Heaven # 3478 - Voyagez Léger - 3 Juin 2010
Heavenletter™ # 3478 - Voyagez Léger - Publiée le 3 Juin 2010
Dieu a dit:
En effet, il n'y a rien à craindre dans la vie. Quelque soit le bénéfice éventuel de l'inquiétude que vous imaginez obtenir, il est contré par la qualité lancinante de l’inquiétude. L’inquiétude vous mine. Elle pèse fortement sur vous. Elle vous sape. Ne le faites plus. Lâchez l’inquiétude, car elle vous épuise. L’inquiétude vous égratigne et vous laisse blessés avant de vous toucher, si, en effet, vous êtes touchés.
Vous vous grattez avec l’inquiétude. L'inquiétude est comme l'urticaire. L'inquiétude vous mange. Elle vous dévore. Il n'y a rien de bon dans l’inquiétude, car elle vous pèse. Si vous voulez être plus minces, renoncez à l’inquiétude. Substituez le sens du bien-être à l’inquiétude. Abolissez-la. Pourquoi être soucieux quand vous pouvez être insouciants?
Insouciant n'est pas négligent. Regardez dans les deux sens lorsque vous traversez la rue. Conservez la sécurité dans votre vie.
Lorsque vous continuez à ronger une corde, elle finit par se couper en deux. Ne rongez pas les soucis. Le souci va se terminer de toute façon.
Soyez sans souci. Prenez la confiance comme une chose qui va de soi. Vous ne pouvez pas toujours être en mesure de couvrir les événements indésirables dans la vie. Les gens glissent sur des peaux de bananes, mais vous pouvez ne pas vous inquiéter. Je pense que vous le devez. Cela ne vous coûte rien, sauf que vous serez libres de l'inquiétude.
Commencez à vivre de nouveau. Voyez-vous libres. Imaginez le pas de géant que vous pouvez faire! Imaginez le bond en avant dans la vie! Imaginez à quel point c'est beau de ne plus accrocher quelque chose à votre cœur, craignant de le perdre.
Pourquoi ne pas vivre sans craindre la vie? Craignant le pire, vous prenez des fantômes à cœur. Les fantômes sont les pensées de peur que vous transportez avec vous, comme si vous ne pouviez pas vivre sans elles, comme si elles étaient vos gardes du corps. Elles ne le sont pas. La peur, et sa cousine l’inquiétude, vous assaillent. Elles vous attaquent. Ce sont des espions. Elles ne sont bonnes à rien. Ce sont des maraudeurs.
Vous pouvez avoir peur de tout, ou vous pouvez ne vous inquiéter de rien.
Vous ne gardez pas de voleurs dans votre maison, et pourtant vous mettez des soucis dans votre esprit. Vous prenez les soucis, et vous les répétez comme vous le feriez avec un chapelet. Avez-vous adoré les soucis? Ne les avez-vous pas pris en grande considération, comme s’ils étaient des invités royaux que vous deviez honorer? Les soucis sont des fragments que vous avez ramassés le long du chemin. Ils sont des pestes. Vous ne collectez pas les mouches ou les moustiques, mais vous collectez les soucis. Vous murmurez leurs noms. Vous assurez leur sécurité et n’en laissez pas un seul partir.
Mettez tous vos soucis dans la benne à ordures, ou brûlez-les dans la cour. Ne les portez plus. Ils ne sont pas vos amis. Ils ne sont même pas des avertissements. Ce sont de fausses alertes, et ils vous rendent frénétiques.
Quand le trouble vient, bien-aimés, vous le saurez. le trouble a besoin d'aucun scout qui sorte le chercher. le trouble s’annoncera très bien lui-même. Ne laissez pas vos pensées être des signes avant-coureurs de quelque chose hormis du printemps.
Pourquoi voulez-vous des soucis? Ils vous mangent tout crus. Pourquoi laissez-vous entrer les soucis quand vous pouvez les laisser dehors? Mettez un X sur votre porte. "Pas de soucis autorisés. Soucis, soucis, allez-vous en, et ne revenez pas un autre jour."
Vous pouvez penser que les soucis visent l'avenir. Ils sont du passé, ou ils sont quelque chose que vous lisez dans un journal de peurs, une nouvelle maladie ou un sigle après l'autre. Les sujets d'inquiétude sont comme des lapins qui se multiplient et sautent dans vos esprits. Les inquiétudes sont endémiques. Elles n'ont pas d'affaires en cours avec vous.
Les inquiétudes demandent votre attention. Elles insistent, mais vous n'avez pas à leur donner d'attention. Que les soucis aillent leur chemin. Ils ne vous appartiennent pas, ces satanés soucis inquiétants. Ils ne sont d'aucun intérêt. Vous n'avez pas à prendre l'un d'eux avec vous. Voyagez léger.
Traduit par Christine
Page originale : http://www.heavenletters.org/travel-light.html