Laissez les vannes grandes ouvertes. Je parle des vannes de l’amour. Je parle de M’admettre tout à la fois dans votre vie et dans votre perception de la vie. Laissez entrer l’amour et son organisateur, Moi, Dieu, dans votre monde. Laissez-Moi être votre force. Laissez-Moi dire quelques mots à votre sujet, au sujet de l’être humain que vous êtes, de vous en tant que cœur, intellect et âme qui marchez dans un corps encombrant. Laissez-Moi obtenir un peu de l’attention que vous donnez présentement à votre corps d’autrefois. Absolument, certes prenez soin de votre corps, mais faites aussi de la place pour Moi. Vous savez, le corps est mortel. En un sens, le corps est un jeu perdu d’avance. Vous ne pouvez pas enrayer le cours du temps dans ce monde. Venez plutôt dans l’Infini avec Moi.

Ce que vous percevez, c’est ce que vous obtenez. Percevez mieux, percevez plus grand que ce que vous perceviez. Vous ne perceviez jusqu’à présent qu’une infime miette de ce que vous êtes vraiment.

J’existe. Même si vous pensez que Je n’existe pas, laissez-Moi exister pour vous. Sans Moi, la vie dans ce monde se remplit de tracas et de complications. Le monde vous réserve bien des frayeurs. Vous voyez des ombres à chaque recoin. Remplacez ces peurs par Ma présence. Faites plutôt appel à Moi. Laissez-Moi entrer dans votre vie. Faites-vous une grande faveur en appelant la Présence qu’on désigne du nom de Dieu ou de toute autre nom portant le même sens. Si vous n’aimez pas le nom de Dieu, alors appelez-Moi Ami. Appelez-Moi Amour dans sa Plénitude. Et n’oubliez pas d’appeler la vie sublime, et de faire en sorte qu’elle le devienne.

J’aimerais que vous croyiez en vous. Je vous y aiderai. Ensemble, Nous allons faire des miracles.

Vous êtes en sécurité. Le corps, lui, n’est pas en sécurité. Il est en péril. Ne vous identifiez plus désormais au corps et à ses émotions passagères. Plutôt que de vous émouvoir, aimez. Tenez, commencez avec Moi. Laissez les émotions négatives derrière vous. Laissez les émotions de peur derrière vous. Aussi importantes qu’elles vous paraissent, elles sont fugaces et frivoles. Elles adhèrent au passé et y renvoient. Déblayez votre route de toutes ces émottions qui vous rattachent au passé. Éclaircissez votre chemin de toutes ces émotions ennemies.

La colère, la haine et la peur sont vos ennemis extérieurs. Elles viennent de l’ego et elles vous parodient. Croyez-Moi, si vous souhaitez la maladie à quelqu’un, vous ne vous sentirez jamais en sécurité. Vos pensées deviennent réelles. Elles se manifestent d’une manière ou d’une autre. Et vous les récolterez en retour.

Vous pourriez croire que certaines personnes que vous croisez dans votre vie sont des ennemis. Mais toute cette vie durant, vos véritables ennemis, ce sont vos pensées. Avec vos pensées, vous prenez votre appui sur un passé sombre. Mettez le passé de côté. Il ne vous sert pas. Si le passé ne vous a pas servi dans le passé, pourquoi croyez-vous qu’il vous servira aujourd’hui?

Lorsque vous prenez votre appui sur l’injustice du passé, vous donnez vie à ce passé. Lorsque vous rabâchez les injustices, vous les attirez à vous. Si vous voulez être la victime de nouvelles injustices, continuez à vous poser en victime, continuez à ressasser les injustices du passé. Vous vous punissez avec le passé. Les vrais délinquants, les vrais méchants dans l’histoire, ce sont vos pensées. C’est à vous désormais de les changer. Les vielles pensées ramènent dans leur giron la vie du passé, une vie qui se manifeste devant vous. La cruelle belle-mère ne reviendra pas physiquement, mais quelqu’un d’autre va prendre sa place. C’est vous qui la faites revenir.

Pour que votre vie change, vous devez changer. Personne ne va changer votre vie à votre place. Votre vie, c’est votre création. Et vous la créez avec vos pensées ainsi qu’avec vos émotions qui collent aux pensées. Sortez du passé où vous avez vécu. C’est ainsi que vous changez votre vie. Ça suffit de revivre le passé. Venez à la vie désormais.