À chacun son dû

God said:

Oubliez la moitié de ce qui préoccupe votre esprit! Ne vous laissez pas troubler par les contrariétés. Oubliez-les toutes.

Une autre façon de dire ça est: "Laissez aller".

Une autre façon de dire ça est: "Ça n'a pas d'importance".

Une autre façon de dire ça est: "Ne prenez quoi que ce soit pour une insulte".

Une autre façon de dire ça est: "Ne prenez rien personnellement".

Abstenez-vous de reprocher à qui que ce soit ses écarts de conduite. Même si quelqu'un envahit votre vie privée, laissez cela rouler sur votre dos. Y a-t-il une raison suffisante pour qu'une contrariété vous ronge et ruine votre matinée, votre après-midi ou votre journée? Même si quelqu'un vous réprimande comme si vous étiez un enfant, qu'est-ce que ça peut bien faire? Ce qui est fait est fait.

Changez de poste de radio dans votre tête et dans votre cœur.

Écoutez, chers Enfants, même si quelqu'un est irrespectueux envers vous, c'est son problème, pas le vôtre. Vous n'avez de compte à rendre à personne d'autre qu'à vous-même – et à Moi. Chacun n'a de compte à rendre à personne d'autre qu'à lui-même et à Moi. Personne n'a à essayer d'améliorer vos façons de faire, pas plus que vous avez à essayer d'améliorer les façons de faire des autres.

Oui, certainement, chacun sur Terre ferait bien de s'abstenir de se mêler de ce qui, en réalité, ne le regarde pas et, ainsi, mon cher et ma chère, cela s'applique tout aussi bien à vous. Pensez-y deux fois avant de décider de ce qui relève de vos affaires et de ce qui n'en relève pas. Si quelqu'un manque de considération, de manière ou de conscience, cela est un problème qu'il doit régler, non vous. Même si son manque d'égard vous a écorché, ce n'est pas votre affaire de réformer les autres. Pas du tout. Vous n'êtes pas le superviseur du monde pas plus que les autres ne le sont.

Est-ce pour vous une nouvelle façon de penser? Peut-être avez-vous pensé que tout dans le monde était de vos affaires et qu'il vous incombait de le corriger? Soyez heureux que ce ne soit pas le cas. Ce n'est pas parce que quelqu'un empiète sur votre paix et votre tranquillité que vous devez empiéter sur la sienne. Il n'y a pas d'œil pour œil, de dent pour dent, bien-aimés. Vous avez suffisamment à faire avec vous-même. À moins d'être le chef, ne soulevez pas le couvercle. À moins d'être le chef, ne brassez pas la soupe. À moins d'être le chef, n'ajoutez pas de sel.

Vous dites qu'il y a des exceptions? Oui, bien sûr. Quand nous parlons de vos enfants dépendants, il y a une exception. Quand vous êtes professeur, vous pouvez intervenir à propos de la conduite de quelqu'un. Quand vous êtes un agent de la circulation, l'intervention est une option. En même temps, prenez soin de ne pas outrepasser votre rôle. Autant que possible, plutôt qu'imposer, attendez que quelqu'un vous demande conseil.

Même si vous pensez savoir comment les autres doivent se comporter dans le monde, la vérité est que vous avez suffisamment à faire à vous occuper de vous-même. Personne n'est vraiment une autorité envers les façons des autres de vivre dans le monde. Voulez-vous être un esprit libre? Alors, assurez-vous d'accorder la même liberté à tout le monde.

Vous avez des préoccupations qui sont pour vous de la plus haute importance et les autres ont leurs propres priorités. Vous n'allez pas de toute façon essayer de faire penser les autres exactement comme vous et pourquoi le feriez-vous? Qui êtes-vous pour dire aux autres ce qu'ils devraient faire, ce qu'ils auraient dû faire ou ce qu'ils devraient faire dorénavant? Ils ont leurs raisons de faire les choses comme ils le font comme vous avez les vôtres.

Cela a peut-être sur vous l'effet d'un choc ou, pour certains d'entre vous, cela vous fait réaliser, en termes du monde, que vous n'êtes pas non plus parfait.

Oui, mes chers, à chacun son dû.

Translated by: Normand Bo...

 

Your generosity keeps giving by keeping the lights on