Dieu a dit:
Vous Me voulez Entièrement, n’est-ce pas? Vous ne voulez pas seulement une partie de Dieu, un petit peu par ci et un petit peu par là. Le fait est que vous avez l’Entièreté de Moi. Vous M’avez Entièrement en cet instant même. Pas même une particule de Moi ne vous échappe. Bien sûr qu’il n’y a pas de particules de Moi, alors comment pourraient-elles vous échapper? Et pourtant vous êtes en état de désir ardent. C’est vous-même que vous désirez connaître. C’est vous que vous cherchez. Non pas cette image que vous supportez de vous-même, de celui qui s’efforce, qui échoue, qui réussit. Vous savez que vous êtes quelque chose de plus que ce que vous présentez de vous-même alors que vous tournoyez autour du monde.
Vous savez très bien que vous êtes quelque chose de plus et c’est ce quelque chose de plus que vous savez que vous devez avoir. C’est exactement ici, exactement ici sous la surface et pourtant, vous n’avez pas été vraiment capable d’atteindre le noyau de vous, celui qui est au-dessus de votre moi qui cherche. Comme vous brûlez de désir de vous connaître dans l’état de gloire où Je vous connais. Comme vous brûlez de désir de regarder à travers Mes yeux et de voir comme Je vois, embrasser ce que J’embrasse. Comme vous brûlez de désir d’être votre Vrai Soi sans tout ce fatras qui vous enveloppe. Comme vous brûlez de désir de vous tenir devant Moi dans Ma lumière et de savoir que Ma lumière est vôtre.
Oui, présentement, vous avez une petite idée et pourtant, cette petite idée vous est presque trop à accepter, presque trop à supporter parce que, si vous êtes entièrement ce que Je dis que vous êtes, si vous êtes vraiment le Pur Esprit que Je dis que vous êtes, vous ne pouvez sonder comment cela peut être. Vous aimeriez l’être mais ça ne vous semble qu’être un conte de fées.
Cela semble comme un conte de fée parce que les contes de fées sont aussi comme ça. Cendrillon n’était pas en réalité Cendrillon. Elle était une princesse. Dans les contes de fées, plusieurs choses ne sont pas ce qu’elles paraissent.
Et, dans la vie réelle sur Terre, vous n’êtes pas comme vous paraissez. Pourquoi personne sur Terre ne vous a dit votre magnificence? On vous a peut-être dit la magnificence des autres mais, en ce qui vous concerne, on vous a d’abord dit combien vous étiez loin de votre idéal.
Ceux-là dans le monde ont utilisé des bâtons à mesurer faillibles, bien-aimés. Ils ne savaient pas ce qu’ils faisaient quand ils ont dénié votre Essence. Ils ont dénié votre Essence parce qu’ils n’avaient pas trouvé la leur. Personne qui connaît sa propre Grandeur ne maugréerait contre vous, ne vous raillerait ni ne verrait moins que la Magnificence et la Beauté que vous êtes.
Il vous incombe aussi de connaître votre propre valeur pour pouvoir valoriser les autres.
Comme l’ego est loin de la Gloire dont Je parle. Je ne parle pas de la Gloire momentanée. Je ne parle pas d’un jeu dramatique qui n’aboutit à rien. Je parle de ce qui peut difficilement être dit parce que votre Magnificence est tellement grande, tellement magnifique qu’elle vous coupe le souffle. Oh! que vous connaissiez la Vérité de vous. La Vérité de vous est au-delà de l’horizon et pourtant, vous pouvez avoir un éclair d’horizon. Vous pouvez tirer l’horizon à vous. Vous pouvez tout faire.
Vous pouvez en venir à faire l’expérience de la Vérité de vous et de ce que vous êtes pendant que vous êtes sur Terre. Vous pouvez être enflammés par la Vérité et vous pouvez allumer le monde en une demi-seconde. Oui, vous, Je parle de vous. Je parle de Moi-même à l’intérieur de vous parce que JE SUIS la Vérité de vous, si seulement vous pouviez le savoir. Vous continuez à vous rapprocher puis viendra le jour où vous ne trouverez plus votre petit soi parce que, très bientôt, vous aurez embrassé l’Unité dans son Entièreté et c’est votre petit soi que vous ne connaîtrez plus.
Traduit par Normand Bourque
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