SI TON ESPRIT ÉTAIT TON ÂNE – Lettre du 30 juin 2008 # 2775
SI TON ESPRIT ÉTAIT TON ÂNE – Lettre du 30 juin 2008 # 2775
Dieu a dit :
Qu’est-ce qui te préoccupe en ce moment ?
L’expression « préoccupe » évoque un fardeau. Que penserais-tu de te préoccuper de quelque chose de merveilleux qui évoque la joie ? Si ce qui te préoccupe en ce moment est lourd, enlève-le comme un sac à dos. Pose-le à terre. Tu n’as plus jamais à le reprendre, ou, si tu le dois, alors cherche une solution, et réjouis-toi de trouver une solution ou une résolution. Si tu ne peux pas trouver une bonne solution, au moins solutionne le problème mentalement. Ne surcharge pas ton esprit. Ton esprit est prévu pour bien plus que transporter des fardeaux.
Si ton esprit était ton âne, tu ne voudrais pas lui faire porter une charge au-delà de celle que peut transporter un âne, n’est-ce pas ? Eh bien alors, déleste-toi du poids excessif qui te préoccupe. Voyage léger. Prends un âne en considération et prends ton esprit en considération. Qui va soulager ton esprit de ses fardeaux si tu ne le fais pas ?
Si tu le laisses faire, le monde va faire crouler ton esprit sous une pile de préoccupations d’un kilomètre de haut. Les publicités te disent que le monde présente toutes sortes de dangers rôdant autour de toi et prêts à bondir. Laisse les publicitaires et les auteurs de science-fiction penser à tous les dangers pendant que toi, au contraire, tu penses à toutes les bénédictions qui sont dans le monde. Quelle joie t’attend juste en ce moment au coin de la rue, attendant de pouvoir se répandre sur toi ? Oh, par exemple, Je vois BEAUCOUP de bénédictions ! Je vois plus loin que l’œil n’est capable de voir.
Et c’est comme cela que tu dois voir. Et c’est comme cela que tu dois entendre. Et c’est comme cela que tu dois attirer à toi les trésors que J’ai entassés pour toi.
Lorsque tu appelles ton chien par son nom, il est plus susceptible de venir à toi que si tu ne lui parle pas. Si tu appelles le chien de tes voisins, il pourrait bien venir lui aussi. Pourquoi cela serait-il tellement différent pour tout le bon qui est dans le monde ? Invite tout le bon à venir, et il commencera à t’entendre. Pourquoi ne le ferait-il pas ? Appelle à toi tout ce qui est générateur de peur dans le monde, et cela se précipitera de ton côté. Cela t’écoutera parfaitement. Tu dis : « Ici, peur. Viens par ici. Et toi le danger, viens aussi. Tracas et colère également. Rassemblez-vous autour de moi. Je suis largement ouvert à vous. Entrez donc. » Bien-aimés, qu’avez-vous peut-être dit ? Qu’avez-vous appelé à vous ?
Quelle doit être votre sagesse pour voir la différence entre appeler à vous les ennuis, et appeler la joie et la paix ? Eh bien, Je vais vous donner la marche à suivre : « Toutes sortes de joies, venez me voir ! Je vous accueille dans ma vie. J’ai réservé une place pour vous. Tous vos amis dans les mêmes dispositions sont aussi invités avec vous. Venez tout de suite et restez chez moi ! Restez chez moi tous les jours de ma vie. Et, pendant que vous y êtes, allez rendre visite à tous mes amis et à ma famille. »
C’est exactement comme ces abonnements téléphoniques auxquels vous pouvez ajouter le nom de vos amis et de votre famille et les appeler gratuitement. Cela ne coûte pas plus cher d’inviter l’éclat que d’inviter la ternissure. Invitez tout ce que vous désirez faire venir à vous.
Quoi que tu aies précédemment invité, invite maintenant les trésors de l’Univers à venir à toi. Vois comme tu te sens déjà tellement mieux rien que d’y penser. Alors, qu’est-ce que tu veux, bien-aimé ?
Veux-tu l’harmonie ? Le bien-être ? Des quantités de tout ce qui est bon ? Je vais te faire une liste : Des amitiés remarquables. De la chance. Une succession de miracles. Des jolies surprises. Le bonheur où que tu regardes et où que tu ailles. Une santé et une robustesse à toute épreuve et rien moins que le meilleur pour toi. Tu es Mon Enfant. Pense à ce que Je veux pour toi.
Traduction AD : www.anneduquesne.com
Page d’origine : http://www.heavenletters.org/if-your-mind-were-your-donkey.html