Heaven #3741 – Ce Moment d’Éternité avec Dieu – 21 février 2011
Heaven #3741 – Ce Moment d’Éternité avec Dieu – 21 février 2011
Dieu a dit :
Il n’y a aucune raison de ne pas apprécier la vie sur Terre.
Oups, J’entends déjà l’esclandre! Je vous entends dire: ‘‘ Si Vous, Dieu, deviez travailler avec mon patron, si vous deviez supporter mon fils adolescent, ma jambe cassée, mon enfant malade… Si Vous, Dieu, veniez de perdre votre emploi, votre maison, votre meilleur ami… Si Vous, Dieu, veniez tout juste de divorcer, d’être emprisonné injustement, de rater votre examen, de perdre toutes vos cartes de crédit…’’
Je sais que Je viens de vous interrompre car vous pouvez penser à une centaine de raisons qui justifient l’impossibilité d’apprécier la vie sur Terre. D’accord, vous voulez poursuivre quand même ? ‘‘Et si Vous aviez, Dieu, des boutons sur tout le visage, perdu votre petit ami, une énorme indigestion, pas assez d’argent, nul endroit où vivre, la faim qui vous tenaille? Et si Vous étiez né aveugle, avec une malformation, aviez perdu une jambe, n’aviez pas assez dormi la nuit dernière, veniez de recevoir une contravention ?
Bien aimés, Je n’ai rien à ajouter.
Il y a quelqu’un qui subit l’un ou plusieurs de ces problèmes listés, mais qui apprécie la vie. Je peux même vous dire que vous pouvez aussi apprécier ce qui est difficile.
Traversez-vous des temps difficiles dans la vie? Êtes-vous comme un yoyo, avec le moral qui monte et qui descend, êtes-vous juste un pion dans l’univers, déplacé de-ci de-là sans ménagement?
Êtes-vous Mes enfants oui ou non ? De qui donc seriez-vous les enfants?
Vous pourriez tout aussi vous réjouir. Tous vos problèmes vont commencer à disparaître de toute façon. Tout ce que vous avez, c’est ce moment hors du temps. De toutes les manières, de toutes les façons, tout ce que vous avez, c’est ce moment d’éternité avec Moi. C’est tout ce qu’il y a, c’est tout ce qui demeure au-delà de ces petites accumulations de moments qui passent. C’est bien cela, à cet instant même, il y a Ma gloire.
Vous pouvez vous réjouir de la chaleur, et vous pouvez vous réjouir du froid. Vous pouvez vous réjouir même lorsque votre corps souffre d’une affection, grave ou bénigne. Vous pouvez vous réjouir des entrelacs de la vie. Vous pouvez être bénéfique pour vous. Vous pouvez être bénéfique pour quelqu’un d’autre. Sur Terre, vous êtes toujours un moment de Ma Gloire.
Il est sûr et certain que vous êtes en vie. Vous êtes en vie dans Mon cœur et sur Terre. Il n’y a pas de limite à ce dont vous pouvez vous réjouir sur Terre. Aussi, commencez à vous réjouir dès à présent. Localisez ce dont vous voulez vous réjouir. Tout est dans votre esprit. Votre pensée peut produire des pensées tristes comme des pensées joyeuses, des pensées sombres comme des pensées lumineuses. Les pensées sont des pensées. Si vous pouvez penser d’une manière, vous pouvez aussi penser d’une autre manière.
D’un côté… d’une autre côté…
Vous pouvez être petit ou vous pouvez être grand et être heureux. Vous pouvez être gros ou mince, sensible ou insensible, méchant ou gentil, et être heureux. Vous pouvez être timide, et être heureux. La vie ne doit pas nécessairement être égale, calme et équilibrée pour que vous soyez heureux. La vie peut être injuste, turbulente, et vous pouvez être heureux. Malgré les avantages, le riche n’est pas plus heureux que le pauvre. Malgré les désavantages, le pauvre peut être heureux. Que les choses soient petites ou grandes, vous pouvez être heureux.
Il n’y a pas de raison d’être malheureux. Vous pouvez être triste momentanément à propos de quelque chose, mais ça ne doit pas dominer votre vie. Les troubles peuvent se poursuivre, et vous pouvez demeurer dans cet instant d’éternité. La vie a ses morceaux, qui s’enfilent les uns après les autres. Dans quelques situations que vous soyez, vous pouvez être heureux.
Je vous suggère de décider d’être heureux. Vous n’êtes pas obligé d’être éperdument heureux, vous pouvez être heureux de manière naturelle, en étant conscient de votre bonne fortune. C’est tout. Si vous êtes malade, considérez qu’on prend soin de vous. Si vous souffrez, considérez que c’est votre corps qui souffre. Votre esprit n’a pas à vous dire qu’il n’y a que la souffrance et rien d’autre. Si vous avez une peine de cœur, dites-vous que vous avez un cœur qui peut même ressentir de la peine. Tout dépend de ce que fait votre esprit et de ce qu’il vous dit. Désormais vous direz à votre esprit : ‘‘Mon bonheur ne dépend pas des circonstances. Mon bonheur dépend de ce que toi, mon esprit, tu dis et de ce que je prends à cœur.’’
Traduit par Jean-Christophe.
Page originale : http://www.heavenletters.org/this-moment-of-eternity-with-god.html