Dieu a dit:

La vie dans le monde n’arrête pas d’avoir des à-coups. La vie dans le monde, telle que vous la connaissez, peut ne jamais se calmer. Par conséquent, il vous incombe de vous calmer. A l’intérieur de vous-même, vous vous calmez. Vous êtes sages et calmes. La vie apporte des histoires inattendues, et pourtant vous pouvez lire ces histoires sans vous alarmer. Quelle imagination a la vie ! Ce qu’elle assemble ne peut pas être repris, cependant, ce que la vie assemble n’arrête pas de changer et de grandir, et parfois les rêves deviennent la réalité.

Il y a des rêves que vous avez qui sont imminemment vrais. Avant que la paix règne pleinement sur le monde, et elle le fera, vous prendrez de l’avance en réalisant la paix à l’intérieur de vous. La paix ne vient pas réellement de l’extérieur de vous. Car il y a une chose, bien-aimés, il n’y a pas rien en dehors de vous. Cela semble ainsi. Il semble que la lumière du soleil vienne de l’extérieur de vous, pourtant vous êtes le Soleil. Les tempêtes semblent venir de l’extérieur de vous, pourtant vous êtes aussi la tempête. Ni la temps ni l’ennemi ne vient de l’extérieur.
Pas plus que Je ne suis extérieur à vous. Tout est à l’intérieur de vous. Tout est reflété par vous, et tout ce qui est à l’intérieur de vous est aussi reflété à l’extérieur de vous.

Vous êtes votre propre meilleur ami, et vous êtes votre propre meilleur challenge. Quand tout est juste en vous, alors tout peut être juste dans le monde.

Les nuages ont leur place dans le ciel bleu. Ils y sont bénéfiques. Ils retiennent la pluie bénie qui va arriver. Tout dans la vie apporte un bénéfice. La pluie paisible apporte des bénéfices par-dessus tout. La paix est un genre différent d’appel aux armes. C’est un appel à la chaleur et à une ouverture de votre cœur appelée Amour. La paix et l’amour entrent dans la vie amicalement. Accueillez-les. Offrez-leur un fauteuil sur lequel s’asseoir et un repose-pieds pour se délasser. Installez-les auprès du feu ou devant la fenêtre ouverte. Offrez-leur du thé chaud ou une boisson fraîche avec de la menthe. Donnez-leur toutes les chances de rester.

Si vous avez ressenti la paix même seulement une fois auparavant, vous pouvez la sentir à nouveau.

La paix est rafraîchissante. Elle n’est plus une pause, une cessation, une trêve. La paix va envelopper le monde. La paix est votre environnement naturel. L’agitation ne l’est pas. La paix peut seulement être pour tous. Elle ne peut pas être à un endroit et pas à un autre. La paix avec des éruptions n’est pas la paix. La paix n’est pas vraiment proclamée. La paix est accueillie/bienvenue.

La paix peut commencer partout sous n’importe quel climat. Dites-Moi, chers Enfants, quel est le climat de votre cœur? Etes-vous colériques? Si vous êtes colériques, vous êtes rapides à réagir. Soyez donc rapides à réagir à la fraternité et à la paix. Soyez rapides à réagir à ce qui est favorable et laissez aller les autres choses. C’est un vrai courage de ne pas avoir à vous défendre vous-même ou à changer les autres, seulement vous-même. Prenez la responsabilité de vous-même, et la façon dont vous vivez dans le monde est celle dont le monde vous répond. Et, oui, vous êtes aussi responsables de tous les autres dans le monde, pourtant vous devez savoir que comme vous vous élevez, de même font tous les autres. Si vous voulez être un leader du monde, élevez-vous simplement en premier.

Ceci est une procédure automatique. Vous ne devez pas les forcer à vous suivre. Vous devez seulement être au-devant, et tout s’élèvera à votre niveau de sérénité. Juste comme le jour suit le soleil, c’est ainsi. C’est ainsi que cela marche. Quand vous saccagiez tout, les autres vous suivaient. Ils vous copiaient, n’en est-il pas ainsi? Quand vous étiez énervés et stupides, les autres vous rejoignaient à mi chemin ou plus loin. Alors que vous embarquez pour un voyage de paix, les autres seront aussi votre miroir. C’est ainsi. Un sourire amène un sourire.
Apportez-ce que vous voulez au monde.

http://www.heavenletters.org/bring-what-you-want-to-the-world.html -

Traduit par Anaïs CABANES
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