Heaven # 3378 - Chantez Une Note Élevée
Heavenletter™ # 3378 - Chantez Une Note Élevée - Publiée le 23 Février 2010
Dieu a dit:
Il n'y a aucune excuse lorsque vous vous sentez désolés pour vous-même. Si cette idée ne vous convient pas, laissez-Moi vous le dire ainsi: il ne faut pas s'apitoyer sur soi-même. Vous ne devez pas. Quelles que soient les circonstances, il ne faut pas s'apitoyer sur soi-même. Il n'est pas utile pour vous de compatir avec vous-même. S’apitoyer sur vous-même est une occupation sans intérêt.
Si vous ne pouvez pas sortir de l'endroit où vous êtes, alors modifiez au moins votre état d'esprit.
Bien-aimés, il y a des gens sans bras et sans jambes, et ils ne se sentent pas désolés pour eux-mêmes.
S’apitoyer sur soi-même est pernicieux. Ne soyez désolés ni pour vous-même, ni pour personne d'autre. Le sentiment est le même que baisser les yeux sur quelqu'un, et vous avez mieux à faire.
Lorsque vous vous sentez désolés pour vous, vous devenez comme un mendiant demandant l'aumône, seulement ce que vous mendiez est la sympathie. Oubliez la sympathie. Elle ne pose ni vous ni le sympathisant, au bon endroit.
Quand le Christ a vu l'homme boiteux, il n’a pas manifesté de sympathie. Au lieu de cela, il dit à l'homme de se lever et de marcher.
Je vous dis que vous devez vous lever et marcher. Et si vous ne pouvez pas marcher, posez votre esprit ailleurs. Pauvre de moi est un pauvre refrain. Il ne vous mène nulle part.
Il vaut bien mieux vous poser la question: «Que dois-je faire maintenant? Où dois-je aller? Si je ne peux pas changer ma situation, alors comment puis-je changer mon état d’esprit à ce sujet?
Bien-aimés, vous n’aimez pas ramper, pourtant vous apitoyer plus de cinq minutes sur vous-même est comme ramper. Vous devez vous lever et vous tenir sur vos deux pieds.
Il y a peut être une immense tragédie, dans votre vie. Pourtant il faut se lever et donner la note à répéter au monde. Chantez une note élevée. Si vous n'êtes pas inspirés, il vous appartient alors d’inspirer les autres. Qu'est-ce que vous attendez? Attendez-vous quelqu'un d'autre? Si vous vous apitoyez sur vous-même, alors vous devez attendre que quelqu'un d'autre élève le monde.
Bien-aimés, vous pourriez attendre toute votre vie que quelqu'un d'autre sonne la cloche de l’élévation morale. Lorsque vous voyez un besoin, c'est à vous de le remplir.
Lorsque vous vous apitoyez sur vous-même, vous avez la vue courte. Vous négligez l'opportunité. Lorsque vous vous sentez désolés pour vous, vous vous coupez les ailes. Lorsque vous avez la vue courte, vous vous changez à peine.
Vous avez la responsabilité d’avancer dans la vie. En toute circonstance, c'est ce que vous devez faire. Ceci est une proposition que Je vous fais. Il s'agit d'une proposition que vous devez accepter au nom de vous-même, de votre famille, et du monde entier. Même si vous êtes enchaîné à un lit, vous avez la responsabilité d'élever vos pensées. Vous avez la responsabilité à ne pas rester au même endroit. Surtout, si vous ne pouvez pas vous déplacer physiquement, il est impératif que vous vous déplaciez vos pensées.
Dans des cas comme cela, si vous ne progressez pas, vous n'êtes pas innocents. Avancer ou regarder en arrière, avancer ou rester à la même place, est une décision que vous prenez. Une décision par défaut est néanmoins une décision. Vous choisissez ce que vous choisissez. Si vous avez besoin de plus d'alternatives de choix, trouvez plus d'alternatives de choix.
Il n'y a pas de vie à perdre. Même si vous avez 1000 réincarnations, vous n'avez pas à attendre, tarder, tergiverser, lanterner, ou faire des excuses. Il est de votre responsabilité de faire le maximum de la vie que vous vivez maintenant. C’est votre vie, et elle vous attend. Ne la faites pas attendre plus longtemps.
Traduit par Christine
Page originale : http://www.heavenletters.org/sing-a-high-note.html


la mort
j'entends tous vos messages, mais mon coeur est transperçé: j'ai perdu ma mère, mon pere, ma tante, deux cousins, un oncle,
un grand-oncle en 2 ans!....
mon autre tante est malade, mon beau-frère est décédé a 28 ans dans un accident de moto laissant 2 orphelins, j'ai perdu une grande amie a l'age de 23 ans le 23 decembre 1985.
Tant de souffrance!!! INUTILE!!!
autour de moi il n'y a que des départs tragiques (14 ans, 18 ans,...)
Il est facile de parler , mais supporter de telles injustices sans aucun signe.....
Autrefois j'aimais la vie, desormais je vis dans un sentiment d'injustice où je vois plus l'amour de DIEU.
j'epere que vous comprendrez....
merci
La mort
Bonjour Georges,
Il n'est pas toujours facile de dire adieu à ceux qu'on aime, et de voir partir nos proches. Il y a la douleur de la séparation et le chagrin de la perte. Dans les Heavenletters tu trouveras plusieurs lettres qui traitent de ce sujet (je ne me souviens pas lesquelles). Cherche dans les plus anciennes, il y a certainement des lettres qui sauront à la fois te consoler et en même temps te proposer d'avoir un regard plus élevé sur la mort. Quand on a la conviction intime que la mort n'est que la mort du corps, alors on sait que les proches qui nous ont quitté sont toujours là.
En te souhaitant la guérison de tes peines,
Avec tout mon amour
Christine