Heavenletter™ # 3451 - La Joie de la Création - Publiée le 7 mai 2010
Dieu a dit:
Lorsque vous êtes créatifs, vous vous sentez bien. La raison en est qu'il y a un flux, de vous à l'Univers. Quand vous êtes créatifs, vous sortez de vous et allez dans l'Univers. S’écoulant de vous, la créativité remue l'Univers. Votre joie de créer fait cela. Ce qui compte n'est pas ce que vous créez. Ce qui compte n'est pas la perfection de ce que vous créez. Ce qui compte est dans votre don, car c'est ce qu’est la créativité.
La peinture d’un jeune enfant a une incidence sur l'Univers, même lorsque le travail de l'enfant ressemble à un gribouillage. Pourquoi? Ce n'est pas le résultat des événements qui rend quelque chose méritoire. C'est le cœur qui y est mis.
Faites cuire un gâteau avec joie, et vous êtes au service de l'Univers.
C'est pourquoi il est si important pour vous d'être joyeux.
Lorsque vous vous inquiétez au sujet du monde, vous ne l’aidez pas. Lorsque vous vous inquiétez au sujet du monde, vous frottez du sel sur ses plaies. Quand vous dites au monde: «Vous semblez un peu pâle aujourd'hui. Vous avez beaucoup de problèmes. Vous n’agissez pas bien », alors le monde commence à se sentir dégoûté, et doute de lui-même et de sa capacité à se renouveler.
Nous parlons de la santé du monde. Faites attention à ce qui est sain dans le monde, et le monde sera en meilleure santé. Aimez le monde, et le monde s'occupera de ses propres problèmes. Aimez le monde, et le monde deviendra plus fort, et les problèmes se dissoudront. Frappez le monde de vos poings ne dissout rien. Arrêtez de vous plaindre. Commencez à aimer.
Le manifesté est loin d'être aussi puissant que l'invisible.
Vous ne pouvez pas parler du monde dans son dos. Il vous entend. Il s'affaiblit, ou reprend vigueur, selon ce que vous dites. Vous êtes toujours dans l'écoute distante du monde. Vous n'avez pas de secrets pour le monde, bien-aimés.
Une façon de connaître votre manière de traiter le monde est de connaître comment vous vous traitez. Il se peut que vous soyez toujours à vous en prendre à vous-même, à vous dire comment vous auriez pu être plus intelligent ou plus précoce ou plus d'une chose ou d'une autre. En d'autres termes, vous pouvez être en train de vous dire comment vous avez échoué, et échoué encore une fois. Vous pouvez même être toujours en train de vous dire comment vous n'êtes pas prêt à l’appel. Vous pouvez vous démoraliser. Vos intentions peuvent être bonnes, mais pas vos pratiques. Jusqu’où pensez-vous pouvoir aller si vous n'avez même pas lié amitié avec vous? Vous pouvez être une mégère pour vous-même. Comment pouvez-vous être heureux avec une mégère qui vous harcèle?
Je parle de simple courtoisie, bien-aimés. Traitez-vous cordialement. Soyez un roi ou une reine pour vous. La royauté sait être courtoise. Et par la courtoisie, la royauté élève. Si vous n'avez pas de bonnes manières avec vous, changez de tactique. Caressez-vous le dos.
Vous pouvez vous demander trop et en même temps ne pas vous demander assez.
Faites une pause et donnez-vous des directives que vous pouvez suivre. Demandez-vous assez, mais ne soyez pas un baudet. Soyez une personne agréable qui vous incite à aller plus haut avec des encouragements plutôt que du dédain.
Voilà comment vous traiter, et comment traiter le monde.
Le monde est votre enfant, bien-aimés. Il est votre création. Ne vous querellez pas avec le monde. Ne lui décochez pas de flèches. Encouragez-le plutôt. Souriez-lui. Tapotez-lui la tête. Dites au monde à quel point il est splendide. Dites-vous à vous-même combien vous êtes magnifique.
Traduit par Christine
Page originale : http://www.heavenletters.org/the-joy-of-creating.html