Nous ne saurions surestimer l’importance de rester positif. C’est à vous qu’incombe la mise en chantier du monde. Vos pensées construisent le monde.

Supposons que vous soyez fabricant de capsule de bouteille. En tant que tel, vous auriez mieux à faire que d’émettre des propos négatifs sur la façon dont ces capsules ont été fabriquées. Vous auriez bien mieux à faire que de juger les capsules de bouteilles ‘‘de pures sottises’’. Vous auriez mieux à dire que ‘‘Les capsules de bouteille ? Tsss….’’

Et pourtant, au sujet du monde, vous faites ‘‘Tsss…’’. Vous en délivrez un terrible pronostic. Vous avez cessé d’y croire. Vous dites ‘‘il y aura toujours des guerres’’. ‘‘L’histoire se répète’’. Et par ces mêmes propos, pensés ou exprimés à haute voix, vous essayez d’établir que ce que vous dites est vérité. Ainsi, lorsque l’histoire se répète, vous pouvez dire : ‘‘Tiens, je te l’avais bien dit. Je voyais venir. Je le savais. Je l’avais prédis.’’ ‘‘Et j’ai gagné’’, votre mental ajoutera, crânement.

A partir de maintenant, envoyez de la lumière sur le monde. Le monde est ce que Nous en faisons, bien-aimés. C’est Notre bébé. Si vous ne dites pas du bien de Notre bébé, qui va le faire?

Le monde est votre enfant. La façon dont vous le nourrissez fera donc une différence. Il est dépendant de la manière dont vous pensez à lui et des paroles que vous dites à son sujet. Le monde changera en fonction de ce que vous pensez de lui. Le monde auquel J’ai donné naissance dépend de vos bons soins et de vos bonnes pensées.

C’est bien connu qu’une plante d’intérieur croît et se développe en fonction de ce que vous pensez d’elle et de ce que vous lui dites. Si vous voulez que votre plante s’épanouisse, bénissez-la. Si vous la négligez ou lui parlez durement, elle se flétrira. N’allez pas croire que le monde est moins affecté que la plante que vous remportez du magasin.

Il y a vraiment de bonnes choses à dire au sujet du monde, et vous devez les dire. Dites-les ou restez silencieux. Soit vous encouragez le monde, soit vous demeurez silencieux. Mais il est tellement plus utile de le supporter et de l’encourager.

Sans le monde, vous n’auriez rien à redire, aucun défaut à trouver! Mais le monde ne doit pas devenir votre souffre-douleur. Le monde est votre opportunité. Vous avez une influence sur l’état de ce dernier. Vous ne pouvez pas pousser le monde de côté pour faire place à vos propres déclarations.

Le monde est une entité qui vit et qui respire. Il est bien intentionné. Il n’a pas d’autre choix que de vous refléter. Donnez-lui quelque chose de magnifique à refléter. Soyez le meilleur supporter du monde. Conduisez-le vers la victoire. Considérez que le monde est votre armée, et donnez-lui une direction. Bien entendu, il peut être le soldat prêt pour la guerre comme il peut être aussi l’adorable Mère Terre qu’il est supposé être. C’est votre décision. Vous avez les cartes en main. Ou bien vous l’élevez ou bien vous précipitez sa chute. Vous êtes celui qui désigne le monde, qui le propage. Vous êtes le fermier qui le cultive et vous êtes l’enfant qui cueille les fruits de ses arbres. Le monde dépend de vous, de vous tous. Il se modèle sur vos actes et sur vos pensées. Vous êtes son parent, son chef d’orchestre, son champion. Vous supportez le monde. Trouvez-y de quoi admirer et ainsi vous le soutiendrez. Il y a tant à aimer en lui. Aimez-le.