Heavenletter™ # 3476 – Voyagez Légèrement - Publiée le 1er Juin 2010
Dieu a dit:
Certaines personnes ont de réels ennuis, bien-aimés, en termes de considération Terrestre. Ce que vous considérez vous-même comme une inquiétude peut être un éternuement comparé à ce que certaines personnes gèrent. Votre plus gros problème peut ne pas du tout être un problème, sauf que vous préféreriez autre chose que ce que vous avez. Certaines personnes ont vraiment quelque chose d'autre à préférer.
Ce n'est pas que Je vous suggère de vous comparer à quelqu'un d'autre. Je vous fais remarquer que vous avez tendance à vous prendre la tête avec des soucis qui, bien qu’inopportuns ou encombrants, ne sont pas grand’ chose sur l'échelle de difficulté. C'est ce que Je tiens à désamorcer chez vous. Vous en avez fait l'expérience. Vous avez eu une grande déception peut-être, disons une histoire d'amour brisé, et c’est dévastateur pour vous, ou votre père décède, ou votre enfant est peut être très malade, et en fait la romance brisée n'est pas, après tout, si haut sur l'échelle que vous l’aviez pensé.
Tout dans le monde est relatif. Dans l'ordre des choses, en termes de grand tableau, même ce qui est considéré comme un problème réel, n'est pas si grand qu'il n'y paraît du côté du monde.
Parfois, il semble que vous avez un sac fourre-tout pour les ennuis, et vous continuez à penser que vous devez le remplir. Non, vous voulez le vider. Vous voulez le garder vide. Ou procurez-vous un sac fourre-tout avec un grand trou dedans ainsi aucun problème ne sera gardé, trié ou ruminé.
Parfois, il semble que tout, même si cela ne vous ennuie pas, vous concerne tout de même. N'est-il pas possible que vous pourriez l’entendre sans vous en préoccuper ou sans crainte? Seriez-vous vraiment perdus sans quelque chose sur quoi agoniser? Peut-être st-ce une simple habitude et vous feriez bien faire sans?
Pourquoi est-il gravé en vous de considérer les ennuis comme une partie de votre vie? Jetez toutes vos douleurs par la fenêtre. Occupez-vous d'autre chose. Mettez en place un passe-temps plutôt qu'une inquiétude. Reprenez le tricot, ou faites du sport. Trouvez en quoi vous désirez vous impliquer, et impliquez-vous. Trouvez quelque chose à faire qui sert à quelqu'un. S'inquiéter ne sert personne. Déplorer ne sert personne. Regretter ne sert personne.
Vous n'avez pas besoin d'aggraver ce qui ne sert à rien si ce n'est à vous sentir tristes.
Vous êtes vigoureux. Vous n'êtes pas une rose chaude dans la maison qui ne peut pas changer de température. Vous êtes un pissenlit vigoureux ou un arbre de grande renommée. Vous avez vécu suffisamment de difficultés, il n'est pas nécessaire maintenant de chercher à en faire davantage. Considérons que vous avez eu votre quota. Vous en avez terminé avec les peines maintenant. Vous voyez plus loin et plus haut. Sans peine à l’esprit, il y aura moins de peine pour tout le monde, non seulement moins pour vous, mais moins pour tout le monde.
Les ennuis sont derrière vous. Vous n'avez pas besoin de vous les remémorer davantage. Déchargez-vous, bien-aimés. Déchargez-vous du sens de la charge. Voyagez légèrement. Ayez les pieds légers.
Est-ce que vous admettez que vous avez tenu les ennuis près de vous et les avez nourris? Vous avez fait de la place pour cela. Vous les avez dorlotés. Il semble presque que vous avez fait des ennuis votre raison d'être. Vous dites peut-être: «Non, Dieu, je ne veux pas d'ennuis."
Alors Je vous dis: "Pourquoi avez-vous approvisionné les ennuis, été sur le qui-vive pour cela et les avoir mis près de chez vous comme si les ennuis devaient être gardés proches, comme si les ennuis étaient un ange exterminateur dont vous deviez vous occuper. Les ennuis n’ont pas besoin de vous, et, sûrement, vous n’avez pas besoin d’eux. "
Traduit par Christine
Page originale : http://www.heavenletters.org/travel-lightly.html