Heaven # 3434 - Sur Terre ou sur les Étoiles - 20 avril 2010
Heavenletter™ # 3434 - Sur Terre ou sur les Étoiles - Publiée le 20 avril 2010
Dieu a dit:
La pensée de la mort semble dominer la vie. Les pensées peuvent être évitées pour un temps, et pourtant la pensée de la mort revient et brille dans votre vie. Il est difficile pour vous d’écarter cette lame qui semble peser sur vos têtes. Où que vous vous tourniez, la pensée de la mort est présente. Même lorsque la mort est loin, les pensées de celle-ci sont présentes.
Il y a même la prière de l'enfant: "... et si je devais mourir avant de me réveiller ..."
La mort est considérée comme un fantôme hantant qui est là pour vous attraper. La Grande Faucheuse est derrière vous. Elle se tient de tous les cotés, prête à vous prendre.
Bien-aimés, la mort, ce que vous appelez la mort, est vraiment un coussin sur lequel vous tombez. Vous tombez dans Mes bras, où vous avez toujours étés. Qu’y a-t-il à craindre? Et pourtant, la crainte est là.
Vous n'êtes pas ici, sur Terre, en permanence dans un corps. Depuis que vous êtes nés, vos corps changent. Vos corps ne sont pas éternels. Ils sont temporaires alors que vous êtes hors du temps. Il n'y a pas d'horloge quand il s'agit de votre essence éternelle. Aucune minuterie n’est réglée. Aucune alarme ne se déclenche. Que la paix soit avec vous.
Comme le monde changera lorsque la mort ne sera plus une ennemie pour tous, mais une amie qui vous accompagnera vers un endroit où vous souhaitez aller. Tel que c’est maintenant, la peur de la mort est une ennemie aux vastes proportions. La peur de la mort est devenue hors de toute proportion.
Si vous pouviez sentir le silence de l'éternité, la mort ne serait qu’un clin d'œil. Ce ne serait rien du tout. Certainement pas une interruption de la vie. Pas même un interlude. L'interlude, bien-aimés, c'est la vie sur Terre. Car ce qui peut vous sembler long n'est qu'un moment. Vous visitez la Terre et l’expérimentez. Il est inévitable que vous reveniez à la pleine conscience de l'endroit où vous existez vraiment.
La mort est citée comme une transition, mais c’est de votre vie sur Terre qui est une transition, un lieu d’abandon temporaire, un lieu où vous êtes des nomades, un lieu où vous avez un corps enveloppé autour de vous que vous quittez à un certain moment. Le temps est certain. Juste, vous ne savez pas quand. Et pourtant, le temps n'existe pas. Même si vous êtes passagers, le temps n'existe pas. Vous êtes empêtrés dans le temps, mais le temps n'existe pas, et il n'y a rien pour vous où être empêtrés et pourtant vous l’êtes. Vous vous sentez entièrement dépendants de votre visite sur Terre.
Vous dansez une spirale parfaite. Vous tournez à travers l'Univers. Vous sautez sur les étoiles. Vous embrassez la lune. Vous faites frire des œufs sur le soleil. Et pendant ce temps, vous n’êtes nulle part. Il n'y a nulle part, et pourtant vous êtes Être. Sur Terre ou sur les étoiles, vous êtes Être. La viabilité de l'Être ne change pas. Vous expérimentez sur Terre, et tout tombe au bord du chemin. Cendres, cendres, tout tombe.
Il est plus réaliste de dire que tout tombe en haut, tout s’élève. Il n'y a pas, pour vous, de mort dont être ressuscité.
La neige tombe. Les âmes s’élèvent. Et même la neige qui tombe remonte au ciel d'où elle venait.
Haut et bas sont aussi des illusions communément admises. Vous pouvez être à l'envers alors que vous pensiez être à l’endroit.
Que savez-vous, bien-aimés? Vous pensez que vous savez qu'il y a la mort. Vous pensez qu'il doit y avoir la mort parce que les corps rendent l'âme et se couchent. Les corps s’arrêtent. Ils deviennent inertes. Mais vous, bien-aimés, vous jamais. Vous ne dormez jamais. Vous êtes toujours en éveil, et vous n'êtes jamais nulle part, sauf avec Moi au fond de Mon cœur, en plein cœur du Ciel, aimant profondément, profondément amoureux, profondément aimés, profondément et inestimablement Miens. Il n'y a pas deux voies à ce sujet.
Appréciez le monde davantage car votre séjour est temporaire. Et, au moment où vous quittez votre corps, ce que vous appelez la mort, jouissez de cela aussi, car qu’est-ce qui a vraiment changé, à part le paysage?
Traduit par Christine
Page originale : http://www.heavenletters.org/on-earth-or-on-the-stars.html

