Dieu a dit:
Qu’est-ce qui vous retient d’accepter votre pleine mesure? Quelle force de résistance vous empêche de cueillir tous les cadeaux de l’univers qui sont répandus devant vous? Savez-vous combien parfois vous ne voyez pas quelque chose qui est carrément devant vos yeux? Quand vos yeux s’y posent, vous vous dites: «Oh!, était-ce là tout le temps?»
Parfois vous déposez quelque chose pour une minute seulement et puis la minute suivante, vous ne savez plus où vous l’avez mis. Ce que c’est n’a pas d’importance. Vous avez déposé quelque chose en vous dirigeant quelque part, mais où? Vous devez fouiller pour vous rappeler où vous l’avez mis. Et peut-être vous ne le retracez que lorsque vous êtes en train de chercher quelque chose d’autre.
Parfois vous ne remarquez pas quelque chose parce que vous en avez eu tellement l’habitude. Vous êtes tellement habitués de le contourner ou de l’enjamber que vous n’y prêtez aucune attention. Ce pourrait être un beau fauteuil ou ce pourrait être une tache sur le tapis. Ça vous est tellement familier que vous finissez par l’oublier. C’est comme s’il n’existait plus. Votre esprit saute par-dessus. C’est devenu seulement un objet et il n’appartient plus désormais à votre champ de vision.
Admettrez-vous que parfois vous ne voyez pas ce qui est immédiatement devant vous?
C’est ainsi que ça s’est passé quand on parle de vos bienfaits. Vous y êtes tellement habitués que vous ne les voyez plus. Et certains ont complètement échappé à votre regard. Les bienfaits sont droit devant vous mais, pour une raison ou pour une autre, vous les avez soustraits de votre champ de vision. Et pourtant, vous êtes constamment à l’affût de nouveaux bienfaits. Celui que vous avez remarqué la semaine dernière n’est plus au foyer de votre attention. Il a perdu son éclat.
Vous abondez en bienfaits, bien-aimés. Et pourtant, vous êtes ensevelis sous le temps et l’espace et parfois, vous ne pouvez vous en sortir.
Il y a lieu de simplifier, bien-aimés, de balayer le temps et l’espace de l’horizon de votre vie de sorte que vous soyez plus conscients de vos bienfaits. Oh!, Je sais, de temps à autre vous remarquez un bienfait ou deux et pourtant, trop souvent, vous êtes distraits par le monceau d’objets dans votre espace et la liste de choses inscrites dans votre calendrier et dans votre esprit.
Envisagerez-vous de laisser l’idée de bienfaits avoir préséance sur les choses de moindre importance? Je ne veux pas vous dire d’abandonner les menues choses, pourtant et encore, ne pouvez-vous pas, dans votre journée et votre vie occupées, tracer un cercle autour des bienfaits sur votre calendrier?
Vous avez une longue liste de choses à faire et de personnes à rencontrer. S’il-vous-plaît, ajoutez «Voyez les bienfaits» dans votre liste de choses à faire.
Quand vous ferez le suivi de votre carnet de chèque, allez-vous également faire le suivi de vos bienfaits?
Vous aimeriez plus de bienfaits, n’est-ce pas? Pour que les bienfaits affluent vers vous de plus en plus, faites le compte de ceux que vous avez déjà. Même si ce sont ceux d’hier, acceptez-les de nouveau aujourd’hui. Mettez votre main sur l’épaule de vos bienfaits, pour ainsi dire.
Peu importe si vous ne remarquez pas un fauteuil ou une tache sur votre tapis. Ça n’est pas d’une grande signification. Mais le fait de rater même un seul bienfait par année est un trop gros manque.
Il n’y a pas une minute qui passe sans que Je vous envoie des bienfaits. J’ai une commande régulière de bienfaits pour vous, bien-aimés. Ils sont constamment en route vers vous. Auriez-vous l’obligeance de les accepter? Comment pouvez-vous les accepter si vous n’êtes pas en mesure de les voir?
Traduit par Normand
Page originale: http://www.heavenletters.org/when-it-comes-to-gods-blessings.html