Vous n’avez pas à être accaparé par les circonstances. Surtout les circonstances sont la façon dont vous vous évaluez du point de vue du monde. Je vous vois Beaux. Le monde et Moi, comme vous le savez maintenant, ne vous voyons pas de la même manière.
Le monde vous a peut-être appris que ceci et cela a de l’importance. Vous n’avez pas à être d’une certaine façon pour Moi. Pas du tout. Je n’exige pas que vous viviez dans un soi-disant meilleur quartier de la ville. Je ne demande pas où vous vivez du tout. Je ne reconnais pas de sans logement ou de palace ou belle maison ou taudis. Je n’ai pas besoin que vous ayez une certaine garde-robe ni une certaine éducation. Vous n’avez pas besoin d’avoir une nouvelle voiture pour être aimé de Moi. Je suis Lumière et Amour. Je vois avec Mes Yeux et non ceux du monde arbitraire. Je vous évalue. Je vous évalue non pas sur les apparences ni rien du tout. J’Aime.
Croyez-vous que, ne serait-ce qu’une minute, Je me base sur le statut dans le monde ? Je vois tout à fait différemment. Plutôt que penser que Je vous évalue, commencez par le postulat que votre place dans le monde est la conséquence plus que tout de Moi au plus Haut.
Le monde met peut-être la charrue avant les bœufs.
Vous me tenez vraiment à cœur. C’est Mon Histoire. N’est-il pas drôle de penser à Moi comme basant Mon Estime de vous sur la hauteur, le poids, la posture, la masse physique, les aptitudes sportives etc. Je ne compte rien.
J’inclus tous Mes Enfants, même le méchant, même le bon, le pauvre, le doué, le célèbre. Je ne pense même pas en ces termes. Je vous vois, et J’Aime. Je vous regarde, et Je vois la Gloire que vous êtes avec laquelle vous pouvez ne pas encore être familiarisé. Vous êtes une très chère partie de Moi. Peu importe combien vous vous êtes éloigné de la Vérité de votre Soi, Je vous vois. Je vois la Paume de votre Main. Je vois vos yeux. Je vous vois. Je vos vois avec les Yeux de Dieu.
Je ne vous considère pas comme l’ombre de votre passé. Pourquoi passerais-Je ce soi-disant temps dans le passé ? Je vous considère comme Je considère la Véranda d’un Palace. Je vois la Vérité, pas d’erreur. Je n’ai pas à chercher la Vérité. Je vois avec les Yeux de la Vérité. Il en est ainsi.
Si vous avec rampé dans la boue, Je vous vois tel que vous ÊTES Réellement. Je ne vois pas tous les costumes que vous pouvez porter. Qu’est-ce que les déguisements ont à voir avec Moi ? Pourquoi verrais-Je des prétendants au Trône alors que chacun d’entre vous est le Vrai.
Je ne digresse pas. Vous digressez, pas Moi.
Je vois ce qui est. J’entends ce qui est. Venez voir avec Moi. Je n’exige pas de vous la perfection que vous exigez de vous-même. Si vous vous voyez sortir du Chemin, retournez sur le Chemin. Vous pouvez taper et crier, mais rien ne va vous retenir longtemps en arrière. Ca peut vous sembler long. Le seul toujours qui existe est Infinité. Toute la distraction que vous expérimentez dans la Vie est le long de la route. Tous ces discours fictifs sont superficiels pour Moi. Au-delà des actes idiots – qu’est-ce qui serait plus idiot que les actes cruels ? Là où vous êtes peut se trouver un Prince qui croit profondément en son inaptitude à être un Prince.
Néanmoins, un Prince est un Prince. Je vous connais. Je ne crois pas simplement en vous, JE VOUS CONNAIS. Je vous connais comme la Paume de MA Main. Et savez-vous ce qu’est la Paume de MA Main ? Vous êtes la Paume de Ma Main.
Il y a un Vous beaucoup plus Profond dont vous n’avez aucune idée.
Venez par ici, et Je vous chanterai des Chansons. Vous commencerez à chanter comme Je chante du Battement de Mon Cœur.
Traduit par Anaïs Cabanes
Page originelle:http://www.heavenletters.org/i-see-you-beautiful.html -