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HeavenLetter # 2958 QUITTEZ LE JEU DES SOUVENIRS MALHEUREUX – pubbliée le 30 décembre 2008

HeavenLetter # 2958 QUITTEZ LE JEU DES SOUVENIRS MALHEUREUX – pubbliée le 30 décembre 2008

Dieu a dit :

Le remède à tout ce qui vous afflige est de déplacer vos pensées. Certaines pensées procèdent de Mes divins fils et filles, et d’autres non. Admettez dorénavant cette notion et vous gouvernerez vos pensées. Vous les rassemblerez presque automatiquement. Vos pensées d’affolement iront à la benne et celles qui vous inspirent sortiront dans les verts pâturages où elles pourront ruminer.

Pourquoi entretenir des pensées qui vous tourmentent ? Lorsque vous découvrez que le lierre toxique vous donne des démangeaisons et vous fait sortir des boutons, vous restez à distance du lierre toxique. Quand vous avez des pensées qui vous tourmentent, pourquoi de telles pensées seraient-elles différentes du lierre toxique ? Vous n’avez pas besoin de continuer à vous exposer à des pensées qui ne sont pas bonnes pour vous. Quel est le sens d’une telle conduite ?

Pourquoi poser votre cœur sur le billot pour le faire trancher ? N’est-ce pas cela que vous faites lorsque vous acceptez des pensées qui vous tourmentent ? Vous pensez peut-être que vous avez besoin d’être puni encore et encore. À cause de quoi ? Ne vous condamnez pas vous-mêmes à perpétuité. Chassez les pensées qui vous torturent. Enveloppez-les dans du papier journal et enfouissez-les dans le sable. Elles ne vous appartiennent pas. Vous n’avez aucun besoin de les conserver. Quand vous avez une blessure, vous la laissez tranquille et vous la laissez guérir. Vous ne passez pas votre temps à l’ouvrir pour voir comment ça se passe.

Vous êtes Enfants de Dieu. Vous êtes Mon enfant. Je vous ai envoyés sur Terre pour donner de la joie. Je ne vous ai pas envoyés sur Terre pour vous punir et re-punir vous-mêmes. La joie vous appartient. Ayez la mémoire courte, bien-aimés. Il est bien assez dur pour vous d’avoir connu, ou vu, ou lu des choses que vous auriez préféré ne pas connaître, voir ou lire. Ne marinez pas dans un bain fait de telles pensées. Remplacez-les par d’autres pensées. Ouvrez un autre tiroir de pensées et trouvez-en une que vous aimez.

Lorsque vous jouez au poker et que vous ne gagnez pas, lorsque vous perdez chaque partie, tôt ou tard vous vous levez et vous quittez le jeu. Vous n’avez pas besoin de devenir un accro des jeux d’argent. Vous n’avez pas non plus à devenir un accro au souvenir de ce qui va mal. Quittez le jeu des souvenirs malheureux. Rentrez à la Maison. Pensez à Moi.

Voici ce que Je vois : chacun semble s’accrocher à des pensées qui blessent son cœur. Certaines personnes sont hantées par le souvenir de circonstances et de relations profondément malheureuses. D’une certaine façon, on pourrait dire qu’elles ont des souvenirs qui valent le tourment. D’autres ont des souvenirs moindres et qui cependant semblent juste aussi gros qu’elles. Ils ont un jour été injustement privés de sortie. Leurs frères et sœurs n’ont pas voulu les laisser jouer avec eux. Ils ont perdu leur premier camion de pompiers. C’est comme si Mes enfants devaient trouver quelque chose de douloureux pour remplir un vide. On dirait presque que Mes enfants ont besoin de se tourmenter eux-mêmes tellement ils déterrent toutes sortes de négligences, de mauvais traitements ou d’incompréhensions pour mettre leur cœur au supplice.

Les psychologues pourront dire que je suis en train de vous encourager à refouler. Non, Je suis en train de vous dire de surmonter. D’avancer. Vous avez déjà avancé. Laissez vos pensées rattraper le point où vous êtes maintenant.

Peut-être avez-vous eu un parent qui ne vous a pas donné l’amour dont vous aviez besoin et que vous auriez dû recevoir. Vous n’êtes plus cet enfant. D’une manière ou d’une autre vous avez traversé la réalité. Vous avez grandi et vous vous en êtes bien sorti. Soyez votre propre parent aimant. Traitez-vous vous-mêmes comme vous, en tant qu’Enfant de Dieu, méritez d’être traités. Vous avez été une fois dans un conte de fées. Vous avez été dominés par un ogre. Vous n’êtes plus sous la domination de l’ogre. Vous n’êtes pas un ogre, alors maintenant libérez-vous du passé. Éloignez-vous de lui.

N’acceptez pas les restes. Ne faites pas de vous un prisonnier du passé.

Traduction AD: www.anneduquesne.com
Page d’origine : http://www.heavenletters.org/leave-the-game-of-unhappy-memories.html