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Bien-aimés, Je vois le dénigrement que la souffrance représente vraiment. Je ne suis pas blessé par des mots peu amènes. Ceux qui sentent qu’ils doivent soulever leurs poings vers Moi souffrent d’antagonismes tels que leur antagonisme devient leur principe extrême de vie. Ils serrent leur poing et disent: "Dieu, Vous l'avez fait. Vous m’avez fait souffrir. Maintenant, je vais revenir contre Vous. "
Pour ceux d'entre vous qui M’aiment et Me défendrait du dédain, Je n'ai pas besoin de vous pour Me défendre. Pas plus que ceux qui s’insurgent contre Moi pour se défendre d'être contre moi. Ils n’ont pas à résoudre le pourquoi ils s'opposent à Moi. Ils ne doivent pas choisir leur camp, car, ce faisant, ils tournent leur auto-flagellation vers Moi, ils Me blâment pour leur souffrance, comme s’ils avaient été personnellement attaqué. Ils sont sûrs que je l'ai fait.
Il n'y a rien à prendre personnellement pour quiconque.
Je sais que mes enfants souffrent. Pour ceux dont la souffrance est insurmontable et qui choisissent de s’opposer à Moi, que l'on sache qu'ils sont libres de faire ce choix.
Alors maintenant, Je vous parle, à vous qui peuvent choisir de s’insurger contre Moi. Je vous réponds maintenant
Vous pouvez dites, comment puis-je ne pas souffrir en raison des conditions dont je souffre?
Je dis: la souffrance peut être un choix que vous avez fait il y a très longtemps, mais vous l'avez choisi, et vous la choisissez encore. Vous pouvez penser que vous êtes sous le joug de la souffrance. En effet, vous avez souffert, mais qui a mis le joug sur vous et vous dit de le porter aussi longtemps que vous le pouviez? Qui prétendait au joug de la souffrance et l'a placé sur vous? Pas Moi. Je voudrais le retirer de vous.
Je comprends ce que vous mettez sur ce joug. Vous avez choisi une branche du premier arbre que vous avez vu, et vous vous y êtes arrêté. Vous avez dit: "Ceci est ma branche."
Bien-aimés, ce que vous avez choisi, n’était pas une branche d'olivier.
Il n'y a rien à pardonner. Cependant, vous avez décidé qu'il y avait trop de choses à pardonner, et que vous ne le feriez pas. Vous avez préféré laisser la chaleur de la consternation se transformer en colère et brûler tel un trou dans votre cœur. Vous avez choisi d'être une victime de la vie. Je vous demanderais de vous sauver de vos propres conclusions.
Choisissez que Dieu vous aime. Il est impossible pour Moi de ne pas aimer. Il n'y a aucune exception. Que se passerait-il si vous pouviez transformer votre chagrin et épargner votre cœur, lui donner une chance, libérer votre cœur de la corde que vous avez mis autour de son cou?
Cela viendra, encore que vous vous teniez actuellement sur la défensive. Vous êtes si désespéré et carrément en colère que vous aurez même une crampe et nuirez à votre propre cœur. Vous allez montrer à Dieu que vous ne voulez pas être empêtré avec Lui. Vous êtes votre être souverain, et vous ne tolérerez pas ce que vous voyez comme la vengeance de Dieu, et ainsi vous préférez agiter vos bras et Me battre plutôt que de M’écouter.
Vous avez décidé d'avoir un match de boxe avec Moi. Vous allez Me montrer. Vous allez Me montrer que vous ne pouvez pas être traité de cette façon. Et si vous vous engagiez dans une bataille à sens unique.
Êtes-vous si certain qu'il y a une sorte de rivalité entre nous? Comme vous l'avez dit:
«Dieu est si méchant, je ferai de même en retour. Je punirai Dieu pour la souffrance qu'Il m'a donné. Je ne vais pas me soumettre à Lui. Il doit être mon ennemi. Je ne vais pas lui permettre d'être mon ami. Je ne vais pas le laisser s’asseoir avec moi. Je ne vais pas lui donner le bénéfice du doute ".
Et vous réaffirmez votre slogan, pas le Mien: "La vengeance est à moi», dit l'amertume.
Vous aimez vous voir comme étant forts et indomptables. Quelle force y a-t-il là dans les représailles? La profondeur de votre douleur est si grande que vous vous bagarrez même avec Dieu, peu importe combien cela vous maintient dans la servitude.
Bien-aimés, vous qui souffrez et ajouter la colère à votre souffrance, vous vous limitez à seulement deux alternatives: se battre ou se soumettre. Pourtant, entre le chaud et le froid, il y a des gradations.
Vous avez choisi le jugement, et vous Me voyez comme vous ayant jugé, et, par conséquent, vous avez collé votre perception sur Moi. Vous avez choisi le jugement et vous l’avez fixé comme irréfutable. Vous en avez rempli votre esprit, et, avec toute votre volonté, vous n’avez pas arrêté ce débat, peu importe.
Vous pouvez changer de cap. Vous pouvez laisser tomber l’idée sur laquelle vous êtes accroché, à savoir que Dieu est un mauvais gars, et vous êtes un bon gars qui a été victime.
Vous croyez que Je ne vous ai pas donné de chance quand vous refusiez de Me donner une chance. Qui se serait-il passé si vous m'aviez donné un billet pour votre cœur? Voulez-vous tout recommencer, et donner une bonne chance au bonheur?
L'amertume ne conduit pas au bonheur. Vous n’avez pas à avoir une emprise sur vous-même. Libérez-vous. Donnez-vous une chance de voir, de plus en plus grande. Lâchez ce qui vous garde où vous êtes. Recommencez.
Translated by: Denise Des...Permanent link to this Heavenletter: https://heavenletters.org/recommencez.html - Thank you for including this when publishing this Heavenletter elsewhere.
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