Lorsque la Vie est trop occupée, vous êtes trop distraits. C’est vraiment dans votre tête que vous êtes trop occupés. Vous pouvez perdre la tête en étant hyper occupés.
Peut-être que d’aller vite n’est pas la réponse. Votre esprit est trop occupé comme il est à simplement rebondir d’être trop occupé. Vous avez les mêmes heures que tout le monde. Le sentiment pesant d’être trop occupé est une habitude de l’esprit. Cela vous empêche de vous occuper de ce qu’il y a à faire.
Si c’était l’été et que vous portiez un gros pull-over d’hiver, vous l’enlèveriez pour mettre un tee-shirt ou un haut en coton léger. Vous en gardez trop en tête. Comment faire pour que cette métaphore agisse sur votre sentiment d’être accablés de trop en avoir à faire ? Ça se résume à une affaire de croyance. Ce n’est pas que vous ayez trop à faire. Vous n’avez pas beaucoup à faire, vous en gardez trop en tête. Vous amoncelez en vous-mêmes et vous vous bloquez avec un sentiment pesant d’être surchargés. Vous ne semblez pas pouvoir refaire surface.
Devez-vous être emparés d’un sentiment d’avoir trop à faire? Est-ce vrai? Est-ce vrai, ou nourrissez-vous un sentiment envahissant d’obligation? Peut-être profiteriez-vous vraiment de ralentir plutôt que d’accélérer.
Personne ne peut faire dix choses à la fois. Peut-être ne pouvez-vous vous tenir qu’à une chose à la fois. Le concept d’avoir trop à faire vous fait spécialiser à avoir trop à faire.
Le côté positif d’une liste est que vous pouvez effacer toute la liste.
Par quoi êtes-vous si occupés? Pour commencer, vous devez êtes trop occupés avec l’idée d’avoir trop à faire. La Vie elle-même n’est pas trop occupée. Oui, le sentiment envahissant d’avoir trop à faire vous épuise. La pression que vous ressentez est de votre propre fait, Mes Chers Enfants. La Police du Travail n’est pas après vous.
Débarrassez-vous du sentiment d’avoir la pression. Dans le temps du monde, tout le monde a les mêmes 24 heures par jour. Ne vous affolez pas. Faites ce que vous faites sans paniquer. Soyez à l’aise avec la Vie telle qu’elle se présente à vous. Gardez en tête que vous êtes une sage personne au sommet d’une montagne qui réussit à tout faire sans s’agiter.
Se précipiter peut être un signe d’évitement. C’est se récriminer. Vous traînez dix wagons derrière vous. Ce n’est pas tant votre travail qui vous éreinte mais le poids que vous portez en accumulant. Cherchons une façon d’alléger ce fardeau.
Concentrons-Nous sur sur ce qui vous est utile et sur ce qui ne l’est pas.
Ayez une plus grande estime de vous. C’est évident. Plutôt que d’écrire une liste de ce que vous n’avez pas fait, listez ce que vous avez fait. Honnêtement, vous n’êtes pas aussi entravés que vous semblez penser. Le travail peut être du travail mais rester facile. Ne soyez pas essoufflés. Ne faites pas la course.
Vous n’avez pas besoin de passer toute votre vie en mode panique. Ralentissez. Tranquille gagne la course. D’ailleurs, qui a besoin de gagner une course? Certainement pas une course contre le temps. Oui, Je sais que dans le monde en général, tout prend du temps. Même ne rien faire prend du temps. Suivez le présent.
Définissez-vous en dehors d’un sentiment de temps. Ainsi, vous ne sentirez pas que vous manquez de temps. Allez-y. Vous découvrirez peut-être que vous aurez davantage de temps. Je ne plaisante pas.
Surveillez votre attitude. Observez votre position dans la Vie. Dans le monde, vous avez peut-être le sentiment de ne pas avoir assez de temps, mais dans ce monde régit par le temps, vous avez précisément la bonne quantité de temps. Souvenez-vous que vous êtes atemporels.
Vous qui avez peu de temps, ralentissez votre horloge interne.
Traduit par Philippe Lombard
Page originelle:http://www.heavenletters.org/the-work-police-are-not-chasing-you.html