Vous savez, parfois quand la vie vous devient pesante, vous avez le droit de le reconnaître et de vous accorder une pause. Si vous avez besoin de prendre un jour de congé, vous avez besoin d’un jour de congé. Vous ne pouvez pas attendre que quelqu’un prenne soin de vous. Prenez soin de vous-mêmes.

Quand vous avez besoin de faire une pause, faites une pause.

Vous n’avez rien à prouver. Vous n’avez pas besoin de prouver que vous êtes Superman ou Wonder-Woman !

Même quand la vie vous force à continuer malgré la pression que vous ressentez, alors même si la situation demeure identique, vous pouvez prendre du recul mentalement. Vous pouvez vous tenir à l’écart de l’émotion stressante que vous éprouvez. Vous pouvez faire une pause par rapport à la tension que vous ressentez. Vous pouvez le faire. Je sais que vous pouvez le faire.

Vous pouvez arrêter de penser que vous êtes soumis(es) à une énorme pression. Si vous étiez une théière, vous retireriez le couvercle pour laisser la vapeur sortir. Imaginez la vapeur qui sort de vous. La vapeur s’évapore facilement. Voyez cet excès de vapeur sortir de vos doigts, de vos orteils, de vos oreilles, de votre nez et de votre bouche. Laissez la vapeur sortir. Soulagez-vous de la pression que vous vous étiez imposé(e)s.

Ce n’est pas la vie qui vous met sous pression. Vous pouvez, si vous le souhaitez, remettre en cause cette affirmation. La vie vous met dans une situation difficile, mais c’est bien vous qui vous mettez vous-mêmes sous pression. C’est bien vous qui décidez que cette chose, qui est supposée vous arriver, vous est impossible à supporter. Prenez une autre décision. S’il est dit qu’un jour vous allez rire de cette situation, décidez d’en rire dès à présent. Et s’il est dit que cette situation ne vous fera jamais rire, à quoi bon vous imposer de la pression à son propos ? Sachez que la décision de ressentir, ou non, de la pression vous appartient et se situe à l’intérieur de vous. Elle ne vous est jamais imposée de l‘extérieur.

Les situations peuvent vous être imposées. La pression, non. Vous n’êtes pas obligé(e)s d’être inébranlables, solides et capables de tout surmonter, car il vous est toujours permis de prendre une bouffée d’air. Ne retenez pas votre respiration, bien-aimé(e)s. Respirez.

Quand vous vous sentez accablé(e)s par une circonstance donnée, faites en sorte d’éliminer ce sentiment d’accablement qui vous submerge. Délogez l’accablement. C’est un objet étranger. L’accablement est une chose que vous avez trouvé en chemin, vous l’avez ramassé. Et si vous avez su le ramasser, vous devez savoir le déposer. Vous pouvez vous en débarrasser à cet instant même.

Vous pouvez décider, chacun et chacune, d’être une personne toute simple qui n’accumule pas de pression. Apprenez à expulser la vapeur. Sentez le feu qui vous anime s’apaiser. N’attisez pas le feu. Vous avez eu pour habitude d’attiser le feu avec vos pensées. Désormais, vous pensez autrement. Désormais, vous pensez calmement.

Désormais, vous ne pensez plus à toutes les choses que vous avez à faire. A la place, vous pensez à tout ce que vous êtes. Vous êtes, chacun et chacune, Mes enfants, et Je dis que vous êtes magnifiques. Je dis que vous êtes merveilleux et merveilleuses. Je dis que vous êtes la lumière de l’être et qu’en tant que tels, vous êtes légers et légères. Prenez ce que Je dis pour paroles d’évangile au lieu de croire ces pensées qui vous accablent et vous hantent.

Dès qu’il s’agit de stress et de tension, lâchez prise. Quelle que soit la situation, vous n’avez pas à courber l’échine et à obéir au stress et à la tension. Vous n’avez pas à courber l’échine face au désordre. Redonnez à votre coeur l’environnement qu’il mérite : l’ordre. Redonnez à votre coeur la paix. Soyez en paix. Même ce que vous considérez comme insurmontable s’en ira de lui-même. C’est en train de s’en aller à ce moment même. Ne vous y accrochez pas. Si vous êtes dans la détresse, laissez la détresse s’en aller. Autorisez-vous à être en paix. Laissez votre coeur se reposer un peu. Faites-lui prendre de la hauteur. Apaisez-le. Réconfortez-le. Laissez l’inconfort s’éloigner.

Quelque chose de bénéfique est en train de se produire. Une manière de penser est en train de partir. Laissez-la partir. Vous n’en avez pas besoin. Vous n’en n’avez jamais eu besoin. La situation peut vous sembler épouvantable, cela ne vous oblige aucunement à l’adopter. Vous n’avez pas à la nourrir et à l’entretenir. Ne la subissez pas. Laissez-la s’éloigner. C’est à chacun et chacune d’entre vous que Je M’adresse à cet instant, et Je vous fais une bise sur le bout du nez ! Et maintenant, voulez-vous bien sourire ?