Heavenletter™ # 3491 –Une célébrité en son genre - Publiée le 16 Juin 2010
Dieu a dit:
La vie ne concerne pas que vous. La vie ne concerne pas que ce qui vous est agréable. Ce que vous aimez et ce que vous voulez sont parfois hors champ. Vous êtes dans Mes Pensées et Je vous sers, pourtant Je suis ici pour plus que vous servir.
Vous êtes sur Terre pour une raison, mais cette raison n’est pas d’être à votre propre service.
Ne vous méprenez pas à penser que les autres doivent absolument vous avoir. Je suis le Centre de l’Univers. On a besoin de vous et, pourtant, l’existence ou le bonheur d’aucun ne dépendent de votre individualité. Vous n’êtes pas le pivot de l’Univers, Je le Suis.
Oui, vous pouvez contribuez à la vie de quelqu’un. Assurément, vous contribuez à la vie de vos enfants, et vous êtes là pour eux. Assurément, vous avez des amis et vous bénissez leurs vies. Pourtant vous n’êtes pas essentiels à leur bien-être. Je le Suis.
Vous n’êtes pas essentiels au bien-être de quiconque. Si vous pensez que les autres ne peuvent vivre en ce monde sans vous, c’est que vous vous êtes peut-être convaincus qu’ils étaient essentiels à votre propre bien-être. Vous vous racontez beaucoup d’histoires en parcourant le monde.
Il est vrai que le monde vous sert et que Je vous sers. Quand vous pensez que vous êtes le but ultime du monde, alors vous vous êtes mal informés. Si vous pensez que vous êtes le but ultime de la vie de quelqu’un d’autre dans le monde, alors vous avez mis un voile devant vos yeux.
La ligne est ténue entre être égoïste et être désintéressé. La ligne est ténue entre servir les autres et se servir soi-même. La ligne est ténue entre l’égo et le service. La ligne est ténue entre toutes choses. Vous pouvez toujours vous convaincre autrement.
Votre souffrance est en grande partie un ajout. Elle est une condition que vous vous attribuez. Il est possible que vous ayez besoin de souffrir. Mes bien-aimés, vous n’avez pas à être une prima donna. Vous n’êtes pas d’une importance primordiale. Alors quel est le problème ?
Il semble que certains s’écartent de leur chemin pour placer une plaque à leur linteau de porte ou au-dessus de leur tête. «Ici se tient un être souffrant», peut-on lire sur la plaque. «Voyez comme je souffre de ce que la vie est ce qu’elle est et non plus comme elle était ni comme je voudrais qu’elle soit encore». Et ainsi vous honorez la perte.
Il serait préférable que vous vous considériez plutôt en un lieu privilégié. Vous êtes peut-être la personne la plus privilégiée sur Terre, pourtant vous appelez vers vous la souffrance. Vous considérez qu’on vous a refusé quelque chose ou que quelque chose vous a été confisqué. Débarrassez-vous de ce centrage sur soi. Extirpez-le vous-mêmes. Finissez-en avec lui.
Les problèmes dans le monde sont relatifs. La plupart du temps vous êtes vous-mêmes la source de vos problèmes. Vous conjurez vos problèmes comme le chat qui miaule alors qu’en réalité vous n’avez aucun problème. Vous avez cherché à être une célébrité en son genre. Vous avez peut-être choisi de focaliser votre attention sur quelque chose qui ne vous concerne pas.
En termes du monde relatif, il y a des problèmes qui sont réels. Avoir un enfant malade est une lourde tâche. Et il y a des problèmes qui soutirent votre attention et qui pourtant ne valent pas deux sous. À un certain moment, ne pas avoir la robe appropriée était un problème. Ne pas obtenir ce que vous demandiez était un problème. Et ça peut être votre problème actuel qui cause votre souffrance—votre besoin illusoire d’obtenir tout ce que vous demandez.
Soyez ouverts à l’Univers. Soyez ouverts à ce que la vie vous réserve. Qu’aujourd’hui ne vous apporte pas ce qu’hier vous a apporté n’est pas en soi un problème. Qu’aujourd’hui ne vous apporte pas tout ce que vous demandez n’est un problème que parce que c’est vous qui le dites. Ne le dites pas.
Traduit par Normand
Page originale : http://www.heavenletters.org/stardom-of-a-kind.html
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