Imaginez qu'une journée soit faite de glaise et faites en ce que vous voulez. Soyez créatif aujourd'hui.

Imaginez la journée comme un wagon rouge rempli de cadeaux pour vous. Dans ce wagon rouge, quels sont les présents que vous attirez à vous? S´il y a quelque chose que vous ne voulez pas choisir, remodelez le, il est fait d'argile. Vous pouvez le tenir entre vos mains et le remodeler légèrement, ou le mettre de côté. En tous les cas, vous pouvez le transformer, ou pour le moins, vous n'en ferez pas une montagne.

Vous êtes éprouvés par nombre de choses, certaines auxquelles vous adhérez et d'autres que vous ignorez ou d'autres que vous n'acceptez pas. Néanmoins, quoiqu'il arrive, arrive dans un moment non existant. Cela se passedevant vos yeux et puis c'est fini. Vous n'êtes pas obligés de le garder vivant et de le faire revivre. Vous n'avez pas à garder cette image devant vos yeux. Gardez l'amour devant vos yeux.

Que ce qui vous nourrit soit présent dans vos vies. Vos pensées gardent quelque chose de vous, que la pensée vous plaise ou non. Mes bien-aimés, il ne vous est pas nécessaire de continuer à ruminer, encadrer ce que vous n'aimez pas ou de vous sentir blessés. Si vous ne l'aimez pas, continuez d'avancer.

Tout n'est pas rose dans la vie, comme vous le savez. Si il y a des épines, vous n'êtes pas obligés de continuer à vous piquer les doigts et de vous blesser le cœur encore et encore. Vous n'êtes pas obligés d'entretenir la souffrance.

La vie est un apprentissage de lâcher-prise. Vous n'êtes pas censés accumuler des pensées, ou quoi que ce soit d'autre. Sur le plan de votre intellect, preservez ce que vous aimez et laissez tomber ce que vous n'aimez pas. Vous n'êtes pas obligés de vous maintenir dans la douleur ou la souffrance. Pour être vrais à vous-mêmes, débarrassez-vous de ces reliquats.

Lorsque vous recevez de bonnes nouvelles, préservez les dans votre cœur. Lorsque vous avez, ce que l'on appelle, des mauvaises nouvelles, passez à autre chose. Payez vos factures, marquez qu'elles sont payées, puis passez à autre chose. Ce n'est pas ignorer ce que vous appelez la vraie vie. C'est simplement avancer dans la vie.

Lorsque vous êtes assis inconfortablement, levez-vous. Vous n'êtes pas obligés de rester assis sur une chaise inconfortable. Ni êtes-Vous obligés de reconstituer sans cesse les pensées qui vous blessent. Vous n'êtes pas sans pouvoir. Vos pensées sont puissantes.

Si vous êtes dans un train qui ne vous amène pas où vous désirez aller, descendez du train et prenez en un qui vous y amènera. Vous n'êtes pas contraints de rester sur le même vieux train. Rien ne vous y oblige. En fait, vous vous le devez à vous-même de descendre. Changez de train. Voyagez où vous voulez.

En fait, vos pensées voyagent. Par contre vos pensées n'ont pas à diriger votre vie. Vous renforcez les capacités de vos pensées. Vous leur donnez vie. Si une pensée vous cause des désagréments, pensez à autre chose. Vous n'êtes pas obligés de faire tourner les mêmes pensées dans votre tête, encore et encore.

Rêvez à différentes pensées. La vie entière est un rêve. Rêvez donc les rêves qui vous font plaisir. C'est vous le conducteur.

Si vous alliez à gauche alors que vous vouliez aller à droite, à présent tournez à droite.

Vous avez reçu quelque chose que vous ne vouliez pas et pourtant cela vous est tombé dessus. Ce ne doit pas devenir le sujet de votre vie.

Si vous prenez un livre à la bibliothèque et que vous ne l'aimez pas, vous n'êtes pas obligés de le lire ou alors lisez le et relisez le. Vous n'avez pas à rester fidèles à ce qui ne vous nourrit pas.

Soyez votre propre agent. Bénissez-vous. Bénissez tout. Transcendez ensuite ce qui ne s'ajoute pas à votre bonheur, laissez le aller ou pensez d'une manière différente. Ne restez pas dans la tristesse. Faites de la place pour la joie. Ne vous attardez pas sur le mécontentement. Que la tristesse, le sens de perte, le regret, etc, s'en aillent afin que vous puissiez continuer.