Heaven # 3456 – Le Saule Est Fort - 12 mai 2010
Heavenletter™ # 3456 – Le Saule Est Fort - Publiée le 12 mai 2010
Dieu a dit:
Bien-aimés, combien de fois vous ai-Je suggéré de lâcher le passé? Je ne veux pas vous harceler, mais n'est-il pas temps? Vous pouvez hocher la tête et être d'accord avec Moi, cependant vous pouvez être encore une des nombreuses personnes qui bloquent sur le passé de leur chère vie et sur les idées qu’elles ont longtemps eues, les idées qu’elles ne veulent pas briser.
Je ne vous dis pas de ne pas avoir de souvenirs ou d'idées chères. Vous allez en avoir. Je parle des fois où vous résistez à accepter une nouvelle pensée. Cela ne veut pas dire que vous devez accepter toute pensée nouvelle. Bien sûr, que non. Mais quelques-unes? Pouvez-vous échanger certaines vieilles pensées par des nouvelles?
Je parle en particulier de nouvelles pensées vous concernant. Quand Je dis, "Sortez du passé", vous pouvez hocher vigoureusement la tête, et cependant tenir à des idées passées de bonheur ou de malheur, comme si vous n'aviez pas pu avancer dans la vie.
Libérez-vous du passé, bien-aimés.
Quand votre situation actuelle vous laisse seuls ou insatisfaits, ce n'est pas le signal pour revenir au passé qui n’est plus. C'est le signal pour aller de l'avant, pas en arrière. Le moment d'arrêter de regarder par-dessus la clôture arrière.
Beaucoup d’entre vous peuvent sentir que leur vie est incomplète sans un partenaire. Vous avez peut être l'idée qu’il vous faut un mari ou une femme pour être heureux? Votre bonheur doit-il dépendre de quelqu'un d'autre? Le doit-il?
Êtes-vous en train de dire non à la vie? Peut être êtes-vous en train d’affirmer que vous savez déjà tout sur la vie et ce qui est supposé exister pour vous?
Il y a une tendance, souvent dans vos moments de perdition, à ne pas transiger en vous fermant à un champ de possibilités. Si quelqu'un suggère que vous pouvez être heureux là où vous êtes, ou si quelqu'un suggère que vous devriez être heureux de partir en Alaska ou sous les tropiques, vous êtes catégoriques sur le fait qu'ils ne savent pas de quoi ils parlent. Bien-aimés, gardez la possibilité que vous ne savez pas de quoi vous parlez. En vérité, bien-aimés, vous n’avez pas besoin de vous graver dans la pierre.
Vous n'êtes pas ce que vous avez été. Vous n’avez peut-être jamais été ce que vous pensiez autrefois. Et pourtant, vous pouvez vous accrocher à des illusions qui ne vous mettent pas en bonne position. Vous pouvez y tenir obstinément. Si vous pensez que vous savez tout et que vous ne pouvez ou voulez pas admettre d'autres suggestions à moins qu’elles ne soient déjà en accord avec les vôtres, quand personne d‘autre ne sait de quoi il ou elle parle, et que vous êtes forts parce que vous êtes la seule personne qui sait ou qui pourrait savoir, vous pouvez être têtus et choisir de demeurer en mauvaise posture. Il semblerait que vous ne voulez pas bouger d'un seul pouce. Vous sentant instables là où vous êtes, vous luttez néanmoins, dents et ongles, contre toutes les suggestions. En fait, plus l’écoute vous servirait, plus vous semblez résister à l'écoute et plus vous tenez étroitement à ce qui ne vous apporte pas le bonheur.
Vous dites: «Non, non, non." Peut-être dites-vous non quand vous feriez mieux de dire: «Oui, oui, oui."
Écouter ne doit pas signifier accepter, vous comprenez, et, cependant, vous voulez être ouverts à ce qui se présente à vous. Peut-être que Je vous ai envoyé un messager, ou deux ou trois, et que vous refusez d'entendre ce qu'ils ont à dire. Vous pouvez ne vouloir entendre que ce que votre esprit a déjà arrêté.
Votre réticence montre votre vulnérabilité, bien-aimés. Le manque de souplesse n'est pas un signe de force. Le saule est fort parce qu'il peut plier.
Traduit par Christine
Page originale :: http://www.heavenletters.org/the-willow-is-strong.html

