Dieu a dit:

Peu importe combien votre vie peut sembler difficile pour vous en ce moment, vous êtes créé à partir de Mon amour, et la vérité est que, non seulement vous avez Mon amour, mais vous ne pouvez pas y échapper. Peu importe ce que vous traversez en ce moment, peu importe comment vous pouvez être agressés, peu importe la façon dont tout se passe, à juste titre ou non légitimement, vous M’avez pleinement avec vous. Je suis Dieu à part entière. Je ne suis pas un Dieu à la retraite.

Votre vie peut monter et descendre, pourtant Je suis stable. Malgré le désespoir dans lequel vous vous retrouvez, vous vous inquiétez parce que vous vous inquiétez. Vous souffrez parce que vous souffrez. Votre cœur se serre parce que votre cœur se serre. Avec ou sans affliction, votre cœur trouve le désespoir dans sa propre reconnaissance.

Bien que souvent vous trouviez un soutien pour votre désespoir, parfois le désespoir vous visite sans aucune raison valable, et pourtant là, vous êtes, rempli de désespoir. En quelque sorte, c’est comme, quelque chose qui se déclenche, et vous ne savez pas, vous étiez bien, et aujourd'hui, vous vous retrouvez dans le désarroi. Comment, pourquoi, pour combien de temps allez-vous continuer à vous sentir de cette façon, vous ne savez pas.

Chers, peut-être que le désespoir couve en vous et parfois, hélas, le désespoir surgit et vous aveugle. D'une manière ou d'une autre, le désespoir se cache en vous. Indépendamment des événements extérieurs qui semblent provoquer cet Intrus nommé Désespoir, la source est en vous. Le désespoir peut capitaliser sur des événements extérieurs, mais le désespoir monte sur scène directement à partir de l'intérieur de vous. Vous portez le désespoir en vous depuis longtemps, trop longtemps.

Je comprends que vous ne puissiez pas de par votre volonté, être en mesure d'épuiser toutes les manifestations de l'emprise du désespoir, mais le désespoir n’a pas à vous ravager. Vous ne devez pas donner au désespoir cette liberté. Vous donnez trop de permissions au désespoir. Le désespoir n’est pas plus fort que vous. Oh, oui, le désespoir peut vous donner du fil à retordre. Mais vous ne devez pas succomber. Vous n’avez aucun compte à lui rendre. Vous ne devez pas céder au désespoir. Le désespoir apparait, parce que vous y êtes réceptifs. N’allez pas dans le sens que le désespoir est plus puissant que vous ou tient une place importante dans votre vie.

C’est comme si vous accordiez plus de crédit au désespoir qu’au bonheur. Le bonheur est une force de la vie. Faites vous amis du bonheur. Détournez-vous du désespoir. Le désespoir possède son propre genre d'ego.

Vous accordez trop de crédit au désespoir. Vous lui rendez la tâche facile quand vous le laisser vous prendre en charge pendant que vous vous questionnez au sujet du bonheur. Entretenez le bonheur comme vous le faites du désespoir. Vous n’attendez pas que le désespoir fasse ses preuves. Vous entrez dans le désespoir de tout cœur pendant que vous attendez et attendez que le bonheur fasse ses preuves. Le bonheur n’est pas toujours aussi manifeste.

Vous pouvez également être désireux de défendre le désespoir et le rendre très réel. Vous admettez facilement le désespoir et donner au bonheur un moment difficile. Vous voulez que le bonheur s’affirme plus fort.

En ce moment même, vous pouvez lever le drapeau du bonheur dans toutes ses couleurs. Vous pouvez marcher avec le bonheur, bien-aimés. Si le bonheur est sur l'autre côté de la rue, traversez de l'autre côté de la rue. Vous avez été prompts à rejoindre les bras de désespoir. Joignez les bras du bonheur.

Le désespoir attire votre attention. Il vous maintient centré sur vous-même. Le désespoir semble vous taper sur l'épaule. Il vous appelle à lui, et vous y allez en courant. À tout le moins, le désespoir se fait remarquer alors que le bonheur peut sembler marcher droit devant vous.

Vous pouvez vous-même, vous appuyer sur l'épaule du bonheur. Le bonheur s’arrêtera pour vous. Puissiez-vous être aussi prompts à remarquer bonheur dans ses premières phases, que vous l’êtes d'attendre l’emprise du désespoir. Faites vos choix, bien-aimés. Vous n'êtes pas une victime telle que vous voulez le penser.

Si vous êtes, en effet, une telle victime, vous êtes celui qui se raccroche à l'idée décidez de l’être.

Traduit par Denise Deschamps

Page original : http://www.heavenletters.org/desiring-happiness.html