Vous êtes sur le point d’assister à l’ouverture des Cieux. Les Cieux sont en train de s’épanouir comme une fleur. Cela est inévitable. Les Cieux vous invitent. Les Cieux disent qu’ils existent sur Terre, qu’ils ne sont pas séparés, pas plus que vous et Moi ne sommes séparés. Les Cieux sont une image de l’unité, bien nourrie, bien soutenue, bien vécue, forgée éternellement dans l’ardente Vérité de l’Amour. La Vérité réside aux Cieux et vous êtes l’essence de la Vérité. Durant un épisode imaginaire, vous avez oublié qui vous étiez. Vos yeux ne se sont pas encore habitués à la Lumière, comme si la Terre ne s’épanouissait pas dans les rayons resplendissants du Soleil.

Vous vivez dans un oasis, et pourtant, tout ce que vous avez vu c’est un décor de désert ou l’Arctique glacé. Vous vous êtes trop éloignés de vous-même. Le Paradis vous appartient. Tous vos rêves sont basés sur la Vérité. Tous Mes rêves se réalisent. Vous êtes un de Mes rêves. Mes rêves se manifestent et les vôtres se manifesteront également.

Si Nous sommes l’Un et le Même, cela signifie que nous sommes Une pensée représentée. Nous sommes faits à partir de l’Unité. L’enfant n’est pas éloigné du Père. Vous êtes aussi proche de Moi que vous pouvez l’être. Nous sommes la Proximité de l’Amour. Si vous êtes là où Je suis, et Je vous assure que vous êtes avec Moi, alors qu’est-ce que la Terre, sinon un mirage ? Les Cieux sont réels. La Terre ne l’est pas. La Terre est une perception fragile. Votre vision a été brouillée. Vos yeux ont séparés certains éléments et ont conçu un plan qui obscurcit, pendant une période, l’Aspect Céleste de la Terre.

Vous êtes arrivés sur la scène de ce théâtre qu’est la vie sur Terre en criant « Pouce! J’abandonne.» Vous avez cédé. Il se peut même que vous ayez renoncé à votre droit inné. Votre droit inné c’est l’amour et le bonheur. Ils vont ensemble, de la même façon que vous et Moi allons ensemble. Les solos n’existent pas. Il y a l’Unité et l’Unité est Suprême.

Chaussez Mes lunettes et voyez ce que Je vois. Ce que vous recherchez est au-delà du réconfort. Ce que vous recherchez, c’est la Réalité. Vous baignez dans l’amour et vous ne le voyez pas. La Terre attend paisiblement que vous la reconnaissiez pour ce qu’elle est. On a donné une mauvaise image de la Terre. La Terre aurait besoin de recevoir une bonne presse. Je pense que vous allez élever le monde. Je pense que vous allez valider la Terre. Vous allez faire retentir les tambours et les cymbales. Vous allez, en paroles et en actes, proclamer que les Cieux résident sur la Terre. Vous allez vous dégager du temps et voir que la Terre se trouve solidement installée dans les Cieux là où l’amour règne. Vous avez imaginé qu’il en était autrement.

Les vestiges de votre ancienne perception sont en train de disparaître à jamais. A moins que vous n’aimiez les anciennes façons de faire, pourquoi les garder ? Vous êtes maintenant en train de jaillir de votre vieux cocon rempli de dangers imaginaires. Vous avez cru au danger. Ceci est un vieux schéma de penser. Il se peut que vous croyiez que Je ne Me rends pas compte de ce que Je suis en train de dire car vous possédez un sac rempli de preuves que le danger existe bel et bien. Vous avez cru aux dangers plus qu’en quoique ce soit d’autre. C’est pour cela que vous avez écarté la Vérité, qui veut que vous marchez dans les Cieux et vous avez accepté un monde truffé de dangers. Vous avez mis l’accent sur tout ce qui était impermanent et vous avez appelé cela la Vie. Vous avez laissé les nids de poule obscurcir le chemin.

Rien ne vous oblige à considérer les choses comme vous les considériez dans le passé. Bien sûr, vous pouvez voir les choses différemment. Certainement, vous pouvez vérifier que ce que vous avez accepté comme étant vrai dans le passé est tout autre. Vous pouvez renoncer à votre ancienne façon de penser et entrer dans un Nouveau Monde créé par vos nouvelles pensées. Vous pouvez vous reformater. Vous pouvez reformater le monde. Vous pouvez sortir du passé. Vous pouvez entrer dans la Vérité. Vous pouvez entrer dans Ma façon de penser.