Heavenletter™ # 3464 – Des Choix à Faire - Publiée le 20 mai 2010
Dieu a dit:
Bien-aimés, il y a des expériences dans la vie. Des choses vous arrivent. Quelqu'un peut vous bousculer. Quelqu'un peut vous voler. Quelqu'un peut vous bénir. Vous n’avez sans doute pas le choix conscient de ce qui vous arrive.
Il est facile pour vous de recevoir les bénédictions de quelqu'un. Peut-être que cette bénédiction était un beau cadeau. Peut-être que cette bénédiction était de l'argent. Peut-être que cette bénédiction était un sourire, un mot de bienvenue, un bon repas. Sans y penser, vous souriez. Vous pouvez prendre la personne dans vos bras. En tout cas, vous vous sentez bien.
Probablement, vous répondez aussi rapidement et aussi naturellement quand quelqu'un ne vous traite pas comme vous et Moi souhaitons que tout le monde vous traite. Au lieu que votre cœur se dilate, votre cœur se serre. Ce n'est pas surprenant.
Et probablement, quand quelqu'un est vraiment amoureux, et qu’il ou elle vous rend heureux, vous restez heureux longtemps après.
Et probablement, quand quelqu'un ne vous aime pas, et qu’il ou elle, en effet, vous rend malheureux, votre cœur se serre, et vous vous sentez déconcertés et outragés. Quand vous êtes en colère, cependant, c'est votre choix. Vous n'avez pas le choix de ce que dit ou fait l'autre personne. Votre cœur se serre. Mais maintenant vous avez le choix.
Vous pouvez ruminé ce qui s'est passé toute la journée. Vous pouvez écrire des lettres fâchées. Vous pouvez frapper la personne dans le nez. Vous pouvez jurer. Ce que vous faites ou dites après un événement est votre choix. Et combien de temps vous continuez à vous sentir rabaissés, est votre choix. Ce n'est pas le choix de la personne qui vous a offensé.
À un certain point, vous pouvez juste vouloir arrêter de penser à ce sujet. Vous pouvez ne pas être en mesure de pardonner à l'autre son erreur flagrante. Peut-être que vous ne le pouvez pas tout de suite. En même temps, vous n'avez pas à porter le ressentiment blessant ou la colère pure. Vous n'avez pas à les garder.
Vous pouvez dire que vous ne pouvez pas l'aider. Je comprends ce que vous ressentez, et pourtant Je vous dis que vous pouvez l'aider. Vous pouvez décider de l’aider. Vous pouvez décider de quitter la scène du crime. Vous pouvez donner une autre direction à vos pensées. Vous pouvez décider à l'avance que vous ne laisserez pas perdurer les sentiments malheureux. Vous pouvez savoir que ce n'est pas votre rôle que de laisser les sentiments de tristesse prendre le dessus.
Vous n'avez plus besoin de laisser un événement, ou une autre personne, prendre des décisions pour vous. Vous n'êtes pas sans défense. D’autant plus si votre ego est blessé, vous pouvez le laisser aller. Je ne dis pas que vous pouvez instantanément l'oublier. Je dis que vous pouvez décider de ne pas le conserver dans votre cœur.
Vous pouvez penser que c'est votre cœur qui décide de toutes vos émotions pour vous, mais c’est votre mental. Jusqu'à présent, votre mental vous a peut-être poussé à des mesures de rétorsion. Votre mental vous dit quoi faire, et non votre cœur.
Vous avez pris l'habitude de réagir avec colère ou peut-être avec des larmes. Que vous montriez réellement votre colère est une chose, mais que la colère soit stockée en vous en est une autre. C'est ce à quoi vous devez renoncer, comme vous renonceriez à un deuxième morceau de tarte. Le gâteau n’a pas pouvoir sur vous. Et personne n'est pas en droit de vous dicter la façon dont vous devez être.
C'est à vous de décider et d'être. Quelqu'un ou quelque chose vous a fait quelque chose. Laissez aller de l'idée qu'ils ne le peuvent pas. Ils l’ont fait. Qu'avez-vous à défendre? Votre honneur? Gardez votre honneur pour vous, bien-aimés, et agissez en conséquence.
Je sais que les bâtons, les pierres et les mots peuvent vous faire du mal. Je sais aussi que vous pouvez vous libérer des pénalités ajoutées. Laissez aller, bien-aimés, laissez aller. Les événements fâcheux ne sont pas maîtres de vous.
Traduit par Christine
Page originale : http://www.heavenletters.org/choices-to-make.html