Heavenletter™ # 3426 – Gracieuseté - Publiée le 12 avril 2010
Dieu a dit:
Quand un ami a été indélicat d’une certaine façon et t’a laissé tomber, lorsque ton ami a senti ou pensé bassement et révélé sa froideur vis-à-vis de toi, alors tu commences à ressentir la même avarice dans ton cœur. N'est-ce pas? Tu imites l'ami, et blâmes l'insuffisance de ton ami pour tes propres sentiments de petitesse.
L’avarice est radine. Tu commences à te sentir avare dans ton cœur. La petitesse est avarice. Elle freine. Et maintenant, la tendance pour toi est de commencer à te sentir dans le malheureux état pincé que ton ami ressent. Il y a quelque chose chez Mes enfants qui semble vouloir perpétuer la petitesse. Ce n'est pas de la vengeance, mais c'est un sentiment de répondre de même. "Mon ami était insensible pour moi. Maintenant que puis-je être à part insensible pour lui ou pour elle?
Et ainsi tu reflètes ton ami.
Lorsque ton ami est chaleureux et bienveillant, c’est le moment de refléter ton ami.
Lorsque ton ami est froid et peu gracieux, alors c’est le moment d’être le miroir de gracieuseté où ton ami regardera.
Sois une image de ce que ton ami n'a pas été. Sois ce que tu aurais voulu que ton ami soit. Vois-tu combien il est essentiel que tu réagisses différemment?
Ton ami venait d'un lieu de manque. Tu n’as pas besoin de suivre ton ami à cet endroit. Tu dois donner à ton ami quelque chose d'autre à copier. Il ne s’agit pas tant de ton ami. Il s'agit de toi.
Cela profitera à ton ami certainement. Par-dessus tout, cela te sera bénéfique. Et, sans aucun doute, cela profitera à l'Univers.
N’agis pas de même.
Tu Me sers et réponds en Mon nom. Car quelle que soit la raison perçue ou l’absence de raison de ton ami pour montrer un manque de courtoisie, tu es le seul à briser le cycle avant qu'il ne commence. En fin de compte, qu’est la petitesse à part un manque de courtoisie?
Ton ami n’a peut-être pas fait preuve de respect pour toi. Ton ami ne s’est pas respecté lui-même, sinon il n'aurait pas été irrespectueux envers toi. Il n’a pas pensé avant de parler ou d'agir. Et maintenant, tu dois être le seul à réfléchir avant de parler ou d'agir. Il pensait à un de ses besoins perçus. Il ne pensait pas à toi. Pourtant, aujourd'hui, c'est à toi de penser à lui.
Rappelle-toi que quelque part, enfoui dans la personne qui te blesse, J'existe. Et, bien sûr, tu existes.
Ton ami a fait une erreur. Si ton ami avait été lucide, il n'aurait pas agi méchamment. De toute évidence, ton ami a été incapable de penser clairement.
Je ne suis pas en train de te demander de pardonner à ton ami pour une infraction. Je te demande de t'élever au-dessus de l’infraction en premier lieu. Peux-tu pardonner à ton ami d'être un être humain qui fait parfois des erreurs?
Bien-aimé, tu agis à Ma place. Comment est-ce que Je te réponds quand tu ne penses pas droit et fais une erreur? Je n'agis pas de même. Je ne te rejette pas.
Si ton ami ne pensait pas droit, à plus forte raison pour toi de réfléchir.
Les autres personnes n’ont pas à influencer la façon dont tu te sens. Sens-toi toi-même en toutes circonstances comme Je le suis pour toi.
Je ne dis pas que tu ne peux pas aller vers d'autres amis. Je ne te dis d'être avec des gens qui se sentent pas assez bien avec eux-mêmes et que c’est du bonheur pour toi que d'être en leur présence.
Si tu dois quitter ton ami, Je te dis de partir en ami, c'est tout.
Traduit par Christine
Page originale : http://www.heavenletters.org/a-mirror-of-graciousness-for-your-friends.h...