Tu Es un Voyageur dans le Temps

God said:

Que devrai-Je faire avec toi et Mon amour pour toi? Je crois que Je vais garder et toi et Mon amour. Je vais faire virevolter haut Mon amour et te tenir dans une étreinte dans l’Éternité où nous vivons. Infiniment, tu es Mien et Je suis tien. Comme tout devient simple quand Nous coupons court ce brouhaha de pensées qui a cours dans le monde.

Le monde diviserait l’Unité en plusieurs morceaux. Le monde l’a fait. Le monde aime s’impliquer dans les choses et avoir des drames et des histoires à raconter, histoires de choses magnifiques tout comme histoires d’horreur. Comme le monde aime le contraste. Comme le monde aime les hauts et les bas. Comme le monde aime le temps et comme le monde aime l’espace. Et comme, en dépit de tout, comme en dépit des imageries les plus sombres, comme le monde aime.

Un bébé pleure, des oiseaux chantent, des trains se précipitent à haute vitesse, des voitures entrent en collision, le sang coule et, pendant tout ce temps, l’amour descend et arrange toute chose. Tout devient rien à la lumière de l’amour et l’amour devient tout et l’amour est, commandé ou non. L’amour est le courant sous-jacent et l’amour vibre en tout. Il n’y a rien sans amour. L’amour fait entendre sa voix par-dessus toutes les autres. L’amour est le grand dénominateur. Les concepts de mort et de taxes ne le sont pas.

L’amour est entièreté et l’amour est sain. Tout le reste est parcellaire. Et pourtant, si Je ne veux pas Me contredire, il n’y a pas de parcellarité. Les particules sont examinées et pourtant les particules ne sont pas. Tous les mots sont un nom pour l’amour. Mon nom est Amour ainsi que le tien.

Tu es embarqué dans une aventure excitante sur Terre. Toi, qui es repos, n’en fluctue pas moins dans le monde. Intrinsèquement, tu vibres dans Mon cœur mais, bel oiseau de Mon cœur, tu crois voler en solitaire. Et ainsi tu encombres ton temps et tu encombres ton espace pour que tu sois en mesure de croire en la compagnie des choses et passer le temps même quand le temps n’existe pas. Comme tu aimes même les frontières qui t’entravent.

Les frontières ne peuvent que t’entraver. Je devrais plutôt dire que la croyance en les frontières t’entrave. Tu crois en la petitesse plus que tu crois en la Grandeur et ainsi tu te désavoues toi-même et tu Me désavoues. Sur Terre, l’illusoire prend le dessus. Tu t’y embourbes. Alors même que Je te tiens dans Mes bras, tu es pris dans de nombreuses choses. Tu es un voyageur dans le temps en pensée. Les pensées t’exproprient. Les pensées t’amènent en toutes sortes d’endroits et les pensées gaspillées entravent la réalisation de toi-même.

Tu es un chasseur qui va à la chasse même quand tu transportes ton gibier sur l’épaule.

Tu voyages dans le temps et l’espace même si ceux-ci n’existent pas. Tu existes et tu n’as jamais été inexistant, ce qui est la Vérité de toi-même.

Il ne peut y avoir de Dieu qui n’existe que pour un temps ou seulement dans l’espace. S’il est un Dieu, Il est. S’il est une Déesse, Elle est. Un Dieu ne commence ni ne finit. Et toi non plus. Je ne peux pas dire que Nous sommes dotés de longévité parce qu’il n’y a rien de court ou de long en ce qui Nous concerne. L’Éternité ne peut être délimitée même si, bien sûr, le monde lui-même est une démarcation de l’Éternité et même là toutes les démarcations du monde ne sont que fantaisie. Un clou est solidement planté dans l’illusion. Le monde fonctionne par illusion. L’illusion est la couverture de sécurité dont le monde ne peut se passer et qu’il appelle lui-même le monde. Un monde désire la séparation et abandonnerait le Ciel pour être en mesure d’exister ou, plutôt, imaginer qu’il existe.

Tout, tout dans le monde est illusion. Tout excepté toi et tout excepté Moi et tout excepté l’amour. Tout le reste est illusion, illusion à laquelle on croit, illusion à laquelle on tient, illusion que l’on prend pour la réalité alors que, en Realité, l’illusion n’est pas.

Translated by: Normand Bo...

 

Your generosity keeps giving by keeping the lights on