Dieu a dit :
Vous n’avez pas besoin de rechercher les ennuis. Vous ne voulez pas être un alarmiste. Vous ne voulez pas vous alarmer ou alarmer quiconque. Vous ne voulez pas que votre cœur batte au rythme de la peur. Si vous voulez régler votre cœur sur la peur, comme c’est facile. Il y a toute une liste de problèmes sur lesquels vous pouvez spéculer. Je n’en parlerai pas. Il y a beaucoup d’autres sentiments que vous pouvez mettre dans votre cœur au lieu des pensées de peur. Pourquoi ne pas faire une liste de toutes les bonnes choses qui peuvent arriver ? Vous pourriez trouver un diamant dans la rue. Vous pourriez rencontrer un vieil ami et votre cœur être heureux. Quelqu’un pourrait vous inviter au restaurant pour le déjeuner. Vous pourriez emmener quelqu’un déjeuner au restaurant.
Formulez toutes les choses qui pourraient peut-être arriver d’une façon positive. Je veux dire, il est mieux de ne pas dire:
« Je ne me suis pas cassé la jambe aujourd’hui ! »
Dites quelque chose dans une veine totalement différente. Quelles sont toutes les possibilités qui pourraient arriver aujourd’hui ? Et, quoi que vous fassiez, ne limitez pas vos pensées à ce que vous appelez des pensées réalistes. Ce que vous considérez comme irréaliste va arriver. Cela va arriver à quelqu’un. Cela s’est déjà produit que quelqu’un trouve un ticket de loto gagnant sur le trottoir. Ne vous préoccupez pas des probabilités. La vie n’a pas à être vécue selon les probabilités. Je vous en prie, ne pensez même pas que les probabilités sont moindres maintenant parce que cela est déjà arrivé à quelqu’un.
D’un autre côté, vous pourriez aussi vous dire que quelque chose n’est jamais arrivé auparavant, alors comment cela pourrait-il vous arriver ?
S’il est difficile de vous voir comme quelqu’un de chanceux au-delà de toute probabilité, pensez à quelque chose que vous pourriez vous-même faire pour quelqu’un. Et, à nouveau, évitez le réalisme, car votre estimation du réalisme vous retient en arrière. Cela n’a pas d’importance si vous n’avez pas un sou en poche. Nous sommes en train de parler d’expansion.
La simple question devant Nous maintenant est : Quelles idées avez-vous de ce que vous pourriez faire pour quelqu’un afin de lui procurer du bonheur ?
Peut-être lui pourriez-vous lui donner des fleurs, tondre son jardin, lui donner des tickets de cinéma, laisser un gâteau. Laissez décider votre cœur. C’est le problème avec le fait d’être ce qu’on appelle réaliste. Vous réprimez votre cœur. Vous l’enfermez à double tour. Vous dites à votre cœur d’être raisonnable. Les cœurs ne sont pas des comptables qui doivent relever tous les pourcentages. Les cœurs sautent. Ils ne font pas des petits pas de bébés. Laissez votre cœur être un cœur. Votre cœur est un don de Dieu.
Même si vous êtes restreints au factuel, il y a encore beaucoup que vous puissiez faire. Vous pouvez aider quelqu’un à porter un paquet. Vous pouvez laisser la priorité à une autre voiture. Si vous prenez le bus, vous pouvez offrir votre place à quelqu’un. Vous pouvez sourire. Vous pouvez tenir la porte à quelqu’un. Vous pouvez faire ces petites choses en apparence pour le bien des autres, pourtant, bien sûr, vous êtes le grand gagnant.
Vous pouvez dire quelque chose de gentil à quelqu’un. Vous pouvez écouter quelqu’un d’autre parler alors que vous écoutez pour changer. Vous pouvez laisser les autres s’aventurer plus loin et sortir d’eux-mêmes alors que vous écoutez.
Vous pouvez caresser un chien.
Vous pouvez regarder chacun dans les yeux. Combien inaperçus, combien invisibles certaines personnes semblent être. Vous pouvez les rendre visibles.
Vous pouvez vous dépasser et faire quelque chose que vous n’avez jamais fait auparavant. Vous pouvez être d’accord avec quelqu’un. Quel cadeau c’est. Vous pouvez dire Oui toute la journée au lieu de dire automatiquement Non. Quelle belle chose d’entendre dire Oui. Dites Oui ! Soyez le Oui. Non n’est pas plus réaliste que Oui. Oui ouvre les cœurs au lieu de les fermer.
Il y a des petites choses que vous faites qui peuvent élever la vie de quelqu’un d’autre, et ainsi faisant, la vôtre.
Traduit par Anaïs CABANES
Page originale: http://www.heavenletters.org/a-diamond-on-the-street.html