Heavenletter™ # 3420 – Dans La Pause Entre Les Dimensions - Publiée le 6 avril 2010
Dieu a dit:
Vous vous déplacez dans et hors de nombreuses dimensions. Vous le faites même dans le monde relatif. Vous enfilez un tablier. Vous ôtez un tablier. Vous conduisez une voiture. Vous montez dans un bus. Vous allez vite. Vous allez lentement. Vous lisez un roman policier. Vous lisez des poèmes. Vous allez tout le temps dans et hors des strates de dimensions. Entrer dans d'autres dimensions n'est pas vraiment quelque chose de nouveau pour vous.
Dans la pause entre chaque dimension, vous entrez dans le Divin. Une grande partie de la vie relative elle-même est divine. Quand vous éprouvez de la joie, vous avez saisi une dimension de joie. Lorsque vous vous sentez tristes, vous avez saisi une dimension de tristesse.
Vous n'avez pas à être heureux à chaque minute. Soyez dans la dimension où vous êtes, et sachez que vous pouvez entrer et de sortir dans une autre dimension à volonté. Disons que vous êtes dans une dimension de tristesse. Vous n'avez pas à y rester. Vous n'avez pas à vous en échapper comme si un dragon était à vos trousses. Profitez de votre tristesse pendant un certain temps, puis levez-vous et partez.
Entre chacune de ces dimensions du monde relatif où vous entrez, se trouve une profondeur de silence. Vous aimez être à cette profondeur, et parfois vous êtes conscients que vous y êtes. La plupart du temps, vous ne le savez pas. Cela est vrai aussi, croyez-le ou non!
Vous êtes même libérés d’avoir à être heureux! Votre vie sur Terre n'est pas vraiment un chapitre sur la réalisation. Cela sera comme un soulagement pour vous de savoir que c'est bien d'être une personne en deçà de ses possibilités! Vous n'avez pas à atteindre le bonheur à chaque instant. Le bonheur dans le monde relatif ne semble pas fonctionner comme ça de toute façon.
Le bonheur vient généralement spontanément. Bien sûr, vous pouvez aller à un spectacle. Vous pouvez profiter d'une bonne musique. Vous pouvez savourer une tasse de java. Vous pouvez regarder un bon film à la télévision. Ces activités sont parfaitement légitimes. Pendant un certain temps, vous vous divertissez et ainsi vous vous distrayez de vos pensées amalgamées de tristesse.
Bien sûr, Je ne vous dis pas de vous installer dans la tristesse, d'y être à l'aise et d’y rester aussi longtemps que vous pouvez être avec elle. Je dis plutôt que c'est une chaise où vous pouvez vous asseoir. Vous avez d'autres chaises pour vous asseoir. Levez-vous de la Chaise Tristesse et prenez un autre siège. Il n'est pas mauvais d'être triste. C'est juste une chaise sur laquelle vous vous asseyez, mais vous ne voulez pas accaparer la chaise dans laquelle vous vous êtes assis un moment. Vous vous levez et prenez un autre siège ou un autre lit comme le fait Boucles d’Or.
Ne vous dites pas que vous ne devez jamais dormir dans le Lit Triste. Vous l'essayez, c'est tout. Dans un magasin, vous essayez différents types de matelas. Il n’y a rien de mal à cela. Et quel que soit matelas que vous achetez, vous ne le gardez pas à vie. Aucun matelas n’est permanent, bien-aimés. Aucune chaise. Aucune humeur.
Entre chaque humeur se trouve un Lit de Silence. Sous-jacent à chaque humeur existe un Lit de Silence. Vous pouvez en être plus conscients. Sous la tristesse se trouve ce silence riche. Sous une grande joie se trouve ce silence riche. Sous la douleur. Sous-jacent à toute chose il existe cette gamme riche de silence. Vous ne pouvez la perdre, bien-aimés.
Il y a un lit dans lequel vous êtes toujours couchés, et c’est le lit du silence. Il est totalement votre. Nous couchons ensemble dans ce lit, et Nous n'avons jamais à Nous lever. Pendant ce temps, vous rêvez que vous allez dans un magasin, et essayez d'autres lits. Je vous accompagne quand même. Même dans vos rêves et vos illusions, Je reste à vos côtés. Je ne vous quitte pas.
Traduit par Christine
Page originale : http://www.heavenletters.org/in-the-pause-between-dimensions.html