Heavenletter™ # 2868 - DEBOUT SUR LE SEUIL - Publiée le 1 octobre 2008
Dieu a dit :
Mes enfants bien-aimés, vous êtes debout sur le seuil. Je vous demande d'entrer, cependant vous restez debout sur le seuil du Ciel comme si vous ne saviez pas que vous aviez la place juste. Vous errez dehors, hésitant à sonner à la porte. Même si vous n'aviez pas la place juste, appuyez tout de même sur la sonnette. Je vous assure que vous avez vraiment la place juste, mais même si vous ne l'aviez pas, tirez sur la sonnette qui apporte le Ciel à votre porte, Bien-Aimés.
On vous a induits en erreur quant à là où vous êtes. Vous pensez que vous êtes à l'extérieur de quelque chose. Vous pensez que vous êtes à l'extérieur de Mon cœur alors que vous en êtes la substance même.
Bien-aimés, quand vous marquez un score dans le monde, vous obtenez une idée de comment on se sent d'être au Ciel. C'est juste que vous avez mal lu les signes de la rue. Vous pouvez avoir pensé que le succès dans le monde est le Ciel. Le succès dans le monde n'est pas opposé au Ciel. C'est tout à fait agréable au Ciel. De plus, prenez connaissance, s'il vous plaît, que toutes les portes imaginées mènent vraiment au Ciel. Le ciel n'a aucune porte, bien sûr, et cependant, toutes les portes vous amènent à la conscience de l'Entrée de là où le Ciel est déjà.
À présent, vous vous rendez compte que l'Entrée au Ciel, quel que soit le nom qu'on lui donne, est votre cœur. Les Portails du Ciel sont votre cœur. Vous avez fermé les portes imaginaires vous-même, ou vous avez fermé vos yeux aux Portails du Ciel, peut-être même à l'existence du Ciel.
De combien de façons peut-on le dire? Le Royaume du Ciel se trouve en vous. Où cela pourrait-il bien être ailleurs qu'à l'intérieur de votre cœur, car à l'intérieur de votre cœur réside le Mien. Eh bien, liez-vous d'amitié avec vous-même. Sonnez à la porte de votre cœur. Laissez-le résonner sur le monde. Laissez-le résonner dans le Ciel.
Vous pouvez rester où vous pensez être, ou vous pouvez vous sortir du marécage dans lequel vous pensez être assis. C'est à vous de décider, Bien-Aimés. J'ai sorti le tapis rouge pour vous. J'ai répandu des pétales de rose pour vous mener jusqu'à Moi. Vous ne pouvez pas rater. Vous devez seulement vous lancer en avant et laisser ces vieilles frontières. A quoi ont-elles servi, si ce n'est à vous cacher le Ciel? Vous avez encore tendance à les considérer comme un bon vieux fauteuil à bascule, confortable, tellement elles vous sont familières et tellement vous êtes habitués à leur poids. Les frontières ressemblent à du lierre qui a poussé sur vos yeux.
Comprenez s'il vous plaît, Bien-Aimés, Je ne vous demande pas de négocier dans le monde pour le Ciel. Nous n'avons pas à faire un échange. Ayez la Terre, ayez le Ciel. Ayez la paix et le bonheur indépendamment de l'endroit où vous êtes. Certainement, la danse existe sur la Terre et vous pouvez la garder. Certainement le chant existe sur la Terre et vous pouvez chanter autant que vous voulez. Jusqu'ici vous n'avez pas chanté autant que vous vouliez. Je suggère que vous chantiez et dansiez autant que vous voulez. "Ayez plus," est ce que Je dis. Je vous offre l'affaire pour une vie entière. Venez ici avec Moi.
Ne gâchez pas votre beau cœur un instant de plus. Mettez-vous à explorer le terrain du Ciel. Ouvrez grand votre cœur. Essayez. Et si le Ciel est juste devant vous ? Faites encore un pas vers Moi. S'il vous plaît entrez. N'entrerez-vous pas?
Me voici. Je vous fais signe. Jetez toute cette vieille substance que vous avez stockée dans votre cœur. C'est du fatras. Jetez ces vieilles écharpes avec lesquelles vous vous êtes recouverts. Ouvrez grand les fenêtres de votre cœur. Ouvrez votre cœur et le Mien dans le vôtre. Laissez Notre Cœur Unique être connu. Voyez-le pour vous-même d'abord. Ouvrez ces obturateurs. Dans certains cas, vous avez condamné ces portes imaginaires sur le Ciel. Vous les avez clouées. Vous avez claqué la porte de votre propre chef, l'avez verrouillée et jeté la clef.
Mais vous n'avez besoin d'aucune clef pour M'ouvrir votre cœur. Vous l'ouvrez juste et voyez ensuite le monde que vous voyez.
Traduit par Annie Claude
page originale : http://www.heavenletters.org/standing-in-the-doorway.html