HeavenLetter™ # 2780 TOUT DANS L’UNIVERS EST VÔTRE – publiée le 5 juillet 2008
Dieu dit :
Vous ne voyez pas le sentier sur lequel vous marchez. Il se peut même que vous ne sachiez pas que vous parcourez un sentier, pourtant vous n’êtes pas dépourvu de trajectoire. Vous suivez une trajectoire sur Terre, qui peut être perceptible ou imperceptible.
La Terre qui gravite autour du soleil sait-elle qu’elle suit une orbite ? Une orbite n’a besoin d’être ni nommée ni connue pour être suivie. Vous gravitez sur l’orbite du Paradis, bien-aimés. Bien sûr vous le faites. Qu’est-ce que vous pourriez faire d’autre ?
Le sentier que vous parcourez au cours de votre vie peut faire des zigzags, et c’est pourtant, néanmoins, un sentier. Un sentier n’est pas d’une seule sorte. Il peut être lisse un jour et rocailleux le lendemain. Un sentier peut être aride, et il peut être boueux. Il peut être rempli de fleurs ou couvert de mauvaises herbes. Un sentier que vous suivez peut être une rivière qui serpente, ou un discret ruisseau ou un défilé abrupt dans une montagne. Un sentier peut grimper en haut d’une montagne, ou d’un arbre. Un sentier peut descendre dans le puits d’une mine. Il n’y a aucune restriction à ce que peuvent être les sentiers. Le nombre des sentiers renvoie au nombre de Mes enfants. Il n’y a pas deux sentiers identiques, et pourtant il n’y a qu’Une Destination. Pas de destinations multiples. Seulement Une Destination. Une Destination pour tout le monde.
Cependant, même lorsque Je dis que vous parcourez un sentier, vous êtes le Repos qui ne marche nulle part. Vous êtes déjà arrivés à la Destination prévue pour vous. Vous ne vous en êtes jamais éloignés, bien-aimés. Vous voyagez vers un lieu que vous n’avez jamais quitté et où vous êtes déjà. Et cependant ceci est un but formidable dans votre vie — vous trouver là d’où vous n’êtes jamais partis, découvrir que vous ne pouvez aller nulle part parce que vous n’êtes jamais partis ET, en même temps, qu’il n’y a de toute façon nulle part où aller !
Vous êtes à bord d’un ascenseur silencieux. Vous êtes portés par le vent. Vous êtes en train de vous attendre vous-mêmes au Paradis tandis que vous batifolez sur Terre.
Ressentez la beauté de tout cela. Ressentez votre Unité avec Moi et avec le Paradis et avec chacun. Ce faisant, vous qui êtes Immobilité, vous vous dilatez dans l’Immensité du Vide, et vous vous élevez encore plus haut. Pensez à tout ce que vous recevez et à tout ce que vous donnez.
Bien-aimés, même en ce monde illusoire de la Terre, il n’existe aucun endroit où vous n’ayez été. Il n’existe aucun soulier que vous n’ayez chaussé. Il n’existe aucun cœur qui n’ait touché le vôtre. Il n’existe aucune joie ou aucun malheur qui n’aient pénétré dans votre cœur. Il n’existe rien dans le Paradis tout entier et sur la Terre toute entière qui ne soit vôtre. Tout ce qui est a été abrité dans votre cœur. Vous êtes une pulsation du cœur de chacun.
Ce que quiconque a expérimenté, vous l’avez expérimenté. Il n’y a à cela aucune échappatoire. Vous êtes chaque cri sur Terre, et vous êtes chaque rire. Il n’est rien de connu ou d’inconnu dans l’Univers qui ne soit vôtre.
Ce dont vous êtes conscients, c’est une autre histoire. Ce dont vous êtes conscients est limité. Mais ce que vous êtes et qui vous êtes, sont illimités.
Vous êtes toutes les sortes de musique. Vous êtes chaque note jouée et pas encore jouée. Chaque note composée ou pas encore composée. Vous êtes la musique jouée et la musique entendue.
Bien-aimés, comme elle est minuscule la photo vous avez conservée dans cette besace qui est vous-mêmes !
Le monde se dilate devant vos yeux véritables. Le monde se dilate parce que vous êtes. Vous êtes le précurseur du monde. Vous êtes celui qui le crée. Vous êtes le chef cuisinier qui dispose de tous les ingrédients et qui sait ce qu’il doit incorporer et ce qu’il doit exclure. Vous êtes celui qui a la vision de ce que vous voulez réaliser, et alors vous le réalisez.
Traduction AD : www.anneduquesne.com
Page d’origine : http://www.heavenletters.org/everything-in-the-universe-is-yours.html