Heavenletter™ # 2873 - LAISSEZ SONNER LES CLOCHES DE LA LIBERTE - Publiée le 6 octobre 2008
Heavenletter™ # 2873 - LAISSEZ SONNER LES CLOCHES DE LA LIBERTE - Publiée le 6 octobre 2008
Dieu a dit :
Lâcher est d'une importance primordiale. Je dirais que ça va être votre thème pendant les mois qui viennent. Pourquoi quelqu'un s'accrocherait-il à l'anxiété? Pourquoi quelqu'un se préparerait-il à avoir le cœur brisé? Votre insistance à vouloir que les choses soient comme vous le voulez et pas autrement est une grande source de souffrance. Aussi vrai que vous ne voulez pas l'admettre, cela vous rend responsable de votre propre peine. Je ne dis pas que vous êtes la cause, parce qu'il n'y a aucune cause, Mes bien-aimés, sauf que vous croyez ardemment qu'une chose doit se passer de la façon dont vous pensez qu'elle doit se passer. Quand elle se passe différemment de ce à quoi vous vous attendiez, vous êtes atterrés.
Bien-aimés, je veux vraiment que vous viviez heureux pour toujours. Je veux vraiment que vous soyez heureux en ce moment. Je ne veux pas que vous vous sentiez blessé. Quand vous vous sentez vraiment blessés et privés, plutôt que de Me prier de changer les autres esprits et les autres cœurs à votre convenance, je suggérerais que vous Me demandiez de vous aider à lâcher vos blessures. Ne les honorez plus, tout simplement. Pour que vous ne soyez pas affectés, lâchez le besoin que vous en percevez.
Quand vous étiez enfant, cela peut avoir été la fin du monde pour vous quand vous n'avez pas eu le camion rouge de pompiers que vous vouliez tant, encore pire si vous l'avez eu et qu'ensuite il a été perdu ou volé ou endommagé d'une façon telle qu'il fut méconnaissable. Ce que vous avez senti alors, vous le re-éprouvez et le ressentez maintenant. Sauf que maintenant votre chagrin ne va pas sur un jouet ou même un objet réel.
Ce que vous avez fait, Mes bien-aimés, c'est transformer les gens en objets. Vous voyez une ou plusieurs personnes aimées occuper certaines places dans votre vie. Vous estimez qu'ils doivent rester là, comme votre camion rouge de pompiers aurait dû rester là, comme il était, de la même façon vous considérez vos bien-aimés comme devant être les vôtres, devant rester à un endroit et ne bouger dans aucune direction que vous n'ayez ordonnée à l'avance. Pourtant ce n'est pas un secret pour vous, Mes bien-aimés, que personne n'a à être votre pion.
Bien-aimés, ne pensez pas que Je sous-estime ce qui est tellement important pour vous. Je connais la profondeur de votre peine et ce que vous pensez avoir perdu. Je sais ce que cela vous coûte de vous arrimer à une idée. Il vous en coûte la paix. Il vous en coûte le confort. Il vous en coûte votre sens du bien-être. Vos idées arrêtées vous volent la joie et la remplacent par le chagrin. Vous avez eu l'idée arrêtée qu’une chose doit rester comme elle est, que si elle part, son départ n'est pas autorisé. Je ne soutiens pas votre arrimage. Je ne soutiens pas votre arrimage si prononcé. Je ne soutiens pas votre arrimage si puissant que le départ de quelqu'un fait dérailler votre cœur du chemin de joie et d'amour sur lequel il est sensé être. Me comprenez-vous mieux maintenant?
Laissez les bons et le bon venir librement à vous. Laissez chaque bonne personne et chaque bonne chose libre de suivre sa voie joyeuse. Je vous demande d'abandonner la douleur et la souffrance, Mes bien-aimés.
Les personnes aimées partent. Que ce soit de leur choix ou qu'elles quittent la Terre, les personnes aimées partent. Soyez gracieux. Permettez à ceux que vous aimez d'être autodéterminés et de suivre leur destin propre. Vous ne pouvez pas les détenir.
Le nom du jeu de la vie dans le monde est le changement, Mes bien-aimés. Le changement maintenant pour vous c'est de donner votre bénédiction à la liberté.
Laissez résonner la liberté. Laissez les personnes aimées être libres de rester et libres de partir selon leurs cœurs et leur destin. Vous devez ne garder personne prisonnier. En dépit des apparences, personne ne vous a rien fait. Vous n'êtes pas diminué parce que quelqu'un vous a quitté. Vous avez une grande occasion d'être plus.
Traduit par Annie Claude
Page originale : http://www.heavenletters.org/let-the-bells-of-freedom-ring.html

