Heavenletter #4483 – Comme Vous Souhaiteriez Ressentir l’Amour – 4 mars 2013
Dieu a dit:
Si vous aviez la possibilité de ressentir de l’amour pour tout le monde dans votre cœur, vous voudriez le ressentir. Vous le voudriez avec joie sauf que vous ne semblez pouvoir atteindre cet endroit. Vous essayez, mais ne le pouvez tout simplement pas. Ce n’est pas simple pour vous. D’une manière ou d’une autre, parfois, vous vous creusez un trou où votre cœur ne peut qu’être enfoui, raidi, être étranger à lui-même. Vous voudriez revenir à l’amour et pourtant, vous ne semblez pouvoir vous y ramener. Il y quelque chose de sous-jacent à votre sens de la disparité.
Il y a une sorte de preuve du manque de valeur de quelqu’un dont vous ne semblez pouvoir vous débarrasser. Vous aimeriez le pouvoir. Vous souhaiteriez avoir de bons sentiments envers cette personne. Si seulement vous pouviez vous débarrasser de cette résistance envers cette personne plutôt que de la personne elle-même. Vous vous demandez: «Pourquoi, oh pourquoi je m’objecte tant à cette personne? Quand cette antipathie me quittera-t-elle? Quand est-ce qu’elle quittera mon esprit?»
D’après vous, vous pensez qu’accepter cette personne va à l’encontre de votre nature alors qu’en vérité il est contre votre nature de ne pas aimer. Qu’est-ce qui s’est interposé entre vous et cette personne? Qu’est qui bloque votre aisance à accepter cette personne telle qu’elle est? Vous n’avez pas à l’aduler personnellement, mais alors pourquoi cette féroce antipathie au point où votre cœur se retourne dans votre poitrine? Vous préféreriez ne pas penser du tout à cette personne et pourtant, vous ne cessez de penser à cette personne. Autant vous essayez de chasser toutes les pensées concernant cette personne, celles-ci ne cessent d’affluer. Qu’est-ce qui vous choque, bien-aimé(e)?
Vous dites que vous ne pouvez être franc avec cette personne? C’est trop difficile pour vous et contre votre nature, dites-vous, même quand c’est votre vraie nature que d’aimer? D’une façon ou d’une autre, cette personne a déclenché en vous quelque chose et ce quelque chose est devenu un anathème pour vous.
Je dois vous dire que cette personne qui obsède votre esprit est innocente. Elle souhaiterait que vous l’aimiez. Elle voudrait que vous jetiez un rayon de soleil sur elle. Elle ne vous demande rien d’autre que d’avoir une pensée bienveillante à son égard. Cette personne veut de vous quelque chose que vous ne semblez pas pouvoir donner. Vous essayez de vous extraire de cette situation malveillante dans laquelle vous vous trouvez. Vous vous dites à vous-même de bénir cette personne et vous essayez de lui dire: «Que Dieu te bénisse, que Dieu te bénisse» aux confins de votre esprit.
Dans votre esprit, vous demandez à cette personne qui consume votre esprit de vous pardonner. Malgré tout, vous restez prisonnier de la négativité qui est à la mesure de votre désespoir. D’une certaine manière, cette personne semble être devenue pour vous une épine dans votre flanc. Il vous semble que si cette personne n’existait pas dans votre tête et dans votre vie, le soleil brillerait davantage sur vous.
Le fait est que cette personne n’a rien à voir avec vous ni avec votre négativité. Elle est devenue le symbole de quelque chose que vous êtes même incapable de nommer.
J’essaie de vous dire que la négativité que vous ressentez n’est pas vraie. Elle n’est pas vraie et elle n’est d’aucun bénéfice pour vous. Il y a de l’entêtement quelque part ici. Vous avez barré les mâchoires.
Vous séchez. Que peut faire cette personne pour sortir du pâle éclairage que vous jetez sur elle? Peut-elle faire quelque chose? Qu’aimeriez-vous qu’elle fasse? Vous cherchez une réponse, mais êtes incapable de la trouver. D’une certaine façon, cette personne est devenue un emblème de ce que vous n’aimez pas. D’où provient cette animosité? La personne ne vous a rien fait sinon d’exister au meilleur de ses capacités. Elle n’est pas votre ennemie. Où l’ennemi existe-t-il sinon en vous, Mon bien-aimé ou Ma bien-aimée?
C’est dur à avaler pour vous que de laisser tomber l’animosité pour endosser la bonne volonté.
Laissez aller, laisser aller est le message pour vous aujourd’hui. Je sais que vous le voulez. Vous voulez que l’animosité prenne fin. C’est une importante croisée des chemins pour vous et vous devez la traverser. Vous devez laisser les ressentiments derrière. Vous devez trouver un moyen de dépasser les ressentiments et réintégrer votre vrai cœur.
Traduit de l’anglais par Normand Bourque.
Page originale : http://www.heavenletters.org/how-you-wish-you-felt-love.html

