HeavenLetter™ # 2777 UNE FEUILLE D’ARBRE – publiée le 2 juillet 2008
HeavenLetter™ # 2777 UNE FEUILLE D’ARBRE – publiée le 2 juillet 2008
Dieu a dit :
Quelle beauté dans une feuille d’arbre ! Quelle beauté dans un arbre. Quelle beauté dans un Être Humain. Oh, la beauté ! Un Être Humain est merveilleux à voir. Réfléchissez un instant à ce que c’est d’avoir un Être Humain en face de vous. C’est comme si vous étiez face au diamant Koh-i-noor. Seulement, lorsque vous avez le diamant devant vous, hélas, vous ignorez souvent sa valeur. Ça doit être ça le purgatoire, bien-aimés — avoir un trésor et ne pas connaître sa vraie valeur. Imaginez que le diamant soit de la pacotille ! Imaginez que le Koh-i-noor soit en verre ! Imaginez qu’un Être Humain on en trouve à la pelle. Quelle folie ! Bon, n’est-ce pas ce que vous avez pensé ?
Vous avez peut-être pensé : « Mon dieu, il y a tant de gens dans les parages ! Qu’importe un de plus ou un de moins ? D’ailleurs, la plupart d’entre eux m’agacent. » Ah, mais chaque Être Humain importe énormément. Chacun M’importe au-delà de ton entendement.
Vous savez déjà que je ne m’offense jamais. Je vous comprends trop bien pour m’offenser. Par ailleurs, il y a tant d’amour dans mon cœur que je ne peux pas arriver à un point tel que Je puisse voir une raison de m’offenser. C’est probablement la même chose pour vous lorsque votre enfant fait un dessin. Vous aimez l’enfant et vous aimez le dessin de l’enfant, même lorsque vous ne parvenez pas à le déchiffrer. C’est pareil aussi lorsque votre enfant n’est pas assez grand pour atteindre un placard, vous comprenez que votre enfant n’est tout simplement pas assez grand pour l’atteindre. Comment pourrait-on s’en offenser ?
La seule différence entre vous et Moi c’est que votre enfant peut faire quelque chose que vous jugez grave et qu’alors vous le repoussiez, ou que vous soyez distant à cause de votre humeur, tandis que Je ne m’inquiète pas des humeurs, à moins que vous ne considériez l’amour comme une humeur.
Bien-aimés, Je ne vous en veux pas parce que vous ne parvenez pas encore à aimer tout le monde. Vous n’êtes tout simplement pas encore capables d’atteindre le placard. Je sais avec une confiance toute divine qu’un jour vous y parviendrez. Je sais qu’un jour vous aimerez si pleinement qu’il ne vous arrivera jamais de voir autrement que dans l’amour. Ça sera comme si vous étiez grands. Il ne vous arrivera jamais d’avoir une autre taille que celle que vous avez. Vous ne vous diriez pas : « J’avais l’habitude d’être petit. Je vais me courber pour redevenir petit. »
De la même manière, il ne vous arrivera pas d’être moins que celui qui aime Dieu et votre compagnon humain vers lequel vous êtes en train de grandir. Vous ne voudriez pas faire marche arrière. Vous ne penseriez pas une seule seconde à re-chausser vos vieilles chaussures usées et qui ne vous vont plus. Oh, non, vous ne le voudriez jamais, car le moment est venu pour vous de voir avec Mes yeux, et donc vous verrez avec amour, de la même manière que vous pourriez voir des centaines d’arbres différents, chacun différent de tous les autres. Certains porteraient des fleurs et des fruits, certains offriraient leur ombre, certains auraient des branches semblables à des ailes qui laisseraient passer la lumière, certains auraient de grandes feuilles et d’autres des petites, et qu’est-ce que ça pourrait bien vous faire puisque tous seraient les arbres de Dieu.
Un jour, tout simplement, vous aimerez, et votre amour embrassera tout ce que vous verrez et tout ce qui sera hors de votre vue. Votre vision sera alors trop vaste pour que vous puissiez ne pas aimer. Vous verrez tous les rois et tous les gueux avec amour parce que vous êtes amour et ne pouvez rien être d’autre. Simplement, vous aurez alors la taille qui est la vôtre.
Traduction AD : www.anneduquesne.com
Page d’origine : http://www.heavenletters.org/one-petal-from-a-tree.html

