Heavenletter™ # 3439 - Le Calice du Cœur de Dieu - Publiée le 25 avril 2010

Dieu a dit:

Comme les oiseaux savent monter en flèche, alors vous devez savoir comment monter en flèche. Montez vers Moi. Pensez-vous que votre cœur ne sait pas comment voler?

Comment les oiseaux volent-ils? Il n'y a pas un grand professeur qui leur apprend. La mère oiseau pousse un peu son bébé oiseau, et l’oisillon décolle. Avant de le savoir, il vole. Il est si naturel de voler pour les oiseaux. C’est inné chez eux. Comment pourraient-ils ne pas voler? Pourquoi voudraient-ils choisir de ne pas voler? Un oiseau qui vole ne veut jamais être mis à terre. Un cœur humain non plus.

Bougez-vous, bien-aimés, et venez à Moi. Je ne suis pas loin du tout. Les bouts de Nos doigts se touchent en ce moment. Ce n'est même pas un saut que vous devez faire. C'est juste un changement infinitésimal de l'endroit où vous êtes assis. Il s'agit davantage d'un mouvement comme passer par-dessus le banc dans une église pour faire la place à quelqu'un d'autre. Dans votre cas, vous vous déplacez d’un moindre pas pour atteindre l'entrée du calice de Mon cœur.

Vous avez envie de voler vers Moi, et pourtant vous craignez de le faire. De quoi avez-vous peur? De tant d'amour que vous ne l’avez jamais cru possible? De tant de coussins d'amour que vous pensez peut-être vous perdre en eux? Avez-vous peur de vous défaire de tant d’actions et de la protection de toutes les ronces dont vous vous êtes entourés?

Bien-aimés, vous avez tout simplement peur de perdre les limites. Bien que les limites interfèrent avec votre vol, vous y êtes plutôt habitués. Vous avez l'habitude de les avoir sur votre chemin. Vous êtes habitués à les avoir autour. Vous avez failli ne plus les remarquer. Elles ont toujours été là, semble-t-il. Elles ne vous conviennent pas. Elles ne deviennent pas vous, mais vous y êtes habitués comme de vieilles pantoufles avec lesquelles vous traînez. Bien-aimés, vous pouvez vous habituer à tout, n'est-ce pas? Vous avez pris l'habitude pour tout, même quand il n'y avait pas de bonne raison pour cela.

Alors, maintenant, donnez-vous une chance de vous habituer à être sans le linceul des limites. Une fois que vous sortez du terrain, les limites n’ont plus d'importance. Elles n'en ont pas beaucoup de toute façon, sauf que vous le pensiez. Il suffit de penser combien il sera facile pour vous de vous habituer à voler avec Moi à travers le bleu infini. Vous ne manquerez pas les limites, pas une seule. Les limites voleront en éclats, et elles tomberont au loin, au loin même de vos souvenirs. Les limites sont comme des cicatrices. Les cicatrices vous servent, puis elles disparaissent. Elles ont servi une fois. Les cicatrices vous ont sauvés quand vous étiez blessés.

Dans le cas des limites, bien-aimés, ce sont des blessures. Dans le cas de ces blessures, vous avez juste à vous lever et les quitter. Éloignez-vous d'elles. Vous n'avez pas besoin de leur soutien. Pourquoi vous accrocher à elles maintenant? Elles sont, tout de façon, une illusion.

Profitez des limites du monde relatif et sachez que vous n'avez pas besoin d'elles. Vous vivez dans le monde relatif de l'illusion, mais l'illusion n'est qu'illusion. L’illusion n'est pas tout ce qui est. Il y a beaucoup plus, et Je la veux pour vous, et vous la voulez, cette Réalité tout autre d'un monde au-delà, ou un monde intérieur, ou un monde d'en haut, ou un monde d'une qualité différente, là même où il se trouve que vous êtes en ce moment.

Hello, M'entendez-vous? Si vous M'entendez, venez un peu plus près. C'est tout. Et si vous ne M'entendez pas, peut-être Me ressentez-vous. Alors, venez un peu plus près. Et si vous ne Me ressentez pas, alors venez un peu plus près aussi. Je crois avoir pris en compte tout le monde alors la décision est facile, et maintenant, volez vers Moi.

Traduit par Christine
Page originale : http://www.heavenletters.org/the-chalice-of-gods-heart.html