Vous avez des questions. Certaines de vos questions, vous ne les posez pas. Ou vous les posez de façon qui tourne en rond. Vos questions sont souvent des doutes déguisés. Vous posez vos questions souvent pour dissiper les suspicions qui se cachent en vous. Que sont les doutes sinon des suspicions ?

Vous pouvez demander dans vos cœurs :

« Où tout ce qui vient à moi et à nous tous dans la Vie sur Terre va ? Si l’énergie n’est jamais perdue, où est passée mon énergie ? Où est-elle ? Si la vie humaine sur Terre ne peut pas être perdue, cela signifie-t-il que l’énergie, y compris la mienne, n’est pas gâchée ? Il me semble que sur Terre je gâche énormément d’énergie jusqu’à ce que j’aie l’air d’en manquer et de ne plus en avoir pour ce jour. »

« Dieu, je sais bien que la beauté existe. Je n’ai jamais oublié la beauté, même si je n’ai pas toujours vu la beauté devant moi. Je crois en la beauté, pourtant on dirait que je crois au manque et à la souffrance. Puisse mon reste d’énergie de souffrance disparaître et que seule la beauté demeure. »

« Je crois que lorsque mon corps meurt, je vais m’élever dans un Etat de Beauté où la souffrance n’est pas. Je souhaiterais que toute souffrance soit éliminée. Je reviens encore et encore à douter de la valeur de toute souffrance. Est-ce vraiment nécessaire dans la Vie ? Nous sommes Tes bien-aimés enfants. Nous sommes ignorants. Nous sommes bêtes. Nous ne savons pas ce que nous faisons. Ne pourrions-nous pas être illuminés sur Terre à notre première apparition ici ? Avons-nous réellement à faire notre temps comme nous le faisons ? Je comprends que la Vie est une bénédiction, pourtant je ne veux pas même un vestige de souffrance, même pas encore une fois. N’ai-je pas eu assez de douleur ? »

« Ok, Dieu, je réalise que je suis celui qui appelle la souffrance à moi. J’aimerais prendre Ton épée, Dieu, et défrayer la souffrance. Je comprends que Ton épée est amour. Pardonne-moi, je ne peux simplement pas tout à fait accepter Ton Amour comme une justification pour le fait que Tu nous permettes de continuer à souffrir. »

« Je réalise que je pourrais faire preuve de plus de confiance, cependant je ne sais pas comment gérer le fait d’être aveugle. Tu me tapote gentiment la tête, et Tu me dis qu’un jour je comprendrai. A cet instant je ne comprends pas. Permets-moi d’en avoir une idée. »

« Permets-moi de dire que je saisis bien que je ne comprends pas assez pour comprendre la situation dans laquelle je me trouve. Dieu, c’est comme si j’étais esclave de la souffrance et de la peur de souffrir. Tu m’as dit : ‘Laisse aller Mon peuple.’ »

« Aurais-Tu l’amabilité, une bonne fois pour toutes, de nous laisser aller, moi et les autres gens sur Terre ? Puisse la paix se produire pour moi et pour tout le monde pendant que nous sommes sur Terre ? Devons-nous mourir afin d’être libres ? Est-ce que l’Illumination doit prendre si longtemps, Dieu ? »

« Bien-aimés, vous essayer d’échanger une monnaie contre une autre. Vous essayez de parler un langage que vous n’avez pas encore entendu. »

Vous n’êtes pas ici pour souffrir. Vous êtes ici pour aimer et pour aimer la Vie. Désapprenez la souffrance. Mes enfants ont fait de la souffrance l’Art de Souffrir. Je vous demande de laisser aller la souffrance, pourtant vous vous y accrochez fermement.

Ne croyez pas que j’essaye d’épingler la responsabilité de la souffrance sur vous. Je sais que vous pouvez être un spécialiste des transformations rapides ici. Qui veut entendre que ce que vous appelez souffrance vous amène à laisser aller la souffrance. Vous êtes déjà si doués pour souffrir. Soyez meilleurs à la laisser aller. Abandonnez votre attachement à la souffrance. Vous ne la voulez pas, pourtant vous vous y attachez.

Je comprends que vous ne pouvez pas automatiquement immédiatement lâcher la souffrance comme la patate chaude qu’elle est.

Je vous demande de bannir toute souffrance de la Terre.

Décidez la paix, non pas comme une armée, mais plutôt comme un ministère de la paix.

Je vous demande d’amener la paix sur le terrain. Je vous demande de libérer tout le monde. Je vous demande de lâcher vos disputes, vos reproches, vos objections. Vous êtes ici pour trouver votre voie.

Changez votre regard sur la vie. Respectez-la. L’émerveillement pour la Vie n’est pas la même chose que la peur.

Je comprends que la vie ne soit pas tout à fait un pique nique pour vous.

Ne pensez pas que Je vous accorde toute souffrance. Abandonnez la souffrance. Ce n’est pas une ovation pour vous.

Remplissez les manques dans le monde autant que vous le pouvez. Trouvez et donnez de la joie. Encouragez la joie. Accueillez le soleil qui brille aujourd’hui.

Ce dont vous avez vraiment besoin, ce qui vous aidera, est l’amour. Soyez vous-mêmes la star de l’amour. Ne souffrez pas. Ayez hâte. Rapprochez-vous de Moi.

Surveillez de près le moineau, bien-aimés.

Traduit par Anaïs Cabanes
Page originelle:: http://www.heavenletters.org/what-are-doubts-really.html