HEAVEN # 2964 DE SI LONGUES ET SI VIEILLES PENSÉES, SI LONGTEMPS, le 5 janvier 2009
Dieu a dit :
Ce qui s'accroche aux vieux chemins de la vie vous retient. Quand vous vous accrochez, à quelle distance pouvez-vous voler ? Même quand vous vous accrochez à un ruban de rien, vous tenez toujours quelque chose. Vous avez le ruban des blessures autour de vos doigts et vous vous tenez accrochés au ruban. Vous vous tenez accrochés de la même façon que la main d'un bébé s'accroche à ce qui se trouve à sa portée. Vous vous accrochez aux idées. Vous vous accrochez au passé. Vous vous accrochez aux rubans du passé et aux mouvants rubans de l'avenir et vous laissez ce moment précis aller, pour peut-être seulement vous y accrocher plus tard, rétrospectivement. Laissez aller aux vents ce qui appartient aux vents. Laissez les vents balayer clairement votre chemin. Laissez tomber les branches. Laissez les vents de vie élaguer votre chemin pour vous permettre d'avancer. Laissez les vents démolir ce qui n'est pas vraiment ici de toute façon et qui vous maintient encore en bas.
C’est comme si vous preniez un marteau et des clous et fixiez votre vie au sol. Vous essayez de la garder sauf et sauf, pour vous, signifie ce qui a déjà été.
Mes bien-aimés, lâchez tout ce à quoi vous vous accrochez. Le lâcher prise vous attend. Lâcher tout ce que vous portez avec vous. Pensez aux bagages que vous portez avec vous et depuis combien de temps. Combien inutile est ce que vous portez! Vous le traînez comme s'il avait servi un but digne. Je vous dis de lâcher et malgré tout vous vous y accrochez. Vous le maintenez et vous voyagez sur tout ce à quoi vous vous accrochez.
Quelqu'un compose une chanson pour lâcher, n'est-ce pas ? Il y a les chansons des amours perdus et les amours perdus sont maintenus présents, comme si, quand tout est dit et fait, ils étaient ainsi plus élevés que votre grandeur. Tout ce qui reste sont vos pensées, des pensées passées au sujet du passé. Précieuses vous sont vos pensées, cependant vous les avez assez lues. C'est le temps pour vous d'écrire de nouvelles pensées. Purifiez l'espace pour de nouvelles pensées et un nouvel amour.
Non, plus d'accumulation du passé dans les tiroirs. Votre mental n'est pas destiné à être un tiroir rembourré de fichiers. N'est-ce pas assez, mes bien-aimés?
Vous pelletez la neige en hiver. Maintenant pelletez les vieilles pensées au loin. Laissez-les fondre dans sous le soleil brillant de la vie. Lâchez, lâchez! Poussez les au loin. Bousculez-les, qu'elles partent. Nettoyez l'espace pour de nouvelles pensées et de nouveaux amours.
Ce nettoyage est la fontaine de jouvence si recherchée. Débouchez l'esprit. Lâcher les résidus. Nettoyez vos fenêtres. N’encombrez plus votre esprit. Videz-le, ainsi vous pourrez voir. Vous voulez voir et vous voulez voir à l'intérieur.
Vous lavez votre visage chaque jour. Lavez maintenant les pensées empilées de votre mental. Lavez-vous généreusement. Laissez votre esprit devenir brillant. Trouvez une ardoise propre pour écrire dessus.
Je vous le dirai jusqu'à ce que vous n'ayez plus besoin de l'entendre.
Mes bien-aimés, vous avez vos étapes d’évolution empilées les unes sur les autres. Vous ne pouvez voyager que sur tout ce désordre dans vos escaliers. Ne le faites pas morceau par morceau. Prenez juste un sac à ordures et jetez tout cela dedans.
Dites-moi, mes bien-aimés, devez vous vraiment examiner ce qui est là? Que pensez-vous qu'il arrivera si vous jetez simplement tout cela? Quelle est votre crainte ?
Prenez tout le contenu sur votre escalier d'or dans vos deux mains et soulevez-le.
Dites, "de si longues, et si vieilles pensées! Si longtemps, toutes les formes et les tailles. Depuis si longtemps, vous avez accumulé tant de poussière qu'il est difficile pour moi de m'élever. J'en ai assez de vous. Honnêtement, je ne sais pas pourquoi je vous ai toutes tenues empaquetées si fermement si longtemps, comme si, d'une façon ou d'une autre, vous aviez renforcé l'escalier de ma vie. Bien sûr, vous ne le faites pas. Bien sûr, vous ne l'avez jamais fait. Bien sûr, vous m'avez gêné. Bien sûr, vous êtes entrées sur ma voie. Depuis si longtemps maintenant, de si vieilles pensées si longtemps tenues. Si longtemps."