Si la peur n'existait pas, qu'y aurait-il à craindre?
D'une façon, vous Me remerciez pour tous Mes bienfaits. Vous pouvez même oser Me remercier de vous aiguiser, de vous raffiner, de vous tremper comme on tempère l'acier et d'une autre façon pourtant, vous avez peur de la vie et de la mort et vous demandez si vous devriez vous en préoccuper. Les inquiétudes ne sont pas bonnes pour vous. Vous avez bien appris à vous inquiéter de tel ou tel symptôme.
La maladie est une pensée dans votre esprit. Si vous n'aviez jamais entendu parler de maladie, l'idée ne vous en viendrait pas. Les pensées de maladies sont devenues épidémiques. La maladie est une pensée attrapée quelque part puis apprise. Ne la gardez pas avec vous. Même si vous avez reçu un diagnostic défavorable, du mieux que vous pouvez, trouvez une façon de penser à d'autres aspects de la vie.
Souvenez-vous, bien-aimés, qu'il n'y a pas une telle chose qu'une sentence de mort. Il n'y a pas de mort. Oui, le corps peut faire pouf! et il le fera. Le corps va s'écrouler au profit de lois supérieures. Le comment et le quand de la mise au rancart de votre corps restent à être déterminés. Ce qu'on appelle la mort vous laisse perplexes. C'est tellement commun bien que vous ne puissiez pas vous étendre et mourir à volonté. Vous ne pouvez fixer le jour et l'heure. Malgré tout, vous regardez beaucoup l'horloge.
N'activez pas le compteur. Ne consacrez pas votre temps à attendre le moment de la soi-disant mort. N'honorez plus à ce point le concept de mort. Il en va de même pour l'âge et les choses comme l'espérance de vie, les statistiques et toutes les autres formes de prédictions. Éloignez-vous des statistiques qui, par exemple, prévoient que l'incidence de la grippe sera à la hausse cette année. Quel bon sens y a-t-il à mettre la table pour la grippe? Honorez ce que vous voulez honorer. Accueillez ce que vous voulez accueillir. Pour ce qui est du reste, laissez la prépondérance vous glisser entre les doigts.
Désistez-vous de tous les dictons du monde, de toutes les descriptions et de tous les remèdes. Soyez guéris. Guérissez-vous de dépenser tant de votre temps, de vos pensées et de votre coeur sur ce qui s'appelle maladie ou trouble. Desserrez votre emprise trop ferme. Abandonnez les idées pénibles. Oubliez la pensée de karma à moins que vous pensiez à un karma que vous aimez.
Libérez-vous des systèmes de pensées, des explications, du sens de la réprimande ou de la culpabilité. Vous méritez la bonne santé. Ne voyez pas la maladie comme un démérite. On ne s'en est pas pris à vous. Personne,tenant un fusil, ne surveille chacun passer et tire à bout portant selon une formule ou par hasard.
Personne ne connait les enjeux, alors ne misez pas contre vous-mêmes.
Je vais vous dévoiler les enjeux. Les enjeux sont contre la maladie. Pensez-y, s'il n'y avait pas de professionnels de la santé qui attendent que la maladie advienne, combien de maladies y aurait-il? S'il n'y avait pas de pharmacies, y aurait-il des ordonnances? Ceci ne vise pas à blâmer quiconque ou quoi que ce soit pour la maladie parce que, si la peur n'existait pas, qu'y aurait-il à craindre? La maladie est une illusion. Ce n'est pas un rêve que vous caressez, n'est-ce pas?
Il n'y a pas de question sinon que vous pouvez être exempts de maladie, et cela, en un instant, parce que vos pensées sont tellement puissantes, si seulement vous pouviez laisser aller votre penchant pour les idées incitatrices de maladies que vous couvez. Avec chaque vaccin, vous acceptez un mode de pensée. N'investissez pas un tel capital dans la maladie. Ne payez pas un tel tribut à la maladie. N'accordez pas une telle confiance à la maladie. Ne les invitez pas dans votre esprit. Pas même un rhume.
Et si une maladie vous a mis le grappin dessus, défaites-vous-en avec le pouvoir de Dieu investi en vous. Relâchez les griffes qui vous tenaillent, parce qu'elles viennent de votre esprit et vous n'avez pas à courber l'échine devant elles.
Si cette révocation de la maladie ne semble pas efficace pour vous, alors débarrassez-vous de son emprise de quelque autre façon. Vous n'avez pas à vous accrocher à la maladie. Vous ne connaissez pas le pouvoir que vous avez. Vous ne connaissez pas l'état de votre conscience. Croyez en vous-mêmes et croyez en Moi plus que vous ne croyez en la maladie.
Votre corps va crouler. Ça s'appelle mourir. Votre corps va crouler, mais la maladie n'a pas à s'emparer de vous.
L'acte de mourir et le processus de la mort sont perçus par vous comme un affront, presque comme une disgrâce. Ce n'est pas une disgrâce. C'est quelque chose qui vient avec le territoire. Abandonnez cette idée que quitter votre corps est une insulte et que la vie vous est confisquée. La vie ne peut vous être confisquée. Vous êtes invincibles. Le corps n'est pas une chose si énorme. Bien sûr, il semble représenter tout pour vous alors que, en réalité, le corps n'a pas vraiment grand-chose à voir avec vous, parce que vous êtes Être, vous êtes Âme. L'Être et l'Âme ne peuvent jamais vous être enlevés. L'ego peut vous être confisqué, arraché. On ne peut M'enlever de vous. On ne peut vous enlever de Moi.
Translated by: Normand Bo...Permanent link to this Heavenletter: https://heavenletters.org/si-la-peur-nexistait-pas-quy-aurait-il-a-craindre.html - Thank you for including this when publishing this Heavenletter elsewhere.
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