Please read the Guidelines that have been chosen to keep this forum soaring high!

Heaven # 3458 - Vous Êtes Citoyens du Monde Relatif - 14 mai 2010

Heavenletter™ # 3458 - Vous Êtes Citoyens du Monde Relatif - Publiée le 14 mai 2010

Dieu a dit:

Je vous entends. M'entendez-vous? Sentez-vous Mon étreinte? Me sentez-vous près de vous? Savez-vous que vos cœurs sont à côté du Mien? Ou plutôt, dans le Mien et le Mien dans les vôtres. Nous sommes tellement mutuels qu’il est impossible de dire quel cœur est à Qui. Je vous ai donné Mon cœur à déverser librement sur Terre.

Nous partageons un cœur, bien-aimés. Ce n'est pas un demi-cœur, mais la plénitude de la plénitude. Notre Cœur Unique d'amour recouvre l'Univers. Il n'y a pas de cachette pour lui.

Bien-aimés, et si tout ce qui se produit était l'amour vous faisant signe? Vous pensez que ce doit être impossible parce que vous avez connu la perte, vous avez connu la douleur, et personne ne peut vous dire que ce que vous avez vécu ressemble tant soit peu à l'amour. Vous avez raison, le chagrin d'amour n'est pas l'amour. La souffrance n'est pas l'amour, Alors, bien-aimés, en toute compassion, Je vous demande, "Pourquoi souffrez-vous alors?"

Dans beaucoup de cas, vous avez appris que certaines occasions étaient censées faire souffrir. Mais que faire si vous ne croyez pas cela, qu'est-ce donc? Vous êtes habitués à l'idée que si vous avez un rhume, vous allez tousser. De la même manière, vous êtes habitués à l'idée que la souffrance fait partie du lot de la vie des gens qui vivent sur la Terre. Vous n'avez qu'à regarder l'histoire pour savoir que, pourtant, vous n'avez pas à répéter l'histoire.

La douleur est la douleur. La douleur physique est la douleur physique. La douleur émotionnelle est la douleur émotionnelle. La douleur devient souffrance quand vous vous sentez désolés pour vous. Vous pensez: «Malheur à moi." Et ainsi, vous avez la garantie du malheur. Ne croyez pas que J’ai le cœur dur quand Je vous dis cela. De toute évidence il y a des situations dans la vie que vous ne voulez pas, et pourtant elles apparaissent. Il est un fait que le corps des gens meurt. Cela ne vous aide pas que Je dise que les coups dans la vie qui viennent à vous n’ont rien de personnel. Si vous pouviez prendre la mort du corps des êtres chers tout comme vous prenez les changements météorologiques, jusqu’où et combien de temps souffririez-vous?

Vous ne pouvez pas échapper à la vie, bien-aimés. Vous êtes ici sur Terre pour vivre et non pour prendre comme un affront même la mort des êtres chers. La vie elle-même rebondit, mais vous, vous, bien-aimés, devez rester égal. Vous n'avez pas à rebondir si haut ou tomber si bas comme vous le faites. Parfois, vous avez encore envie de l'excitation des hauts et des bas. Ne me dites pas que vous ne l'avez pas. Vous aimez vous voir parfois comme une balle de ping-pong rebondissant, butant de droite à gauche, en quelque sorte.

Vous ne voulez pas la souffrance, et pourtant vous aimez les drames. De quoi sont faits les drames, bien-aimés, si ce n’est de hauts et bas? Le drame fournit une plate-forme où la souffrance peut s’attacher aux rails, se faire écraser et s'exalter elle-même.

Un enfant pleure sur un jouet cassé. Vous pleurez sur vos rêves brisés. Vous n'avez jamais pensé que votre vie serait ainsi, quoiqu’il en soit. Vous attendiez plus de la vie et de vous-même. La vie n'était pas censée être ainsi. Vous n'aviez pas à être traités ainsi. Vous, surtout, étiez censés recevoir des cadeaux de la vie et ne pas être comme les gens ordinaires qui perdent leurs proches ou souffrent d'une perte ou d'une autre.

Vous êtes citoyens du monde relatif, et, dans le monde relatif, faveurs et charges vont et viennent toutes les deux.

Traduit par Christine
Page originale : http://www.heavenletters.org/you-are-a-citizen-of-the-relative-world.htm...