Attrapez le Soleil !

God said:

Mes enfants peuvent toujours trouver quelque chose pour lequel se faire du souci, cependant s'inquiéter n'a pas à être une façon de vivre. Abstenez-vous de vous faire du souci. Vous n'avez pas à vous soucier et accumuler les soucis les uns sur les autres. Ce n'est pas la manière de vivre la vie.

Dans le monde, la vie elle-même est tension dans le sens où il y a une instabilité que vous surmontez, une sorte de force d'attraction de la bonté et de la miséricorde d'un côté et de la friction de l'autre.

Lorsque vous tricotez un pull-over, les deux aiguilles sont équilibrées. La tension n'est pas censée être déséquilibrée. La forme de tension que vous appelez souci est une tension irrégulière. Parfois le souci ressemble même à la panique. Chargée de soucis, votre tension est vraiment de guingois.

Vous rappellerez-vous que la vie offre davantage qu'un ou deux choix? S'il vous plaît, rappelez-vous que la tension est un choix que vous avez fait, une voie que vous avez choisie, un chemin caillouteux avec des chausse-trappes sur lequel vous vous entraînez. Vous vous entraînez sur des pièges inimaginables. C'est tout. Vous imaginez des possibilités anxiogènes et vous avez une bonne imagination. L'imagination vient toujours en premier.

Être soucieux n'est pas un état confortable. C'est le souci lui même qui est chargé de danger. Lorsque vous entrez dans un état convenable, vous avez le choix de faire du manège ou les montagnes russes ou traverser un cyclone ou toute autre expérience entre ces dernières, ou vous pouvez simplement marcher aux alentours. Pourquoi choisir un trajet que vous ne voulez pas faire?

En termes de souci, vous ne voulez pas faire la moitié du chemin pour rencontrer la vie. Ce n'est pas la vie que vous rencontrez à mi-chemin, mais le souci lui-même. Vous pouvez courir à la rencontre du souci comme si le souci était un porte-bonheur. Vous pouvez saluer le souci, l'accueillir comme si vous focaliser dessus, était une forme d'évitement, comme si vous vous souciez afin d'anticiper quelque chose pour laquelle vous alliez vraiment vous faire du souci. Vous pouvez penser que si vous vous faites assez de souci, vous obtiendrez un sursis. Pendant ce temps, vous vous obligez à arpentez un rude chemin. Vous vous êtes mis dans le souci, alors que vous auriez pu vous mettre dans la joie.

Si vous devez être dans l'imagination, alors imaginez la joie. La joie est un moindre coût pour vous. Le souci n'a pas à vous rejoindre. Vous n'avez pas à être impitoyables envers vous-mêmes et d'empiler les soucis comme si ils étaient des oreillers sur lesquels poser votre tête.

Je dirais sans équivoque, que vous avez fait une overdose de soucis. Distribuez-vous gratuitement une carte " vous êtes libéré de prison". Vous n'avez pas à vous doter de soucis. Vous n'avez pas à en avoir du tout. Vous pouvez les congédiez. Vous avez eu assez de soucis qui semblent après tout être une mauvaise habitude. Vous vous fixez sur les soucis et maintenant il est difficile de les laisser aller.

Mettez les soucis de côté. Vous n'avez pas à vous mesurez à eux. Mettez les entre parenthèses et avancez. Si les soucis sont un soutien, c'est un soutien qui est fissuré. Les soucis sont trop lourds à porter. Ne leur donnez pas un tel marchepied pour entrer en votre coeur.

Les soucis sont à l'instar de la moisissure dans le soubassement d'une habitation. Une fois qu'elle se propage, il est difficile de l'éliminer. Mettez en quarantaine la moisissure du souci. Sortez les soucis de votre tête. Évacuez les soucis. Le souci ressemble à un fantôme ou même à un écervelé. Se soucier n'est certainement pas la panacée universelle. Ce n'est pas du gâteau que de vous faire autant de soucis.

Débarrassez-vous du souci. Trouvez-vous une autre occupation.

Vous ne méritez pas un assortiment de soucis. Vous n'avez pas en avoir. Si votre maison est en désordre, levez-vous et rangez la. Vous n'avez pas à rester assis et à vous morfondre sur le désordre. C'est à vous d'en prendre soin.

Si le souci est un intrus comme Je le proclame, vous n'avez pas à vouloir à vous arrêter et à vous rendre. Vous n'avez pas être un ami des soucis. Vous n'y êtes pas obligés. Soyez sans souci plutôt.

Écoutez, que la vie va vous prendre par surprise, dépendra de si vous vous faites du souci ou pas. Se faire du souci n'est pas préventif. Ca ressemble plus à l'appel du clairon ou à une répétition de routine de sorte que vous ne serez pas surpris lorsque quelque chose que vous ne voulez pas, arrivera. Le souci est une répétition, une sorte de pré-fardeau, de pré-souci, une sorte d'exercice à blanc. Ne gardez pas votre souci comme si c'était un truc intéressant à développer. Démontez le souci, et vous ne vous ferez pas autant de soucis. Jetez le souci. Faites obstacle aux ombres, laissez entrer le soleil. Le soleil vous attend. Attrapez le soleil!

Traduit par Philippe Lombard
Page originale: http://www.heavenletters.org/catch-the-sun.html

Translated by: Philippe L...

 

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