Dieu a dit:
Vous n'avez pas besoin de faire appel à Moi, de Me supplier parce que Je suis votre Soi. Il n'y a pas de pensées de vous que Je n'entends. Il n'y a pas de battements de cœur de vous qui M'atteignent. On ne M'appelle pas Omniscient et Ominiprésent pour rien. Je vois tout, sais tout, SUIS Tout. Vos pensées sont entendues. Je les entends. J'entends le bruit de votre cœur. Ta dum. Ta dum. Il bat dans Mes oreilles et dans Mon cœur. Vous n'êtes jamais oubliés. D'aucune façon Je ne vous ignore.
Bien-aimés, c'est vous qui vous vous ignorez. C'est vous qui n'y voyez pas clair. C'est vous qui n'écoutez pas le battement de votre cœur. Souvent vous écoutez votre propre cœur et voulez communiquer avec Moi quand il arrive que vous soyez en grave besoin. Vous n'avez pas à quémander auprès de Moi. On vous a déjà donné. Pourquoi ne pas écouter des profondeurs de votre cœur qui, toujours, sans exception, est satisfait de Moi et Moi de vous. Sans exception, dis-Je.
Vous vous rendez compte, bien entendu, que ce que vous pensez est souvent inexact et, conséquemment, que votre cœur est également induit en erreur. Parfois, ce que vous pensez est bien loin du compte de la Vérité. Vous avez beau lire mes Paroles, mais cela ne veut pas dire nécessairement que vous prenez Ma vague. Parfois, vous pouvez vous dissocier de ce que Je dis et vous ne vous en rapprochez même pas. Vous interprétez qu'il vaut la peine que vous souffriez pour quelque chose et, alors, vous souffrez.
Ceci n'a rien à voir avec l'idée de M'obéir. Vous n'êtes pas désobéissants. Vous ne désobéissez pas. Vous pensez tout simplement que vous avez raison et vous outrepassez ce que Je dis par considération pour votre propre opinion. D'où tenez-vous vos opinions, bien-aimés? De l'environnement, peut-être? De l'air que vous respirez? D'une pensée venant de très loin et d'un lointain passé? Plus vous êtes près de Moi, plus vous êtes près de la Vérité. La Vérité vous convient mieux que les opinions. Ce n'est pas une considération ou de l'obéissance à Moi.
Avant d'être en mesure de suivre les indications pour une rue que vous cherchez, vous avez besoin d'indications. Votre esprit doit également les comprendre avant que vous ne puissiez les suivre pour vous rendre où vous voulez. C'est seulement à ce moment que vous pouvez suivre les indications, sans quoi vous êtes mal dirigés.
Et, parfois, peu importe combien de fois vous répétez la même erreur et que vous vous en rendiez compte, vous répétez quand même la même erreur.
Une de vos erreurs est de sauter aux conclusions. Ce que vous voyez, vous pouvez le voir comme de la négligence ou comme un affront. Ce que vous voyez, mes chers, est ce que vous obtenez. Si quelqu'un est mécontent de vous et qu'il met la main dans sa poche, vous pourriez interpréter qu'il va brandir un fusil et un scène s'ensuit. Vous pourriez prendre la fuite. Vous pourriez vous-même sortir un fusil de votre propre poche, tout prêt que vous êtes pour une attaque. Cela n'importe pas que celui que vous voyez comme un adversaire n'ait pas du tout de fusil. Il aurait pu tirer de sa pocher une palette de gomme à mâcher. Aucune offense n'a été commise, mais une offense a été perçue et, par suite, traitée comme tel. C'est ce qui arrive dans le monde de l'illusion. Il n'y avait pas d'ennemi. Vous en avez vu un là où il n'y en avait pas.
Tenez droit vos chapeaux, bien-aimés, et vous allez faire Ma Volonté. Ma Volonté est toujours celle de la Bonne Volonté. D'une façon ou d'une autre, il vous incombe de répondre à la mauvaise volonté par de la Bonne Volonté. Que dirais-Je d'autre sur Terre, pouvez-vous Me le dire? Bien sûr, envoyez la Bonne Volonté de votre cœur. Envoyez la Mienne.
Traduit de l’anglais par Normand Bourque.
Page originale : http://www.heavenletters.org/what-you-see-is-what-you-get.html