Bien-Aimés, souvent ou tout le temps, vous recherchez une réponse à la question : ‘Qu’est-ce qui ne va pas ? Quel est mon problème aujourd’hui ? Quel ce qui ne va pas avec ce repas ? Qu’est-ce qui ne va pas avec ma voiture ? Qu’est-ce qui ne va pas avec le monde ? Qu’est-ce qui ne va pas avec mon enfant ? Qu’est-ce qui ne va pas avec la maison ? Qu’est-ce qui ne va pas avec mon boulot ? Qu’est-ce qui ne va pas avec ma vie ?

Allez, bien-aimés, il y a de meilleures questions à poser et auxquelles répondre. Je vais vous donner une question à poser : ‘Quelles sont toutes les bénédictions que Dieu m’a données ?’

Pourriez-vous, s’il vous plaît, une bonne fois pour toutes, abandonner votre analyse de la vie et ce que vous n’aimez pas à son sujet et tous les écueils devant vous ? Pourquoi sur Terre vous focalisez-vous sur les inconvénients, comme s’il y avait des dangers devant vous de tous côtés. Bien-aimés, vous devez être à l'affût de ce qui est bien au-delà des dangers et des embûches. Vous sortez sur le pas de la porte et vous mettez vos mains devant vos yeux pour bloquer le soleil, et vous passez en revue la liste des choses que vous ne voulez pas voir arriver.

Bien-Aimés, laissez la vie arriver. Vous êtes en vie maintenant. Vous réfléchissez à votre mort, comment et où elle va se produire. La mort de votre corps viendra. Ca viendra comme ça viendra et ça viendra quand ça viendra. Pourquoi réfléchir à ses détails et à tous les scénarios possibles quand le Soleil est juste en face de vous ?

Même lorsque vous êtes financièrement à l’aise, tout comme lorsque vous êtes en bonne santé, vous vous faites du souci à l’idée de ne pas être en bonne santé.

Et en faisant cela, vous gaspillez la vie.

Il y a les paroles d’une chanson : Hark The Herald Angels (Ecoutez les Anges Messagers). C’est un titre de chanson qui a du sens. Pourriez-vous retenir ces mots, s’il vous plaît ? Pourquoi, mais pourquoi donc imagineriez-vous de possibles dangers alors que vous pouvez penser aux paroles des anges qui vous sont adressées ? Je vous le demande en toute sincérité.

Vous pouvez penser qu’il est sage d’être à l’affût de tout ce que vous ne désirez pas, comme si vous étiez au front, pourtant c’est là votre erreur.

L’innocence est une bonne chose. Pensiez-vous le contraire ?

Vous vous attachez ce à quoi vous pensez. Croyez-vous que vos pensées sont puissantes ou pas ? De toutes les possibilités auxquelles vous pensez, pensez à la possibilité que tout ce à quoi vous pensez est en fait important. N’ayez pas de pensées de peur qui tournoient autour de vous. Lorsque vous le faites, vous vous enveloppez de noir.

Je vous dis franchement qu’il y a tout bon à voir la vie en rose.

Vous n’avez pas à vous soucier d’un manque de négativité. La négativité s’occupe très bien d’elle-même. Elle n’a pas besoin d’incitation de votre part, pas d’invitation, pas de nourriture, pas de logement. Les pensées négatives se portent bien sans votre soutient.

Il n’est pas sage de vous entourer de pensées de perte ou de danger. Cela n’est pas sage. Ce n’est pas intelligent. Ce à quoi vous pensez, vous le renforcez. Alors, que souhaitez-vous renforcer ? Ce n’est simplement pas une bonne idée d’être dans la position de dire : ‘Tu vois, ne t’avais-je pas dit que cette horrible chose allait se produire ?’

Mieux vaut avoir tort au sujet d’un cadeau que vous voulez que d’avoir raison au sujet d’un danger que vous ne voulez pas. A quoi pensez-vous, bien-aimés ? Vous pensez trop, voilà ce que vous faites. Pensez moins. Aimez plus. Vivez plus. Rêvez plus. Ecoutez les anges messagers, et écoutez moins tout ce qui pourrait se produire. Ecoutez-moi. Ecoutez votre Soi Supérieur. Changez le disque que vous avez écouté jusque là. Changez de chaîne. Programmez vous pour de bonnes nouvelles. Gardez un œil dessus. Fini avec l’ancien, bienvenue au nouveau.