Heavenletter #5469 – Qui Est Responsable de Vos Réactions? – 14 novembre 2015
Dieu a dit:
Vous pouvez toujours savoir que vous n’êtes pas seuls. Que votre cœur souffre ou que votre cœur soit plein de joie vous n’êtes pas seuls. Le dicton qui dit que tout le monde rit avec vous et quand vous pleurez vous pleurez seuls, n’est simplement pas vrai. Ca peut sonner juste, pourtant beaucoup rient avec vous, et autant pleurent avec vous. C’est ainsi qu’est la vie. Peu importe combien vous montez haut ou combien vous êtes en bas, en termes du monde, vous avez beaucoup de compagnie. Personne n’a été dépourvu de peines et personnes n’a été dépourvu de joie.
Aussi beau, aussi riche, aussi robuste, aussi moche, aussi pauvre, aussi malade que vous soyez, chacun sur Terre a ses bons moments et les appelle joie. Tout sur Terre est relatif. On dit que peu importe la grandeur de vos peines, si vous pouviez avoir le choix de tirer au sort les problèmes d’un autre, vous choisiriez de garder les malheurs que vous avez déjà. Et, bien sûr, vous avez fait le choix de vous accrocher à vos problèmes, comme si vous considériez la souffrance comme une récompense pour la bonté.
Vous seriez réticents à échanger vos joies contre celles de quelqu’un d’autre. Il y a des moments où vous pouvez penser que vous le feriez, pourtant vos joies vous sont précieuses. Pour tout l’or du monde vous ne donneriez une milliseconde de ce qui vous est précieux. Vous voilà. Votre vie est vôtre. Elle vous appartient. Votre vie n’appartient à personne d’autre, pas plus que la vie de quiconque ne vous appartient.
Cela ne signifie pas que vous ne pouvez pas aussi avoir des joies équivalentes et plus grandes par la suite tout comme n’importe qui. Vous n’avez juste pas encore les joies équivalentes. Ou, peut-être que vous les avez, et supportez la souffrance car vous vous êtes retirés vous-mêmes de la joie.
Personne ne peut vous retirer vos joies, tout comme personne ne peut vous donner vos joies. Vous pouvez bien recevoir vos joies des autres, pourtant personne ne peut choisir vos joies en votre nom. Les joies et les peines sont tout à vous. Vous êtes seuls lorsqu’on en vient à votre satisfaction ou insatisfaction dans la vie.
Dans la vie, vous n’êtes pas à la dérive dans la mer. Il y a plein de choses que vous pouvez attraper dans les eaux. Comme vous êtes heureux ou malheureux dépend de vous. Votre état émotionnel est une conclusion que vous tirez. Vous êtes celui qui pense ses pensées. Personne ne vous oblige à le faire. Tout ce que Je peux dire, c’est que vous choisissez vos pensées et les prenez pour parole d’évangile. Vous tirez vos propres conclusions, et vous vous fiez à elles.
Une personne pense que quelqu’un ou quelque chose est beau, et quelqu’un d’autre fait la fine bouche devant exactement la même chose. Ainsi il y a des différences d’opinions et de partis politiques, et le repas d’un homme est le poison d’un autre.
Allez vers ce qui vous donne de la joie. Détournez-vous de ce qui ne vous donne pas de joie.
Quelqu’un M’a demandé aujourd’hui pourquoi à un moment il est heureux, et le moment suivant, il est en dépression. Pourquoi est une question sans fin. Un pourquoi mène à un autre. Je vais vous donner la réponse exactement pareil.
La réponse à votre question à savoir pourquoi vous êtes tout en haut à un moment et tout en bas le suivant est parce que vous êtes un être humain. C’est la raison principale. Ou, plutôt, en tant qu’Être Divin dans un corps humain, vous êtes trop souvent mécontents. Pour l’instant, vous êtes toujours ici et là, sur la pente ascendante et descendante de toutes les manières possibles. Même ainsi, vous pouvez renoncer au désespoir. Envisagez le désespoir comme un moucheron qui vous importune.
Laissez le sens de l’humour venir à votre aide. Le désespoir est venu et est parti avant. Pourquoi prendre le sens du désespoir si au sérieux ? Transformez votre désespoir en humour. Ne faites pas du désespoir votre compagnon. Saluez courtoisement votre désespoir et puis cherchez la joie. N’aggravez pas le désespoir avec plus de désespoir juste parce que plus de désespoir vous a visité dans le passé. Pourquoi rendre plus facile le fait de trouver le désespoir plutôt que la joie ? Ne vous asseyez pas en attendant que la joie fasse son chemin vers vous. Allez la chercher.
Regardez votre situation avec les yeux grand ouverts. Peut-être vous êtes-vous suffisamment punis, et maintenant il est temps de cesser d’être un martyre et aller vers de verts pâturages. De plus verts pâturages vous attendent. Les pâturages peuvent ne peuvent pas venir à vous. Il vous revient d’aller vers eux. Et pourquoi pas maintenant ?
Traduit par Anaïs Cabanes
Page originelle:http://www.heavenletters.org/who-is-responsible-for-your-reactions.html -

