Dieu a dit:

Rien n’est morne sauf quand vous le dites. Vous acceptez la tristesse. La vie est de couleur vive, bien-aimés. Elle n’est pas morne.

Si quelqu’un s’approchait de vous en vous présentant une grenade amorcée, vous ne l’accepteriez pas. Vous vous enfuiriez. De la même façon vous n’avez pas à accepter la tristesse ou la morosité ou quoi que ce soit que vous ne voulez pas. Vous n’avez pas à l’accepter et, si vous l’avez accepté, vous n’avez pas à la maintenir. Vous pouvez la repousser loin de vous. Voyez-vous en train de jeter votre sens de la tristesse par-dessus bord.

Parfois vous oubliez que vous avez la libre volonté. Si vous restez assis à ruminer du noir, vous pouvez vous lever et ne pas broyer du noir.

Vous pouvez vous sentir dépourvus, si vous le choisissez, mais vous n’êtes pas obligés de vous sentir dépourvus.

De quoi pouvez-vous être dépourvus quand vous M’avez? Je suis conscient que vous avez beaucoup à dire à la défense de votre sentiment de manque mais vous n’avez pourtant pas besoin de le défendre ni de le maintenir. La vérité est que vous êtes excessivement comblés de cadeaux et pourtant, vous placez devant ceux-ci votre sentiment de manque. Êtes-vous gâtés? Vous avez reçu à Noël des centaines de jouets mais vous voulez avoir celui que vous n’avez pas. Soyez reconnaissants pour ce que vous avez. Soyez reconnaissants pour ce que vous avez eu.

Comptez vos bienfaits, voilà un refrain souvent entendu. Comptez vos bienfaits et vous n’en finirez plus de compter.

Faites en sorte que votre cœur devienne cette Brigade de Lumière pour laquelle Je l’ai fait. Votre cœur n’est pas destiné à être un thermomètre qui monte et descend. Votre cœur n’est pas destiné à être une girouette. Votre cœur n’est pas fait pour vaciller.

Si vous êtes dans la zone des calmes équatoriaux, sortez-en. Pourquoi choisiriez-vous d’y rester? Aimez-vous vous retrouver dans la zone des calmes équatoriaux? Parfois ça semble que si et pourtant, en quoi les calmes équatoriaux vous servent-ils? Sont-ils une punition? Pourquoi, bien-aimés? Donnez-vous une chance et sortez-en.

Vivez votre vie avec alacrité. Vous êtes en vie. Même si elle est temporaire, même si elle est un rêve, votre vie vaut quelque chose. Soyez déterminés à jouir de la vie pendant qu’elle est encore devant vous. Que devriez-vous faire d’autre de la vie que d’en jouir. Faites le choix maintenant. Mettez le cap sur la joie. Une fois le cap réglé, les conditions pour votre voyage seront favorables. Toutes les conditions ne vous sont pas imposées et, même si elles l’étaient, vous pourriez hisser les voiles avec ou sans elles. Ayez des idées plus grandes dans votre esprit. Tout est plus grand que ces hauts-fonds dans lesquels vous vous empêtrez parfois.

Ne prenez pas la vie en restant couchés. Levez-vous, Sparky, et endossez la vie. La vie est votre chance. Entreprenez la quête de votre fortune. Vous êtes fortunés. Alors, mes chers, n’essayez pas de prouver que vous ne l’êtes pas. Je vous dis que vous êtes fortunés. Pensez à votre bonne fortune. Vous possédez la lumière de Dieu. Ma lumière est vôtre. J’éclaire votre chemin. Suivez-Moi. Par-ici le Paradis. Frayez-vous un chemin avec Moi.

Ensemble, Nous aurons la randonnée du siècle. Ensemble, Nous sommes intrépides.

Et maintenant où est passé votre sentiment de manque? En avez-vous terminé? Je vous dis que vous en avez fini. Si vous pensez que non, alors jetez-le par-dessus bord. Débarrassez-vous en. Prenez de la vie ce dont vous avez besoin et il n’y aura pas de grisaille. En quoi la grisaille peut-elle vous servir? Acquérez la clarté. Ne vous replongez plus dans ce que vous ne voulez pas. Détachez-vous des liens qui vous retiennent. Rendez-vous votre liberté. Naviguer en haute mer.

Traduit par Normand
Page originale: http://www.heavenletters.org/today-and-today-and-today.html