Durant l’adorable processus naturel de Godwriting, vous êtes celui qui écoute. Vous n’êtes pas exactement assis à côté, mais vous êtes quelque part à l’arrière plan. Vous n’êtes pratiquement pas présent, mais vous n’êtes pas non plus dans une libre rêverie. Vous ressemblez davantage à un témoin du Godwriting. Vous êtes présent à la manière d’un magnétophone. Vous écoutez en silence, un simple témoin. Vous écoutez silencieusement à un niveau plus profond d’écoute. C’est comme si vous étiez encore descendus à profondément.
Vous êtes ici et pas ici, pourtant il s’agit de vous avec votre stylo, ou votre clavier sur lequel vous tapez du bout des doigts. Vous participez sans mot dire. Vous êtes le Témoin. Vous n’êtes pas l’Expert des Mots, mais vous entendez et présentez Mes Mots. Vous n’êtes pas absents de Mes Mots, ni êtes-vous l’Ecrivain-Dieu Lui-même. En même temps, à un niveau plus profond encore, vous pouvez être impressionné de voir, qu’après tout, vous et Moi, nous ne sommes qu’Un. Vous restez modestes, d’autant que vous pouvez soudainement vous rendre compte que vous enregistrez depuis le plus profond de Mon Cœur. Ça ne vous gêne pas de vous mettre de côté. Nous sommes tous les deux ravis de participez dans le Godwriting.
Lorsque vous avez appris à parler, vous avez appris comment faire. Lorsque vous avez appris à écrire , vous débordiez de joie. Ayez de la Joie dans le Godwriting, Godwriter, mais ne vous appropriez pas le Godwriting. Le Godwriting vous arrive comme un sourire ou une bénédiction de Ma part.
J’aime le son du nom Godwriter. Ai-Je choisi le nom Godwriter? Je ne dirais pas cela. Le nom peut avoir surgit de lui-même. Bien entendu, Nous avons affaire à un canal Plus Élevé que le fait. Vous, qui écrivez Mes Mots, écrivez-les dans une écoute subtile et sans effort.
Ce processus est plus grand que n’importe quel nom que Nous lui donnons.
Vos propres mains sont les mains qui transcrivent ce que vous M’entendez à peine dire dans le battement de votre cœur, un son au delà d’un son que vous entendez à peine. Je murmure si silencieusement que c’est, quelque part et d’une certaine manière, depuis les méandres de votre propre cœur que vous prenez conscience.
Je pourrais qualifier le Godwriting comme une Sainte Alliance entre Nous, même si, la plupart du temps, mais pas toujours, le fait de M’entendre n’est pas du tout perçu comme quelque chose de remarquable. Durant le processus, le Godwriting ne donne pratiquement pas l’impression d’être quelque chose d’extraordinaire. Ne vous attendez pas à des éclairs et du tonnerre. Le plus souvent, le Godwriting n’est pas une expérience époustouflante. Il peut apparaître si ordinaire, que vous ne pouvez pas croire que c’est quelque chose de remarquable et vous doutez de votre prouesse.
Bien entendu, le Godwriting n’a rien à voir avec la prouesse. Plus tard, mais vous n’êtes pas obligés, vous pourrez dire WAHOU!
Certes, le Godwriting n’est pas quelque chose à comprendre. Le mieux que vous puissiez faire est de rester éloignés de vos propres évaluations. Acceptez les Mots sans les analyser, ou sans essayer d’en sortir quelque chose. Acceptez-les.
Il peut y avoir des occasions lorsque Mes Mots semblent prendre contrôle sur vous et vous transporter vers un Royaume Plus Élevé, que vous ne voulez plus jamais quitté. Néanmoins, vous êtes le simple transcripteur de Mes pensées, tandis que vous les recueillez nonchalamment sans vous investir outre mesure pour les garder.
Vous êtes un Être humain conscient qui capte un rythme. Vous captez un rythme de tambour appartenant à votre langage, quel qu’il puisse être. Ce que vous entendez n’est pas érudit. Le simple langage du CP raconte des merveilles. Charmant! Soyez contents, mais n’en tirez pas une fierté personnelle. Soyez fiers de Moi comme le Godwriter.
Les Godwriters écoutent le Dieu Un, quelque soit le nom que vous Me donnez. Ce n’est pas que vous, en tant que Godwriter, êtes une sorte de pantin écoutant Dieu, mais vous n’êtes pas non plus Son interprète officiel. Il s’avère que vous entendez quelque chose pratiquement d’imperceptible. Vous ne frappez pas non plus à la porte de Dieu, bien que vous puissiez vous sentir plein de ferveur.
De temps à autre, il peut arriver que vous sombriez plus profondément dans Mes Pensées. Ce n’est pas une obligation, mais vous aimez le faire.
À suivre...
Traduit par Philippe Lombard
Page originelle: http://www.heavenletters.org/from-whence-cometh-godwriting-ii.html