Laissez Aller le Fait de Retenir

God said:

Pardonnez d’avance. Quoi que vous gardiez qui durcit votre cœur, videz-le de votre cœur dès maintenant. Vous savez que la dureté n’appartient pas à votre cœur. Votre cœur est censé être déployé, pas étroit, pas durcit. Pourquoi feriez-vous cela à votre cœur? N’étranglez pas votre cœur. Que pensez-vous que vous êtes en train de faire?

C’est à vous que vous avez à pardonner d’être un cœur dur. Celui qui porte de la douleur doit la laisser aller. Il n’y a aucun autre recours possible. Quoi qu’il vous ait été dit ou fait, même si c’était la pire chose imaginable au monde, vous devez la laisser aller. Ne la conserver pas avec vous.

Vous connaissez mieux. Il se peut que celui qui vous offense ne connaisse pas mieux. Imaginez celui qui vous a offensé ayant perdu une maille en tricotant. Imaginez qu’il a renversé un encrier. Imaginez qu’il était dur d’oreille et ne vous a simplement pas entendus.

Réfléchissez un instant. S’il connaissait mieux, aurait-il fait mieux? Tout comme il peut vous sembler difficile de laisser aller la douleur qu’elle soit intense ou mineure, l’autre personne s’est trouvée coincée dans la vitesse d’une direction, et ses freins étaient défaillants.

Vous, contre qui l’offense a été perpétrée, n’avez pas encore dépassé votre offense. Vous êtes juste pareils. Vous savez ce que c’est d’aller dans une direction dans laquelle vous vous retrouvez coincés.

Etes-vous pris dans une course d’entêtement? Etes-vous en train de prouver qui peut serrer les dents le plus longtemps? N’est-ce pas ce à quoi revient le manque de laisser aller maintenant?

Sortez simplement du chemin sur lequel vous êtes. Ce n’est pas sûr et ce n’est pas bien. Vous perpétuez un crime maintenant plus grand que quoi que ce soit qui a été catapulté sur vous. En effet, vous vous jetez vous-même du canon. Ramassez les pièces et remettez-vous d’aplomb. Le canon est votre colère et toute votre auto suffisance. Regardez, d’accord que vous n’auriez pas dû être traités comme vous l’avez été, pas plus que vous ne devriez vous traiter de cette manière non plus. Ni ne devriez traiter quiconque de cette manière.

Quoi, êtes-vous un gardien de prison? Etes-vous un juge au tribunal? Un arbitre?

Tout comme vous devez être le premier à saluer quelqu’un, maintenant soyez le premier à serrer les mains et laisser tomber le problème. Rien ne mérite la froideur de cœur. Un million de dollars ne méritent pas la froideur du cœur, et à l’instant vous avez un cœur glacé jusqu’à la moelle, et vous n’avez pas reçu un centime de rémunération. Cela vous coûte. Cela vous coûte de l’amour perdu et tout ce temps malheureux.

Vous savez que vous allez vous réchauffer au final. Vous allez dépasser cela. Alors dépassez cela maintenant. Relâchez vos mâchoires. Laissez aller l’idée d’être formidable. Renversez les directions. Retournez-vous et laissez aller le passé.

Vous dites que vous croyez en l’amour. Bien, alors où est votre amour? Où l’avez-vous caché?

Fouillez autour pour le trouver. C’est là quelque part dans le placard. Remettez votre cœur d’où il vient et sortez-vous de la chambre froide.

Comment vous êtes-vous retrouvés à cet endroit en fait ? C’était totalement une aberration. C’était totalement une pensée stupide. Vous et l’offenseur vous êtes tous les deux sentis offensés. Maintenant vous devez tous les deux laisser aller cela. Ce que vous considérez comme une offense intolérable –que ce soit le cas ou non—vous devez le laisser aller. Vous avez votre mot à dire à votre sujet.

N’avez vous pas mieux à faire que de vous y accrocher fermement ? Je sais que c’est ce que vous faites. Vous le savez aussi. Ne remettez pas à plus tard. Cela est votre vie. L’horloge tourne. Il n’y a pas de mi-temps. Retournez-y, non pas en incursion, mais là où vous voulez être. Je ne crois pas une minute que vous vouliez être là où vous êtes. Vous êtes piégés dans rien de bon. Vous n’avez pas à être coincés. Sortez de ce piège dans lequel vous vous trouvez à l’instant, à la minute même. Dépêchez-vous d’être le premier. Vous n’avez rien à perdre d’autre que l’entêtement, l’auto suffisance.

Translated by: Anais

 

Your generosity keeps giving by keeping the lights on