revenir. Ils sont bons à cela. Vous n’êtes pas bons à laisser aller.
Vivre sans inquiétude aux commandes de votre vie ne signifie pas que vous soyez un irresponsable. Cela signifie simplement que vous ne porteriez pas un poids autour du cou. Vous ne porteriez pas un chapelet de soucis. Vous ne ressasseriez pas la même pensée encore et encore de telle ou telle façon. Votre vie ne tournerait pas autour des soucis.
Bien-aimés, où sont passés vos anciens soucis ?
Vous avez traversé beaucoup de choses dans la vie, et vous vous en êtes sortis. Vous voyez la vie comme de bons et mauvais moments, des moments faciles et des difficiles, hauts et bas, avancer et reculer. Croyez-vous que vous pourriez penser à la vie d’une autre manière ? Pouvez-vous y penser plutôt comme une ligne droite, une ligne sans extrêmes, une ligne sans attentes de crevasses ? La vie n’est rien de plus que la vie ! Appelez simplement la vie la vie. Je pense que vous pouvez suivre la vie comme elle vient et la prendre comme elle vient, sans la pousser ni la tirer, juste en la prenant comme elle vient, en la rencontrant à mi chemin, et bien, la vie un peu comme un mariage où vous apprenez à vous connaître mieux alors que vous avancez, et vous vous en sortez bien.
Translated by: AnaisPermanent link to this Heavenletter: https://heavenletters.org/la-vie-est-comme-un-mariage.html - Thank you for including this when publishing this Heavenletter elsewhere.
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